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VATICAN : LE PAPE DANS UN ÉTAT DE SANTÉ GRAVEMENT DÉTÉRIORÉ
"En temps normal, nous ne devrions pas critiquer publiquement le pape. Mais avec le pape François, la critique publique est nécessaire pour sauver les âmes de la perte totale de la foi, vu que son pontificat, à l'exception du brève période de 5 mois après son élection juridiquement valide le 30 janvier de l'année dernière, a été un scandale quotidien pour le monde catholique."
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Écrit par fr Alexis Bugnolo (26/03/2024) - Traduction française autorisée : père Walter Covens
Analyse de la nouvelle par Br. Alexis Bugnolo
Comme nous l'avons vu au cours des 11 dernières années, la vérité de l'histoire n'est pas toujours rapportée dans les nouvelles quotidiennes. Souvent, nous obtenons de la mauvaise information ou de la désinformation, et à des moments clés de l'histoire, des mensonges complets, juste assez biaisés de la vérité, pour la cacher complètement pendant des années et des années.
L'ANSA était l'agence qui nous a dit que le pape Benoît XVI avait abdiqué en février 2013, mais a caché leur crime en utilisant le mot anglais, "resigned" (si è dimesso, a démissionné) plutôt que "renounced" (ha rinunciato, a renoncé), de sorte que par l'ancien mot qui était communément compris comme "abdiqué", ils pouvaient transmettre le Gros Mensonge pour justifier un conclave en 2013, alors qu'en parlant canoniquement, aucun conclave n'aurait pu être légitimement convoqué.
Alors aujourd'hui, quand l'ANSA nous dit que le pape François ne souffre pas de "maladies" majeures1, tout en admettant pour la première fois qu'il a subi 2 chirurgies de l'abdomen, qui pourrait nier ce qui est probablement non seulement raisonnable, mais également juste de comprendre entre les lignes ? D'autant plus qu'ils n'ont pas attendu 24 heures pour publier un rapport pour étouffer les spéculations sur les raisons pour lesquelles le Saint-Père aurait omis de donner une homélie un jour aussi solennel.
Lorsque le pape Benoît XVI est mort, il y a bientôt 15 mois, le récit de son état de santé s'est détérioré à une vitesse alarmante en quelques jours, alors qu'en fait, il souffrait d'insuffisance rénale depuis des années : une chose totalement cachée par tous les communiqués de presse du Vatican et enquêtée par aucun des journalistes du Vatican de notoriété ou de vocation.
Des rapports précédents ont montré que le Vatican est extrêmement prudent quant à l'état de santé du pape François, allant jusqu'à le transporter en toute hâte à l'hôpital Gemelli pour ce qui a été prétendu plus tard être des infections mineures. Il est donc clair qu'en réalité il souffre d'une ou de plusieurs maladies chroniques graves.
Mais le fait que le pape François ait complètement omis l'homélie de la messe du dimanche des Rameaux - ne permettant même pas, ou ne demandant à aucun des cardinaux, évêques ou prêtres présents de la lire à haute voix, même si canoniquement et liturgiquement, c'est une partie obligatoire de cette liturgie solennelle - montre que les problèmes de santé du pape François sont plus graves que ce que l'on veut bien admettre.
En plus de cela, l'état spirituel désastreux du pape François est complètement ignoré par le Vatican, bien qu'il soit clair pour la plupart des catholiques qu'il est en état habituel grave de péché public pour hérésie, apostasie, pour schisme ou à cause de méchanceté pure et simple, sans aucune charité.
En temps normal, nous ne devrions pas critiquer publiquement le pape. Mais avec le pape François, la critique publique est nécessaire pour sauver les âmes de la perte totale de la foi, vu que son pontificat, à l'exception du brève période de 5 mois après son élection juridiquement valide le 30 janvier de l'année dernière, a été un scandale quotidien pour le monde catholique.
En résumé, il est donc clair que le pape François est dans une condition gravement détériorée du corps et de l'âme, et qu'il s'est fermé à la fois au Dieu de la Miséricorde et de tout remède mortel d'un bon conseil. En attendant, l'appareil du Vatican est passé en mode d'auto-entretien, et se fiche éperdument de Dieu, des âmes ou du Saint-Père, se contentant de sauver les apparences.
Pendant ce temps, les catholiques du monde entier, qui comprennent assez bien tout cela, attendent la nouvelle de la mort du pape François qu'ils accueilleront avec soulagement, joie et même célébration.
Le pape François est un homme de 87 ans dont les épisodes périodiques de mauvaise santé et de fatigue qui l'ont forcé à abandonner les lectures récentes ne sont attendus que pour un homme de son âge, a déclaré son médecin à Corriere della Sera lundi.
"Le pape est un homme de 87 ans avec d'énormes responsabilités.
Il est normal qu'il traverse des périodes de fatigue",
a déclaré Sergio Alfieri, directeur du département de chirurgie de l'hôpital Gemelli de Rome, qui a dirigé la chirurgie abdominale de François à deux reprises au cours des trois dernières années.
"Je n'ai aucune preuve de conditions préoccupantes",
a poursuit Alfieri.
"Le Saint-Père est bien pour son âge et compte tenu de ses difficultés respiratoires épisodiques pendant les périodes les plus froides, qui sont également dues à l'opération pulmonaire qu'il a eue il y a de nombreuses années.
Je ne le vois pas tous les jours, mais je peux vous assurer qu'il n'a pas de maladies particulières."