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by Br. Alexis Bugnolo
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Par le Fr. Alexis Bugnolo - Traduction française autorisée : Louis Lurton
L'une des dernières pièces du mystère de ce que le Pape Benoît XVI a fait le 11 février 2013 est enfin apparue au grand jour : la raison pour laquelle le Pape Jean-Paul II aurait permis, dans la réforme du droit canonique de 1983, avec les conseils du Cardinal Ratzinger, la possibilité pour un Pape de simuler une renonciation, afin de contrecarrer une prise de contrôle du Vatican par les forces de la franc-maçonnerie ecclésiastique.
Avant 1983, le Code de droit canonique réformé sous les papes St-Pie X et Benoît XV stipulait qu'un pape abdiquait lorsqu'il renonçait.
Mais dans le Code de 1983, Jean-Paul II a changé cela pour permettre une fausse abdication. En effet, selon le canon 322 §2, pour qu'un pape abdique, il devait renoncer à son munus, la charge que le Christ lui a donnée lorsqu'il a accepté son élection canonique.
Si un pape, sous la pression de quiconque, renonçait à TOUTE AUTRE CHOSE, la renonciation serait invalide !
Mais la raison pour laquelle Jean-Paul II aurait agi de la sorte est restée spécifiquement inexpliquée jusqu'à présent. Avec l'aide d'un enquêteur aux Etats-Unis, nous avons découvert une explication substantielle, qui semble très probante.
En 1981, pendant 22 semaines, un livre qui parlait de l'abdication forcée d'un pape par un complot de cardinaux a figuré sur la liste des best-sellers du New York Times.
Ce livre s'intitulait "Les bouffons de Dieu" ("The clowns of God"), et son auteur, le romancier Morris West, était l'auteur du célèbre roman sur un futur pape, intitulé "The Shoes of the Fisherman" ("Les souliers de Saint Pierre") (NDE : dans lequel il avait prophétisé l'élection d'un pape slave !).
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Source : Apple Books
UNE PRÉDICTION D'ÉVÉNEMENTS D'UNE PRÉCISION EXPLOSIVE
Voici le prologue du livre :
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La septième année de son règne, deux jours avant son soixante-cinquième anniversaire, en présence d'un consistoire complet de cardinaux, Jean-Marie Barette, le pape Grégoire XVII, signa un acte d'abdication, enleva l'anneau du Pêcheur, remit son sceau au Cardinal Camerlingue, et prononça un bref discours d'adieu.
" Ainsi, mes frères ! C'est fait comme vous l'aviez demandé. Je suis sûr que vous expliquerez tout cela de manière adéquate à l'Église et au monde. J'espère que vous élirez un homme bon. Dieu sait que vous en aurez besoin ! "
Trois heures plus tard, accompagné d'un colonel de la Garde suisse, il se présentait au monastère du Mont Cassin et se plaçait sous l’autorité de l'Abbé. Le colonel rentra immédiatement à Rome en voiture et rapporta au Cardinal Camerlingue que sa mission était accomplie.
Le Camerlingue poussa un long soupir de soulagement et entreprit les formalités pour proclamer que le siège de Pierre était vacant et qu'une élection serait organisée le plus rapidement possible.
DES DÉTAILS ÉTONNANTS
Il y a des détails étonnants dans ce récit qui reflètent les événements historiques du pape Benoît XVI.
Le premier d'entre eux est le nom du pontife régnant, qui rompt avec les noms des papes de Vatican II et prend le nom d'un pape de tradition.
Deuxièmement, le fait que le pape du roman est FORCÉ D’ABDIQUER PAR LES CARDINAUX.
Troisièmement, que cela se produirait dans la 7ème année de son pontificat. Benoît XVI a publié sa Declaratio dans les derniers mois de sa 7ème année.
Que le pape du roman est conduit dans un monastère. Le pape Benoît XVI vit désormais dans le Monastère de la Mère de Dieu, au cœur du Vatican.
Que le pape chassé du pouvoir fasse vœu d'obéissance à un religieux d'un ordre ancien. Dans le cas du pape Benoît XVI, il semble obéir à un membre de la Compagnie de Jésus, fondée il y a 500 ans.
Jean-Paul II avait un motif
La popularité de ce livre en 1981 aurait provoqué une onde de choc au Vatican, qui préparait cette année-là le nouveau Code de droit canonique. Il semble donc très probable qu'en réponse à la suggestion d'une abdication forcée, les conseillers érudits et très lus de Jean-Paul II lui aient conseillé d'ajouter un objet au verbe "renoncer" dans le canon 332 §2, de sorte qu'à l'avenir, si un pape était contraint d'abdiquer, il pourrait simuler une abdication en renonçant à quelque chose qui semblait être la même chose que le munus mais qui ne l'était pas, tout comme le pape Benoît XVI l'a fait le 13 février 2013, lorsqu'il a renoncé "au ministère qui m'a été confié par les mains des cardinaux".
Le fait que le Pape Jean-Paul II, même en 1996, des années après la promulgation du nouveau code en 1983, ait toujours en tête une tentative d'une démission papale contrainte, peut être vu à partir du n. 3 de sa loi papale sur les élections papales, Universi dominici gregis :
3. J'établis en outre que le Collège des Cardinaux ne peut en aucune façon prendre des dispositions sur les droits du Siège apostolique et de l'Église Romaine, et encore moins abandonner certains de ces droits, directement ou indirectement, même pour régler des dissensions ou pour poursuivre des actions perpétrées contre ces mêmes droits après la mort ou la démission valide du Pontife. Tous les Cardinaux défendront soigneusement ces droits.
Pourquoi mentionner dans ce paragraphe, une "démission valide", s'il ne craignait pas une abdication forcée et une modification tumultueuse de la gouvernance de l'Eglise par un usurpateur ? Comme cela s'est produit sous Jorge Mario Bergoglio, qui prétend être le pape François.
Ce livre parle de manière prophétique du pape Benoît XVI !
Ce qui est peut-être encore plus étonnant, c'est que le récit de ce livre s'inscrit parfaitement dans ce contre quoi le pape Benoît XVI a mis en garde le monde pendant son pontificat, à savoir le triomphe du relativisme, qui marque la venue de l'Antéchrist et la fin du monde, une épreuve qui exigerait que l'Église du Christ se sépare de l'Église de l'Antéchrist :
Que se passerait-il si les membres de la Curie romaine découvraient que le Pape était sur le point de déclarer publiquement qu'il avait reçu une révélation privée selon laquelle la fin du monde était imminente - une apocalypse arrivant à tout moment ? S'agit-il d'un fou, comme le soupçonnent ses cardinaux, d'un mystique ou d'un fanatique qui s'accroche à un pouvoir impie ?
(Source : ICI )
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