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Praedicatho homélies à temps et à contretemps

Praedicatho homélies à temps et à contretemps

C'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui va juger les vivants et les morts, je t’en conjure, au nom de sa Manifestation et de son Règne : proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, toujours avec patience et souci d’instruire. Crédit peintures: B. Lopez


La preuve juridique de l'avocate Acosta : la démission rendue invalide intentionnellement par le pape Benoît XVI lui-même

Publié par dominicanus sur 23 Juin 2021, 00:10am

Catégories : #Benoit XVI, #Il est vivant !, #Porta fidei, #actualités

 

Pour lire l'original italien de l'article d'Andrea Cionci dans Il Libero : Il testo giuridico dell'avvocatessa Acosta: dimissioni rese invalide – apposta - da Benedetto XVI

Pour lire la traduction anglaise du Fr. Bugnolo sur FromRome.Info: NEW BOOK ON BENEDICT’S RENUNCIATION SUSTAINS BR. BUGNOLO’S VIEW

 

Introduction par FromRome.Info

 

Dans cet article, Cionci passe en revue le nouveau livre qui prouve que Benoît XVI est toujours le pape. Selon Cionci, la thèse de l'avocat Acosta, avocat de droit civil en Colombie, est la même que celle avancée en premier lieu par le Frère Bugnolo, à savoir que la Renonciation a été écrite avec l'intention précise de tromper la mafia de Saint-Gall et de faire apparaître sa validité aux yeux des fidèles du Christ, à temps, afin d'éviter que la fonction papale ne tombe entre les mains des ennemis de Dieu et de l'humanité. Cionci a résumé la thèse du Frère Bugnolo en anglais ici. - Le livre d'Acosta a été présenté par FromRome.info ici. (NDTR: traduction française ici)

TRADUCTION FRANÇAISE (Père Walter Covens)

 

AVERTISSEMENT : Ce qui suit, à première vue, semblera être une sorte de roman de Dan Brown, ou un désordre technico-juridique. Si vous n'êtes pas déjà un lecteur partial et hostile, qui nous reléguera immédiatement parmi les tenants de la théorie de la terre plate, suivez-nous avec un peu d'ouverture d'esprit. Cela en vaut vraiment la peine. Pour notre part, nous allons essayer de simplifier la chose à l'extrême, même avec des exemples "terre à terre".

 

 

Un pape émérite vraiment irritant....


"Il n'y a qu'un seul pape", dit Ratzinger depuis huit ans, mais il n'explique pas duquel il s'agit. Les grands médias essaient de lui faire dire à tout prix que le pape est François, mais ils n'y arrivent pas. Voilà.

 

Bref, ça l'énerve vraiment, ce "pape émérite" : il continue à porter du blanc, à porter le titre de Pontifex pontificum, à donner la bénédiction apostolique, à écrire des livres, à donner des interviews, à parler des questions morales et de la vie de l'Église. Bref, il continue fâcheusement à agir comme s'il était resté pape, bien qu'en retraite spirituelle. Et il n'admet JAMAIS que le seul pape est François. Il dit simplement et de façon sibylline que de pape IL N'Y EN A QU'UN, comme dans sa dernière interview au Corriere : ICI

 

Des provocations capricieuses et inutiles, donc, juste pour envoyer un milliard de catholiques chez le psychanalyste ? Même le Cardinal Pell a compris que Benoît XVI ne peut pas continuer avec ces "bizarreries" ambiguës. Essayons toutefois de nous rappeler qui était Ratzinger : pour certains, il était trop traditionaliste, pour d'autres crypto-moderniste, mais humainement parlant, tout le monde reconnaissait en lui un homme doux et humble, un philosophe rigoureux, un théologien avisé.

 

Alors, serait-il devenu un vieillard extravagant, rancunier et vaniteux ? Réfléchissons.

 

 

La thèse choquante, mais pas trop


Il n'y a qu'une seule hypothèse qui équilibre tous les récits et nous la résumons pour vous en quelques mots : la clé du mystère des deux papes se trouve dans la manière stratégique et intelligente dont Benoît a rédigé une démission spécialement invalidée et dans la façon dont il s'est comporté après cette démission.

