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Praedicatho homélies à temps et à contretemps

Praedicatho homélies à temps et à contretemps

C'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui va juger les vivants et les morts, je t’en conjure, au nom de sa Manifestation et de son Règne : proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, toujours avec patience et souci d’instruire. Crédit peintures: B. Lopez


Bergoglio ou Ratzinger? Réponses "oui/non" : Benoît XVI est le Souverain Pontife, le pape François n’existe pas

Publié par dominicanus sur 29 Mars 2022, 02:23am

Catégories : #Benoit XVI, #Il est vivant !, #Porta fidei, #actualités

 

 Andrea Cionci
Bergoglio o Ratzinger? Risposte “sì sì /no no”: Benedetto XVI è il Sommo pontefice, il papa Francesco non esiste

Écrit par Andrea Cionci (28/03/2022) - Traduction française autorisée : père Walter Covens

 

 

Selon l'Église, la Vierge de Fatima a demandé au pape, il y a cent ans, la consécration de la seule Russie. Le 25 mars, Bergoglio a plutôt célébré une consécration "inclusive" qui, en l'espace de quelques jours, a également impliqué l'Ukraine, l'humanité, l'Église, "nous-mêmes", avec une formule pleine de bizarreries : Le "mystère d'iniquité" de saint Paul, transféré de l'apostasie à la guerre ; l'insistance suspecte sur la "fraternité" ; des attributs mariaux inhabituels tels que la "terre du ciel" vaguement pachamamique (utilisée par le néo-arien Enzo Bianchi), et la référence au culte à l'esprit ésotérique des "Nœuds déliés".  ICI les détails.

 

De plus, à la même époque, il célébrait à Fatima son aumônier Konrad Krajewsky. Comme nous l'avons constaté en interrogeant la compagnie d'électricité, il n'a jamais payé, comme il l'avait promis, la facture de 300.000 euros de l'immeuble romain qu'il occupe, auquel il avait illégalement rebranché le courant il y a trois ans, maintenant jusqu'à aujourd'hui une situation de dangereuse illégalité ICI .

 

Il n'est pas surprenant que Benoît XVI, "rejoignant l'appel" (et non l'intention) de Bergoglio, ait choisi de ne pas participer directement à tout cela, priant plutôt de son côté (et nous ne savons pas en quels termes).

 

Les événements de la semaine dernière suffiraient à eux seuls à nous dire qui est le pape et qui ne l'est pas, confirmant intuitivement les résultats incontestables de l'enquête que nous menons depuis 2020 et qui se répand dans le monde entier.  Vous le trouverez réarrangé au bas de cet article ICI .

 

Il s'agit d'une histoire choquante, nous en sommes conscients, pas immédiatement compréhensible au début, également parce que le vrai Saint Père Benoît XVI ne peut pas parler explicitement, pour deux raisons : 1) il est in sede impedita, une situation canonique où le pape est confiné/prisonnier. 2) Il parle avec un langage subtilement logique comme Jésus, pour s'assurer que seul "celui qui a des oreilles entend" et pour "séparer les croyants des non-croyants", comme il l'a lui-même admis à la Herder Korrespondenz. ICI

 

Cependant, le langage voilé du Pape Ratzinger décrit une réalité canonique objective : pas de conspiration. D'ailleurs, nous n'aurions aucun intérêt à affirmer des choses d'une telle gravité par souci masochiste d'auto-discrédit. Il y a cependant deux raisons extrêmement importantes pour lesquelles elle mérite d'être mentionnée :

 

1ère raison, pour les laïcs : si les puissances dites mondialistes et la maçonnerie internationale ont réussi à chasser le vrai pape de la "citadelle imprenable" de l'Église catholique, imaginez la situation dans le monde de la politique laïque, avec tous les risques pour les citoyens et pour notre pays.

 

2ème raison, pour les croyants. Pensez-vous que le Seigneur puisse être heureux que son Vicaire ait été évincé ? Pensez-vous que Dieu puisse s'adapter aux complots et aux péchés des hommes sans leur envoyer quelques "épreuves" pour retrouver leur chemin ? Et ici, plusieurs "procès" sévères se succèdent depuis des années, semble-t-il.

