Sur l'image, vous voyez le Saint Père Benoît XVI photographié il y a quelques jours avec une vraie crèche, bien différente de celle de la Pachamama-syncrétiste-antipapale installée sur la Place Saint Pierre provenant du village des derniers adorateurs de l'Anti-Madone, la Pachamama. La photo NE PEUT PAS être considérée comme un message explicite de Ratzinger Code ICI car il n'y a pas d'incohérence évidente, (il est normal que Benoît puisse être filmé avec un symbole de Noël) mais ceux qui ont des yeux pour voir, voient très bien.
La véritable incohérence, pardonnez-nous, est constituée aujourd'hui par ceux qui, même face aux preuves macroscopiques, s'obstinent à se plaindre de Bergoglio, à le considérer comme le Pape et à lui dire toutes sortes de choses, sans vouloir se documenter sur le "Plan B" du Pape Ratzinger, désormais définitivement clarifié et/ou SANS MÊME VOULOIR EN DISCUTER, comme s'ils avaient peur d'aborder un sujet "trop beau pour être vrai".
Le néo-dogme dépressif "Ratzinger-moderniste-nous-a-entraîné-dans-ce-désastre" est comme la rasputitsa, la terrible boue du dégel de la steppe russe.. Une fois que l'on s'est enlisé, on ne peut plus s'en sortir, sauf, peut-être, après un demi-siècle, en étant tiré par une grue, comme ces chars soviétiques T 34 que les amateurs de reliques de guerre exhument de temps en temps.
Le "Plan B" n'est pas une théorie ou une suggestion, c'est une réalité objective résultant d'une enquête approfondie, menée par de nombreux professionnels, prêtres, universitaires (et aussi de nombreux lecteurs) respectés et courageux, vérifiée sous tous les profils : canonique, circonstanciel, testimonial, historique, théologique, documentaire, journalistique. Il y a une question canonique qui a été définie de manière complète et cohérente, même en utilisant les mêmes déclarations des canonistes bergogliens les plus célèbres, et elle montre que la Declaratio n'était pas du tout une renonciation, mais l'annonce informelle, par le pape, d'un AUTO-EXIL IN SEDE IMPEDITA très spéciale et sans précédent. Ceux qui ne le croient pas, confondus par des objections canoniques fumantes, peuvent se référer au Ratzinger Code, le système de communication certifié ICI par des psychologues, psychiatres, latinistes, juristes, linguistes, avec lequel Benoît XVI lui-même confirme exactement la situation canonique mentionnée. Ceux qui, au contraire, pensent que le Ratzinger Code n'est qu'un ensemble incohérent de distractions séniles et aléatoires, doivent alors s'accommoder de la superposition complète de ces messages à la situation canonique du Siège empêché. Il n'y a aucun moyen d'y échapper, désolé.
Pardonnez-nous d'être un peu affirmatifs, mais sans même distiller la créativité d'un million de Dan Brown, un prix Nobel de littérature parviendrait à tisser un tel roman fantastico-religieux en combinant des centaines d'éléments historiques, canoniques, circonstanciels et documentaires, tous relevant de manière cohérente et univoque du même panorama et de la même stratégie géniale. Voilà pourquoi il est nécessaire de lire - et bien - l'enquête ENTIÈRE, que vous trouverez commandée au bas de cet article ICI, en particulier les chapitres 1,2,5,6-14.
Ce n'est qu'à partir d'une conscience élargie et générale que la vérité peut s'affirmer sans incertitude.
Or, nous ne savons pas si Henry Sire, ancien chevalier de Malte expulsé de l'Ordre Souverain pour son livre courageux au titre éloquent : "Le pape dictateur" consacré à l'anti-pape François, a déjà abordé le sujet. Nous profitons de l'occasion pour le lui faire remarquer.