 

À CREUSER  !

 

Concentrez-vous sur ce point : même si, au début, cela ressemble à une énigme, il y a une logique à cela, et nous la découvrirons avec ceux qui sont dans le métier.

 

 

Le "motif"


Mais immédiatement, l'objection surgira : pourquoi Benoît aurait-il manigancé tout cela ?

 

Peut-être, comme beaucoup le prétendent, parce qu'il était assiégé par une faction interne (la fameuse mafia de Saint-Gall) et/ou par la pression internationale, comme lorsqu'Obama a bloqué le code Swift des comptes du Vatican : ICI.

 

Selon certains, l'Eglise catholique "à l'ancienne" était le dernier obstacle aux desseins mondialistes et supranationaux visant à créer, en plus du reste, une nouvelle religion syncrétiste et éco-maçonnique. Voilà.

 

Par conséquent, le stratagème de la démission invalide était la seule chose que Ratzinger, laissé seul et entouré de médias hostiles, pouvait faire pour sauver l'Église.

 

Pendant huit ans, par son comportement, Benoît XVI a essayé de nous faire comprendre que le Pape, c'est LUI et SEULEMENT LUI, par des actes et des paroles.

 


Des fantasmes ? Parlons-en.
Le premier texte juridique qui confirme enfin la vérité

 

Cette thèse avait déjà été en partie avancée par nous ici dans un article où nous nous étions intéressés aux étranges fautes de latin de la déclaration de démission de Ratzinger : elles servaient à attirer l'attention sur un document écrit exprès et non valide.

 

Cette fois, pour confirmer l'hypothèse, vient le premier TEXTE JURIDIQUE consacré à la question : "Benoît XVI : Pape "émérite?", un volume de près de 300 pages publié en anglais, espagnol et portugais, également disponible en ebook, par l'avocate colombienne et ancienne professeure universitaire de droit civil et commercial Estefania Acosta.

 

 

Ce qui compte vraiment


Le livre aborde techniquement, toutes les objections qui ont été avancées jusqu'à présent contre l'élection de Bergoglio en 2013 : de l'intervention de la mafia saint-galloise - avec les déclarations retentissantes du Cardinal Danneels - à l'éventuel état d'excommunication de Bergoglio, jusqu'à son appartenance ventilée à la franc-maçonnerie, etc. etc.

 

L'avocat Acosta écarte beaucoup d'entre elles, en réduit certaines et en reconnaît d'autres comme vraies, mais non diriments d'un point de vue juridique.

 

La présentation du livre explique ce qui importe vraiment à Acosta : "C'est le premier livre à offrir, avec une rigueur académique et d'une manière systématique, la preuve canonique que Benoît XVI n'a jamais renoncé validement à la fonction de Pontife Romain et reste donc le seul et unique vrai Pape de l'Eglise Catholique, auquel tous les catholiques doivent allégeance et obéissance sous peine de schisme. En raison de cette irrégularité et d'autres irrégularités précédant et concomitantes à l'élection du cardinal Jorge Mario Bergoglio lors du conclave de 2013, "François" est bel et bien un antipape, c'est-à-dire qu'il occupe illégitimement la Chaire de Pierre et, par conséquent, le reconnaître comme pape est, à tout le moins, un déni objectif de la vérité."

 

 

Enquête sur la manière dont la démission est "construite".


L'avocat Acosta explique la chose comme suit : "Dans le livre, nous montrons comment le texte de la Declaratio écrite par Ratzinger a été soigneusement préparé pour que, dans un premier temps, on ne remarque pas que Benoît XVI ne démissionne pas du tout de la fonction de Pontife. En fait, nous voyons comment, dans les déclarations qui suivent sa démission, Benoît XVI fournira divers indices pour que cette réalité puisse être découverte par une analyse attentive du texte, qui - sans surprise - est plein de fautes de latin pour attirer l'attention. Des indices supplémentaires sont aussi le fait que Benoît continue à porter du blanc (se justifiant par la phrase surréaliste qu'"il n'a plus de soutanes noires dans son armoire" ndlr) ; puis il veut maintenir sa résidence au Vatican, son nom, sa bénédiction apostolique et continue à répéter avec insistance qu'"il n'y a qu'un seul pape" sans préciser lequel...".