 

Vous trouverez donc ci-dessous une série de réponses rapides, sur le modèle bien connu et efficace du "oui oui/non non", pour clarifier facilement la Magna Quaestio, avec tous les liens vers les éclairages nécessaires.

 

Le Code de droit canonique exige-t-il que le pape, pour abdiquer, renonce au MUNUS pétrinien (titre papal d'origine divine) ? OUI, dans l'article 332.2 du Code de droit canonique. Et la renonciation doit être simultanée, tout comme l'élection.

 

Benoît XVI a-t-il renoncé au munus le 11 février 2013 ? NON. Il a renoncé au ministerium, à l'exercice pratique du pouvoir, différé et non ratifié après son échéance. Par conséquent, seulement de facto.

 

Mais les termes munus et ministerium ne sont-ils pas interchangeables ? NON. Si le munus est renoncé, le ministerium devient également caduc, car il y a abdication, mais si le ministerium est renoncé, le munus ne l'est pas. ICI .

 

S'il n'y a pas d'abdication, y a-t-il une autre situation canonique ? Oui, le Siège empêché (canon 412) où le pape n'exerce pas son pouvoir pratique parce qu'il est empêché, emprisonné, confiné et non libre de s'exprimer.

 

Mais le pape empêché reste-t-il toujours le pape ? OUI. Benoît XVI est donc aujourd'hui le seul pape et vicaire du Christ existant, comme il l'admet lui-même ICI .

 

Mais le conclave de 2013 a élu François. NON. Il n'a élu personne : le conclave était nul et non avenu car on ne peut le convoquer que si le pape précédent est mort ou s'il a abdiqué et il n'y avait aucune des deux conditions indispensables préexistantes. ICI 

 

C'est le cardinal Ratzinger qui a introduit la dichotomie munus/ministerium dans le droit canonique ? OUI. En 1983, il était le bras droit de Jean-Paul II. Ce système reprend intégralement le système anti-usurpation du droit dynastique austro-allemand, que Ratzinger ne pouvait pas ne pas connaître. ICI 

 

Mais le fait que tous les cardinaux aient accepté l'élection de François la rend-elle valide ? NON. La doctrine de l'Universalis ecclesiae adhaesio pourrait remédier à certaines imperfections d'un conclave légitime, mais n'assainira JAMAIS un conclave illégitime, convoqué avec un pape non mort et non abdicateur. Les cardinaux ne se sont pas rendu compte que Benoît XVI entrait in sede impedita, car celle-ci ne peut être déclarée explicitement : elle existe tout simplement. 

 

Il ne peut donc pas y avoir deux papes valides ?  NON. A tel point que Benoît lui-même répète depuis 9 ans qu'il n'y a qu'un seul pape sans jamais expliquer lequel. ICI 

 

Mais le "ministère élargi" dont vous parlez existe-t-il pour le droit canon ? NON. Il n'existe pas juridiquement, il n'existe que de facto, mais c'est un "lieu théologique", une sorte de ministère entre un pape légitime et un pape illégitime, où un sacrifice est fait, comme pour le Christ avec Judas. 

 

Et la papauté émérite existe-t-elle d'un point de vue canonique ? NON, à tel point que l'année dernière, Bergoglio a demandé aux canonistes de trouver une jurisprudence pour cette institution inexistante. ICI

 

Le terme "pape émérite" a-t-il donc une autre signification ? OUI. Du verbe latin emereo, "celui qui mérite, qui a le droit" d'être pape. C'est l'appellation pour distinguer le vrai pape dans le ministère élargi entre le pape légitime et le pape illégitime. ICI 

 

Donc le pape émérite est le souverain pontife ? OUI. La Secrétairerie d'État du Vatican l'écrit aussi textuellement ICI . Mais les canonistes qui ont contesté cette "nouveauté" du pape Benoît l'avaient déjà compris, "par exclusion", comme une institution juridique.