Ce qui est certain, c'est que de son interview accordée à Gloria TV ICI et reprise par notre ami Aldo Maria Valli ICI, Benoît XVI ressort comme un pauvre homme qui n'avait rien compris, une vision commune à une partie importante du monde traditionaliste : un pape qui, après avoir nommé bêtement des cardinaux modernistes invétérés, en 2013, avait préparé un plan très naïf : abdiquer en se concentrant sur le cardinal Scola, un pseudo-conservateur qui, ensuite, au contraire, s'est révélé être un sujet dévoué de Bergoglio. Une terrible gaffe, selon Sire, due au fait que Benoît a fait confiance à cardinal Bertone qui l'a ensuite, bien sûr, trahi. Ratzinger - selon l'ancien chevalier - avait également oublié l'existence de la Mafia de Saint-Gall, prétendument en sommeil depuis 2005, puis, inexplicablement, abdiqué en février 2013, oubliant qu'il n'a fallu que quelques mois pour que Bergoglio et les autres mafieux de Saint-Gall se retirent. Et tout cela découle, selon l'ancien chevalier, des dégâts causés par le Concile Vatican II (car Ratzinger est à moitié moderniste).
En gros, si Mr. Magoo avait été sur le trône de Pierre de 2005 à 2013, il aurait été plus vigilant et, certainement, moins malchanceux.
Il faut admettre que le discours de Sire serait certainement partageable à condition que le récit officiel sur l'abdication soit vrai. MAIS IL NE L'EST PAS.
Ratzinger n'a pas du tout abdiqué, mais, comme nous l'avons démontré de manière écrasante en 45 chapitres d'enquête, il s'est volontairement retiré dans la sede impedita (canon 412), la seule voie qui lui a permis d'opérer une série d'apparentes absurdités : déclarer renoncer au seul ministerium (contrairement au can. 332.2) dans une Declaratio pleine d'erreurs, en reportant la mesure, en ne la ratifiant avec aucune confirmation après 20 heures le 28 février et surtout en MAINTENANT LE MUNUS PETRINO en le séparant, seulement de facto, mais pas juridiquement, de l'inséparable ministerium. Dans ce statut, souligné par des signes très visibles comme la robe blanche et la résidence au Vatican, maquillé en une inexistante papauté émérite, Ratzinger a empêché qu'un pape moderniste soit légitimement élu et a pu, en même temps, rester l'unique pape dont il parle depuis huit ans - allant jusqu'à taper de la main sur l'accoudoir - mais sans préciser qui l'est, et en remplissant pleinement et efficacement la fonction de Katechon.
Le conclave de 2013, invalide car convoqué avec le pape vivant et NON ABDICATAIRE, a permis à Bergoglio et aux siens de s'anti-papaliser et de se schismatiser grâce à leur soif de pouvoir. Un plan anti-usurpation génial, conçu dès 1983, lorsque la fonction pontificale fut décomposée sous la supervision de Ratzinger en deux entités, dont l'une était la fausse cible à donner en pâture aux ennemis : le ministerium. Nous rappelons que dans l'article 675 du Catéchisme rédigé par le cardinal Ratzinger, une agression interne contre la papauté était explicitement redoutée. Sans parler du troisième secret de Fatima : Benoît XVI SAVAIT TOUT, depuis des décennies, et avait pris ses précautions.
"Pourquoi alors ne le dit-il pas clairement ?" est la question obvie qui résonne. Etant donné que le statut de Siège empêché présuppose l'impossibilité de communiquer avec le monde extérieur, si Benoît XVI devait dire aujourd'hui "Je suis le pape", cela donnerait aux bergogliens l'occasion de contester : "Mais alors où serais-tu empêché si tu peux dire toutes les énormités que tu veux ?".
