L’apostasie dans l’Église porte maintenant ses fruits les plus pervers : l’obligation de prendre le Vaxxin et le Test de la Mort. De l’Antipape de Rome jusqu'aux diocèses du monde entier, pris en charge par les forces des ténèbres et de la mondialisation, pour avoir refusé de rester en communion avec le Pape Benoît XVI, ou pour avoir refusé de revenir à la communion avec lui, maintenant que toutes les preuves ont été publiées pour que le monde puisse les voir, il y a une demande qui est faite pour que les prêtres, les séminaristes, les diacres, les évêques et les religieux, et même les catéchistes, les employés ou toute personne qui fait du bénévolat sur la propriété de l’Église, prennent le Vaxxin de la Mort ou se soumettent au Test de la Mort.
Pour ceux d’entre vous qui ne peuvent pas encore se rendre compte qu’une telle Église est ENTIÈREMENT divorcée de Jésus-Christ et NE DOIT PAS être obéie, la réponse est simple. Refusez et quittez. Mais pour ceux d’entre vous qui ne peuvent pas encore psychologiquement reconnaître que votre diocèse ou ordre religieux est en situation de schisme avec le Christ, il y a un argument canonique à utiliser, pour mettre à l’épreuve votre supérieur qui exige de tels outrages. Parce qu’il obéira soit à la loi canonique, soit se montrera totalement rebelle aux lois de Dieu.
Et donc, voici un argument canonique simple et solide pour tout prêtre, religieux, séminariste, etc., pour refuser le précepte qui émane de son supérieur pour qu’il prenne le Vaxxin de la Mort ou qu'il se soumette au Test de la Mort.
Et cela exige que vous lisiez et compreniez seulement 2 canons dans le Code de Droit canonique de 1983, promulgué par Jean-Paul II.
Examinons-les :
Canon 38
Actus administrativus, etiam si agatur de rescripto Motu prorpio dato, effectu caret quatenus ius alteri quesitum laedit aut legi consuetudinive probatae contrarius est, nisi auctoritas competens expresse clausulam derogatoriam addiderit.
Texte français
Un acte administratif, même s’il s’agit d’un rescrit donné par Motu proprio, ne produit pas d’effet s’il lèse un droit acquis, ou est contraire à une loi ou à une coutume, à moins que l’autorité compétente n’ait expressément ajouté une clause dérogatoire.
Mais puisque le précepte de votre supérieur de recevoir le Vaxxin ou de prendre le Test de la mort — qui doit être fait par écrit, sinon il n’existe pas, selon le canon 37 — porte atteinte à votre droit, accordé dans le canon 220, il est nul et non avenu, car
Canon 220
Nemini licet bonam famam, quae quis gaudet, illegitime laedere, nec ius cuiusque personae ad propriam intimitatem tuendam violare.
Texte français
Il n’est permis à personne de porter atteinte d’une manière illégitime à la bonne réputation d’autrui, ni de violer le droit de quiconque à préserver son intimité.
Or votre santé et le fonctionnement biologique de votre corps est une chose qui est la plus intime pour vous. Par conséquent, être commandé de lui faire du mal, ou risquer de lui faire du mal, va contre votre droit à la légitime défense (qui vous est accordée dans le canon 220). Un tel précepte est donc nul et non avenu (en vertu du canon 38).
En outre, puisque le droit à la légitime défense explicitement mentionné dans le canon 220 provient de la Loi naturelle, qui a Dieu comme auteur, AUCUN supérieur sur terre n’est compétent pour y déroger, afin de permettre à votre évêque ou supérieur majeur le droit de vous ordonner de le violer.
Ainsi, vous ne pouvez pas être obligé parce qu’aucun ordre ne peut être donné, et si l'ordre est donné, cela constitue un péché grave pour votre supérieur.