 

Est-ce la raison pour laquelle Benoît porte du blanc et conserve son nom pontifical ? OUI. Et il continue, comme il y a quelques jours ICI à donner sa bénédiction apostolique (exclusive au pape régnant) et à vivre au Vatican. Il a retiré deux ornements - la fascia et le mantelet - de l'habit du pape pour signifier son empêchement, son "handicap". ICI 

 

Le pape Benoît s'est-il donc formellement emprisonné pour défendre l'Église et la foi ? OUI. Comme le cardinal Danneels l'a reconnu en 2015, la Mafia de Saint-Gall, un lobby de cardinaux modernistes ennemis de Benoît XVI, voulait qu'il abdique et, comme le décrivait Paolo Flores d'Arcais en 2010, il se heurtait à toutes les puissances mondialistes du monde. Il a donc fallu l'écarter du chemin. ICI et ICI 

 

Mais Benoît XVI a déclaré depuis Castel Gandolfo : "Je ne serai plus le Souverain Pontife". NON. Il a dit qu'il ne serait plus "pontife souverain", c'est-à-dire qu'il ne serait plus "le pontife le plus haut placé" car il y en aurait un autre plus éminent que lui (et illégitime). En outre, on peut rester pape même sans être pontife suprême, puisque le titre n'est apparu qu'au Ve siècle. ICI 

 

Pourtant, Benoît XVI a admis qu'il avait librement renoncé à son ministère. OUI : mais son "ministère-ministerium", et non son "ministère-munus" puisque munus et ministerium sont traduits en italien par le même mot "ministero".  Ils voulaient le faire abdiquer, mais il a, en effet, choisi librement... d'entrer dans le siège empêché.

 

Mais Benoît a juré obéissance à François ! NON. En 2016, il a écrit dans Dernières Conversations, en réponse à une question sur la façon dont il pouvait jurer obéissance : "Le pape est le pape, peu importe qui il est". Il n'a donc jamais juré obéissance à Bergoglio. Il disait le 28 février 2013 que parmi les vrais cardinaux qui l'écoutaient se trouverait le futur pape, et il avait raison... Mais il l'attend toujours. ICI 

 

De vrais cardinaux ? Donc ceux qui ont été nommés par Bergoglio ne sont pas valides ? NON. Les 70 cardinaux nommés par l'antipape ne sont pas valides et si un futur faux conclave est organisé, avec ceux de nomination légitime, antérieurs à 2013, ils éliront un autre antipape, peut-être le Jean XXIV dont parle Bergoglio (nous ne savons pas à quel titre) et qui, ce n'est pas une coïncidence, prend aussi le nom de l'antipape Jean XXIII, Baldassarre Cossa. ICI 

 

Benoît a-t-il dit cela en d'autres occasions ? OUI. Dans la même Declaratio, Benoît XVI précise que le prochain pape doit être élu "par ceux qui en ont la compétence".

 

Mais dans la Declaratio, il a écrit qu'il laissait le "siège vacant". NON. Le verbe latin vacet se traduit littéralement par "siège libre, vide, dégagé" et, juridiquement, le fait de renoncer au ministère ne produit pas de sede vacante. En fait, le pape a pris l'hélicoptère et a laissé le siège libre, à la disposition des usurpateurs. ICI 

 

La situation sera-t-elle résolue par le départ de Bergoglio ? NON. Il est essentiel que Benoît (s'il est vivant) soit remis sur le trône, peut-être avec une pseudo-réélection, soit que le prochain conclave soit pur, c'est-à-dire composé uniquement de cardinaux d'avant 2013 ou validé par le pape Benoît. ICI 

 

Pourtant, Benoît, dans "Dernières conversations" (2016), semble apprécier François. NON. Il n'a fait que des observations neutres sur certaines des caractéristiques humaines de M. Bergoglio, telles que son caractère décidé, sa capacité à plaire aux masses et son souci du consensus. Aucune appréciation positive non équivoque de l'homme, aucun commentaire sur la doctrine, la sainteté ou la capacité à gouverner du prétendu pape.  

 

Mais alors, quand Benoît embrasse Bergoglio, est-ce que c'est du théâtre ? NON. Le pape Benoît est sincère : comme Jésus, il "aime son ennemi", c'est-à-dire le pape illégitime, ce qui est très différent d'être son ami ou de le reconnaître comme le pape légitime. Le Christ a laissé Judas l'embrasser : était-ce du théâtre ? ICI 

 

Le Vatican a-t-il déjà démenti votre enquête ? NON. Pas depuis mars 2021, lorsque l'avocate Estefania Acosta a publié son volume juridique niant la validité de la Declaratio en tant que renonciation.  ICI 

 