Nous devons donc attendre un peu plus longtemps. Loin d'être un érudit maladroit, comme Henry Sire voudrait nous le faire croire. Plutôt un guerrier spirituel, un pape gigantesque qui a fait en sorte que les non-croyants se séparent des croyants, comme il l'a récemment répété au Herder Korrespondenz ICI. En outre, toujours à propos de preuves flagrantes, il est évident que si Ratzinger avait vraiment voulu abdiquer, compte tenu de la gentillesse, de la rectitude formelle et de la légère discrétion de l'homme, il n'aurait certainement pas fait tous ces gâchis canoniques, Il ne serait pas resté au Vatican, vêtu de blanc, continuant à se prévaloir de toutes les prérogatives papales possibles et imaginables, et remplissant les quelques "sorties libres" qui lui sont accordées (livres, interviews) de messages subtils, mais retentissants, dans un Ratzinger Code désormais reconnu même par les lecteurs ordinaires. Une réflexion évidente que vous trouverez ICI.
Le Vicaire a donc déjà gagné et c'est dans la logique des choses (également d'un point de vue théologique) que viendra le moment de la vérité, de la révélation finale, mais nous vous laissons le soin d'imaginer, de manière prévisible, quand ce sera.
Quant à l'élection des cardinaux modernistes, nous savons que tant Jean-Paul II que Benoît XVI, affaiblis dans leur pouvoir, ne pouvaient que très peu gérer cette dynamique. De plus, dans la perspective du plan B, l'élévation de ses ennemis modernistes au rang de cardinal équivaudrait, le cas échéant, à les placer sur la rampe de lancement pour le schisme.
La confiance de Ratzinger en Bertone est démentie par les désaccords sur Fatima dès 2010, le limogeage de Gotti Tedeschi à l'insu de Benoît XVI, et les lettres de plainte sur le secrétaire d'État qui ont émergé avec Vatileaks, la plus grande aide au vrai pape. Quant à la Mafia Saint-Gall, elle n'a jamais cessé ses activités, elle a même organisé des boycotts continus, surtout depuis 2010. Bergoglio a toujours été en attente.
Au sujet du prochain conclave, il n'y a pas de débat. Benoît n'a pas abdiqué, il est le vrai pape, et un conclave qui inclut comme électeurs "ceux à qui il n'appartient PAS de le faire" (voir Declaratio), c'est-à-dire les cardinaux nommés par Bergoglio, éliront un autre antipape, qu'il soit moderniste ou traditionaliste. En outre, on ne voit pas très bien sur la base de quelle loi politique un conclave de 80 cardinaux nommés par Bergoglio devrait élire un pape conservateur. Vraiment ? Bergoglio a d'ailleurs déjà choisi le nom de son antipape successeur, Jean XXIV, une référence grossière au nom d'un antipape et du pape du Concile : il doit avoir ses raisons.
L'essentiel est d'arriver au moment d'actualité de la mort d'une des deux robes blanches, avec une opinion publique PRÊTE. Cependant, ce processus de maturation est combattu non seulement par les médias bergogliens, désormais vendus en bloc aux grandes puissances, mais aussi par certains traditionalistes auto-empêchés dans l'impasse désespérante du renoncement valide de Benoît XVI.
Compte tenu du clair de lune, nous nous risquons à une prédiction, pour ainsi dire, à prendre, bien sûr, avec des pincettes. Bergoglio ne fêtera pas la neuvième année de son pontificat, tout comme l'antipape Anaclet II ne l'a pas fait en 1138. Après lui, grâce aussi aux traditionalistes qui résistent à la compréhension du plan B, il y aura un conclave précipité qui élira un autre antipape moderniste terrifiant, un Tagle, un Zuppi, ou un Maradiaga, par exemple, comme lorsque Victor IV a succédé à Anaclet II. Celui-ci devra donner le coup de grâce au catholicisme sur la transsubstantiation (Bergoglio ne pourra pas le faire, il n'en aura pas le temps) mais cela ne durera pas longtemps car, finalement, après tant d'exaspération, un prélat doté d'une certaine énergie virile arrivera, comme saint Bernard de Clairvaux, qui remettra les choses en place. L'histoire se répète souvent en blocs symétriques.
Maintenant, ce n'est qu'une prédiction sans aucune prétention, mais dans les faits objectifs, si les modernistes ont préparé le premier antipape, certains traditionalistes sont - actuellement - en train de préparer le second.