 

(... en frappant sa main sur l'accoudoir, comme pour dire "Les nazes !", ndlr).

 

"Attention, poursuit Acosta, la clé de l'invalidité de la démission ne réside pas dans le fait que Benoît a été "forcé". Benoît a agi librement dans le sens où il savait très bien ce qu'il faisait, il savait qu'il continuerait à être le Pape parce qu'il ne démissionnait pas d'ÊTRE le Pape (munus) mais déclarait simplement qu'il renonçait à FAIRE le Pape (ministerium) ou à réaliser (d'ailleurs, seulement une partie) des actions pratiques que le pontife réalise. Et cela invalide sa démission, comme nous le verrons, puisque "être" et "faire" sont indivisibles pour le pape. Pour cette raison, Ratzinger vient, de manière cohérente, de déclarer au Corriere della Sera : "Il y a huit ans, j'ai fait mon choix en pleine conscience et j'ai la conscience droite".

 

Tout était prévu, donc, mais pas dans le sens où les médias conformistes veulent le voir. Probablement, Benoît XVI a suivi cette stratégie pour laisser l'"Église profonde", comme l'appelle Mgr Viganò, se révéler pour ce qu'elle est, et pour ses intentions. Il a adopté la tactique de Bergoglio consistant à "ouvrir des processus et ne pas occuper des espaces" : il a laissé les choses évoluer d'elles-mêmes et sur la conscience progressive des fidèles, puisqu'il ne lui est pas possible de proclamer de manière autonome une vérité qui serait réduite au silence par les gardiens du politiquement correct.

 

 

Le nœud juridique clé mis en évidence par Acosta


Le point clé est qu'on ne peut pas ÊTRE pape SANS ÊTRE AUSSI COMPLÈTEMENT pape parce que munus (être) et ministerium (faire) sont indivisibles, ce que le Secrétaire de la Nonciature Apostolique Mgr Sciacca a également rappelé en 2019, (ed.).

 

Ratzinger déclare dans sa démission - que, puisque l'exercice pratique (ministerium) qui consiste à ÊTRE le pape (munus) lui est devenu pesant, alors il renonce à FAIRE certaines choses en tant que pape (comme "annoncer l'Évangile et gouverner la barque de Pierre"). Cela ne lui a jamais pesé d'ÊTRE le pape. Cela lui pesait seulement de faire certaines des choses pratiques que le pape fait.

 

Mais cette déclaration de sa part n'implique PAS qu'il n'EST plus le pape.

 

Puisque le Munus et le ministerium sont indivisibles, pour qu'il ne soit pas pape, il n'a même pas besoin de faire quoi que ce soit en tant que pape.

 

Vous comprenez ? Si le pape veut démissionner, il ne peut pas garder le munus (l'ÊTRE) et ne renoncer qu'aux choses lourdes du ministerium (le FAIRE). Trop commode. C'est pourquoi la démission de Ratzinger est habilement et consciemment construite comme un non-sens JURIDIQUE.

 

Benoît XVI N'A JAMAIS DÉMISSIONNÉ parce que la démission est INVALIDE et que le Pape EST TOUJOURS LUI, et SEULEMENT LUI puisque, comme tout le monde le répète : le Pape EST - SEULEMENT - UN".

 

Et d'ailleurs, pour preuve, Benoît XVI continue "fâcheusement" à s'habiller en blanc, à se signer Pastor pastorum, etc.

 

Le Cardinal Pell proteste contre sa conduite et les grands médias tentent de le rafistoler, comme ci-dessus.

 

 

Une métaphore banale


Vous avez la tête qui tourne ? C'est compréhensible, mais essayons un exemple plus terre à terre, pour ne pas trop nous stresser. Imaginons un type qui s'appelle Carlo et qui dit :

 

"Tu sais : les choses à faire qui impliquent d'ÊTRE le mari de Lucie sont devenues très lourdes, alors je déclare que je renonce à les faire, donc je NE SUIS plus le mari de Lucie".