Et le pape Benoît vous a-t-il déjà démenti ? NON. Pas même quand il nous a fait l'honneur de nous répondre par lettre. S'il était un ancien pape, il aurait certainement dû le faire. En effet, il nous a donné la seule réponse qu'il pouvait donner depuis le Siège empêché : "avec toutes les bonnes intentions, il n'est tout simplement pas possible de vous recevoir", accompagnant la lettre de ses armoiries de pape régnant.  ICI 

 

Donc Benoît utilise une sorte de langage voilé ? OUI. Nous l'avons appelé, par commodité, le "Ratzinger Code" et il a été analysé et certifié par divers spécialistes, linguistes, juristes, psychologues, littéraires, historiens, latinistes. ICI 

 

Est-ce une langue réservée aux spécialistes, canonistes, théologiens... ? NON. Beaucoup de ses messages sont à la portée de tous, certains sont compréhensibles même par un enfant de huit ans, comme lorsqu'il répète qu'il n'y a qu'un seul pape sans jamais dire lequel. D'autres sont si directs (les "messages au km 0", comme nous les avons appelés) qu'il n'est même pas nécessaire de les interpréter. ICI 

 

D'autres sont-ils plutôt complexes ? OUI. Comme le "puzzle de la mozzetta rouge", ICI ou la référence clé au pape médiéval Benoît VIII ICI . Cela demande un peu d'étude, mais le sens est clair et sans équivoque.

 

Mais Benoît ne peut-il pas parler plus clairement ? NON. Il se trouve dans une situation d'empêchement, une situation dans laquelle il n'est pas libre de s'exprimer, aussi utilise-t-il le même langage que Jésus pour ne le faire comprendre qu'à ceux qui "ont des oreilles pour entendre". ICI

 

Veut-il donc opérer une sorte de sélection parmi les catholiques ? OUI. Il entend ainsi "séparer les croyants des non-croyants", comme il l'a déclaré cet été dans le Herder Korrespondenz. ICI

 

Mais Benoît XVI appelle parfois Bergoglio "Pape François". OUI. Mais il ne dit jamais qu'il EST le pape. En outre, il y a aussi le pape Théodore II qui n'est pas catholique mais copte orthodoxe. Il l'appelle ainsi parce que Bergoglio FAIT le pape, il exerce le pouvoir, ce qui n'a rien à voir avec sa légitimité, son ÊTRE pape. Il est le pape illégitime du ministère élargi.

 

Bergoglio est-il donc un anti-pape ? OUI, forcément Parce que le pape précédent est vivant et n'a pas abdiqué, donc il exerce abusivement le pouvoir papal pratique n'ayant pas l'investiture d'origine divine, le munus.

 

Bergoglio a-t-il déjà abordé cette question ? NON. En effet, il recommande de manière obsessionnelle de ne pas "faire de ragots", vraisemblablement à son sujet. ICI 

 

Mais Bergoglio, en tant qu'antipape, est-il assisté par le Saint-Esprit ? NON. Du point de vue de la foi, seul le vrai pape l'est, tant ex cathedra que dans l'enseignement ordinaire (art. 892 du Catéchisme). ICI 

 

Officiellement, Bergoglio a déjà changé la doctrine. OUI, avec l'encyclique Amoris laetitia et le Catéchisme à l'art. 2267. ICI et ICI Puis il a "euthanasié" l'ancienne messe en latin, la seule à offrir une garantie totale de catholicité. ICI 

 

Bergoglio est-il catholique ? NON. Il a une spiritualité bien à lui, qui puise dans le néo-luthéranisme, le néo-arianisme, le néo-paganisme, la psychanalyse, l'ésotérisme, le modernisme, l'écologisme athée, le syncrétisme, la gnose et l'apocatastase. Une conception spirituelle très appréciée par la franc-maçonnerie anti-chrétienne, à tel point que Bergoglio a reçu environ 70 lettres d'éloges de loges du monde entier. ICI 

 

Cette nouvelle religion plaît-elle ? OUI parce qu'elle éteint le sens du péché, envoie tout le monde au ciel, flatte l'émotivité et se propose comme une philosophie de vie facile. Il présente le même attrait qu'un régime amaigrissant à base de pizzas et de sucreries, ou qu'un placement financier sans risque, mais avec des gains importants. Cependant, ce n'est pas l'enseignement du Christ transmis par l'Église catholique depuis 2000 ans.