 

Cette phrase n'autorise pas Carlo à ne plus ÊTRE le mari de Lucie, même s'il ne fait plus certaines des choses les plus pénibles à faire en tant que mari.

 

Tant qu'il n'y a pas de divorce légal avec perte de tous les droits et devoirs conjugaux, Carlo est le mari de Lucia et elle ne peut pas épouser Franco son nouvel amant.

 

Si Franco prétend être le mari légitime de Lucie, sans que le divorce avec Carlo ait eu lieu, Franco ment et est passible de poursuites.

 

C'est subtil, mais essayez d'aller au tribunal avec votre femme et de vous déclarer déjà divorcés comme le propose Carlo : voyons ce que le juge répondra.

 

 

Conclusions


En résumé, Ratzinger ne s'est pas "accidentellement trompé" en écrivant sa démission, car elle est construite selon une logique juridique qui n'est pas accidentelle ; il continue à être le pape de manière cohérente et à le faire "à moitié", ce qui est juridiquement impossible. Donc s'il dit que le pape est un, il nous dit implicitement que sa démission n'est pas valide et qu'il a été contraint à cet artifice.

 

Or, au-delà de l'aspect technique, où l'on peut s'égarer un instant si l'on n'est pas juriste, le scénario esquissé, aussi incroyable soit-il, fait s'emboîter toutes les pièces du puzzle et, de fait, le docile Benoît - seul vicaire du Logos incarné restant sur terre -, hormis le fait de voiler son langage, a toujours dit la vérité, se comportant de manière cohérente avec sa déclaration et son style d'homme et de religieux. Un tour de passe-passe ? Non. Après tout, il devait faire, ou ne pas faire, quelque chose pour défendre l'Église contre ceux qui faisaient pression pour le renvoyer ? C'est la faute des "autres" si, aveuglés par leur soif de pouvoir, ils n'ont pas réalisé que la Declaratio n'était pas juridiquement valable et constitue, aujourd'hui, pour eux, une sorte de bombe à retardement.

 

Acosta conclut : "Ratzinger est ambigu pour ne pas mentir, sachant que dans certains cas et sous certaines conditions, l'ambiguïté est moralement justifiée. C'est pour cela qu'il ne répond jamais clairement, c'est pour cela que ses réponses sont énigmatiques, c'est pour cela que sa "démission" est tout aussi "codée" : il semblait qu'il renonçait à être le pape mais en réalité, ce qu'il fait c'est "renoncer" à certaines fonctions pratiques qui selon lui correspondent au pape. Et cette "renonciation" fractionnelle, incomplète ou partielle n'est pas valide parce qu'elle va à l'encontre de la loi divine : elle va à l'encontre de l'institution de la papauté qui repose sur une seule tête, ce que Jésus a fait en choisissant seulement Pierre comme pape, et elle va à l'encontre de la plénitude des pouvoirs dont, de droit divin, le pontificat jouit".

 

***

 

Voyons maintenant si certains conservateurs vont prendre la parole, peut-être même en reculant (avec une pincée de bonne volonté) de quelque position granitique et en risquant quelque chose, et voyons si les modernistes bergogliens sauront répondre sur le ton et démonter cette reconstruction.

 

Probablement les habituelles accusations méprisantes de conspiration, les murs d'indifférence, les attaques personnelles, ou peut-être des réponses inutiles du type : "Le pape est le pape" arriveront. Malheureusement, c'est précisément le doute.

 

De telles réactions seraient encore plus contre-productives que les objectifs déjà lourds, les plus récents et égoïstes de la pensée dominante, tous du côté de Bergoglio.

 

Il n'est pas nécessaire d'attaquer, nous sommes ouverts. Qu'il y ait un débat et que le meilleur gagne sur une base technico-juridique, pour autant que l'échange se fasse entre des personnes pertinentes, lucides, intellectuellement honnêtes et intéressées par la Vérité.

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L
Depuis la parution de ce livre qui énumère très clairement les arguments canoniques en faveur de l’invalidité de la Declaratio de Benoît XVI, l’accusation ridicule de « complotisme » envers ceux qui soutiennent que Benoît XVI est encore le Pape s’effondre définitivement et laisse la place à un gros, un énorme doute, doute qui ne pourra être levé que par un processus juridique qui n’a jamais été lancé.<br /> Et puisqu’il y a doute et puisqu’il faut bien continuer à vivre en chrétiens et célébrer en catholiques, il serait important que les évêques autorisent les prêtres qui en feraient la demande à ne pas prononcer le nom du pape au canon de la messe (comme en cas de vacance du Siège), voire même à prononcer le nom de Benoît XVI sans se voir sanctionnés.
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D
http://www.homelie.biz/2021/05/la-question-de-la-messe-una-cum.peut-on-aller-a-la-messe-en-communion-avec-francois.html
D
Les évêques ne peuvent pas autoriser à prononcer indifféremment le nom de Benoît XVI et du "pape François", car deux papes supposent deux Eglises !
L
Avec ce livre bien étayé, l'accusation de conspirationnisme s'efface et fait place au mieux à un énorme doute : la Declaratio de Benoît XVI concentre un tel nombre d'éléments pouvant mener à l'invalidation de son retrait du ministère actif que la seule réponse que trouvent les autorités ecclésiales est le silence (preuve s'il en était que ce doute est énorme, car s'il était si facile d'y répondre, pourquoi ne le fait-on pas en haut lieu). En gros, tout le monde attend que Benoît XVI meure pour tourner discrètement la page. Or Benoît résiste et ne meurt pas; il joue le Viager à ses adversaires. En attendant le moment de Vérité que tout le monde s'accorde finalement à reculer, il faut bien continuer à vivre en chrétiens et à célébrer en catholiques. Voilà pourquoi il serait très important que les évêques autorisent les prêtres qui le désirent soit à ne pas prononcer le nom du Pape au canon de la messe, soit carrément à prononcer celui que personne (sauf un vaillant petit reste) ne veut entendre !
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L
Nous avons deux points d'accord :<br /> 1/ Un évêque en communion avec un antipape ne peut excommunier personne. Il est lui-même excommunié latae sententiae.<br /> 2/ Canoniquement, la mort de Benoît XVI, que les Bergogliens attendent, n'arrange rien, car les cardinaux nommés par un usurpateur ne pourront pas participer à un conclave valide. Tous ceux qui viendront après Bergoglio seront des antipapes comme lui.<br /> Merci d'être une voix dans le désert français à défendre le Vrai Magistère !
D
*avant la consécration, pardon.
D
1. À l'ère de l'Internet et des moyens de communication sociale l'excuse de l'ignorance invincible ne peut pas être invoquée. 2. Dans le canon romain, le plus ancien, la communion avec le Pape est mentionnée AVANT la communion. 3. Un évêque en communion avec un antipape ne peut excommunier personne. Il est lui-même excommunié latae sententiae.
L
Sur le premier point, je ne pense pas que le fait de se déclarer en communion avec François rende le sacrement de l’eucharistie invalide dans la mesure où d’une part le prêtre peut le faire sans avoir pleine connaissance du problème, et d’autre part où la phrase est prononcée après la consécration.<br /> Sur le deuxième, nous sommes d’accord, mais il est quand même permis à l’évêque, vu le doute, de fermer les yeux, ou plutôt les oreilles, et s’il ne veut pas les fermer, il a l’obligation de respecter le Code de Droit Canonique en termes de sanction éventuelle, et notamment les droits de la défense (contrairement à l’Italie, où les excommunications se font sans procès). <br /> Ce que je propose, essentiellement, c’est que les prêtres ayant un doute puissent ne pas prononcer de nom, comme lorsqu’il y a vacance du siège.
D
Canoniquement, la mort de Benoît XVI, que les Bergogliens attendent, n'arrange rien, car les cardinaux nommés par un usurpateur ne pourront pas participer à un conclave valide. Tous ceux qui viendront après Bergoglio seront des antipapes comme lui.

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