 

Mais au point où nous en sommes, puisqu'elle plaît, ne pouvons-nous pas garder la religion de Bergoglio ? NON, elle n'est pas correcte. Ceux qui veulent croire à la religion de Bergoglio sont libres de construire leur propre église. Mais modifier la foi catholique vieille de deux mille ans en se faisant passer pour un catholique s'appelle une "fraude". C'est illicite et rien de bon ne peut en sortir.

 

Tous les catholiques authentiques, liés à l'orthodoxie, ont-ils compris que Bergoglio n'est pas le pape ? NON. Pas tous. Seule une minorité qui reconnaît explicitement Benoît XVI comme pape. Les autres sont les "una cum", qui disent du mal de François, mais le reconnaissent comme le pape légitime et nous donneront probablement un autre antipape après lui en approuvant un faux conclave.

 

Est-ce une contradiction de dire du mal de François et de le reconnaître comme pape ? OUI. Parce que le pape est assisté par le Saint-Esprit (même dans l'enseignement ordinaire) et que, par conséquent, les catholiques ne peuvent pas dire du mal de lui, ou prétendre qu'il est un hérétique, ou un ennemi de la foi, sans offenser la Troisième Personne trinitaire.

 

La seule explication théologique réside donc dans le fait que Bergoglio n'est pas pape. OUI. En fait, Bergoglio est "justifié" de faire ce qu'il fait, à savoir démolir le catholicisme, dans la mesure où il n'est pas le pape. ICI 

 

Y a-t-il des personnes religieuses qui ont fait des déclarations dans ce sens ? OUI. Trois évêques émérites (Lenga, Gracida, Negri) et plusieurs prêtres, moines, moniales. Certains ont été excommuniés sans procès canonique. ICI 

 

Donc tout ce que Bergoglio a fait en neuf ans est nul et non avenu ? OUI. Tout sera annulé, à l'exception de quelques actes d'administration ordinaire.

 

Y aura-t-il un schisme ? OUI. C'est très probable, mais ce serait une bonne chose car une bonne partie du clergé n'est plus catholique, a apostasié divers dogmes et a repris des revendications mondaines et mondialistes qui sont totalement contraires à la foi catholique.

 

Le pape Benoît purifie donc l'Église ? OUI. Par son sacrifice, qui anéantit juridiquement l'usurpateur, il a déjà "schismatisé" les hérétiques et les modernistes.

 

Il reste donc à voir de quel côté se trouvera le siège pétrinien. OUI. Beaucoup dépendra des vrais catholiques et de leur volonté de se battre pour la vraie foi. Pour l'instant, la "voie large" (qui descend) offerte par Bergoglio convient à beaucoup. ICI 

 

Une véritable église catholique pourrait-elle donc renaître des cendres ? OUI. La véritable Église pourrait tout perdre, le Vatican, l'argent, les trésors, les palais, etc. en "sortant de la synagogue" comme aux premiers jours du christianisme. Mais la foi sera sauvée et, à terme, la structure sera également ressuscitée.

 

Les cardinaux peuvent-ils faire quelque chose ? OUI. Ils peuvent demander, par exemple, qu'un synode provincial fasse la lumière sur le siège empêché de l'évêque de Rome. Mais il leur suffirait de dire la vérité, en bloc.

 

Seraient-ils excommuniés ? OUI, selon toute probabilité, mais l'excommunication serait invalide car elle serait imposée par un antipape. Ensuite, cela dépend beaucoup de la "masse critique" : il serait un peu difficile pour Bergoglio d'excommunier une cinquantaine de cardinaux.  ICI 

 

Les fidèles peuvent-ils faire quelque chose ? OUI. En effet, la responsabilité est largement entre les mains des laïcs puisque le clergé est sanctionnable. Ils peuvent diffuser la vérité et exiger la clarté de la part de leurs pasteurs. Ils peuvent déserter toutes les initiatives anti-papales de l'Eglise, comme l'ont fait les catholiques français en 1790, en faisant de la terre brûlée autour du clergé qui avait juré fidélité à la Révolution.

 

N'est-il pas étrange qu'aucun des grands médias n'ose aborder le sujet ?  OUI. Et c'est extrêmement inquiétant.

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