Avertissement : cet article ne convient pas à un public qui n'est pas prêt à faire preuve de la plus élémentaire PENSÉE LOGIQUE. Cependant, si vous avez suivi et compris tous les épisodes précédents consacrés aux messages du "Ratzinger Code" que le vrai pape diffuse depuis huit ans dans des livres et des interviews, (ICI) vous êtes prêts à comprendre l'un des plus ingénieux et des plus "mathématiques".
C'est une question que le journaliste Peter Seewald sert sur un plateau d'argent au Saint-Père Benoît XVI dans le livre-interview "Dernières Conversations" (Librairie Arthème/Fayard 2016).
AVANT-PROPOS : il est important de savoir que lors d'occasions spéciales, comme leur élection, les papes portent une MOZZETTA rouge sur leur soutane papale blanche classique, tout comme les CARDINAUX portent du rouge pour les cérémonies importantes. Bergoglio, en revanche, lorsqu'il a été soi-disant "élu" en mars 2013, a décidé de se présenter au balcon du Palais apostolique avec une mozzetta blanche, donc complètement vêtu de blanc, dans la tenue "ordinaire" du pape. Apparemment, il a refusé la mozzetta rouge, commentant avec mépris : "C'est fini le carnaval". (Mais cela ne faisait que commencer ICI).
Et voici ce que Seewald demande à Benoît XVI :
"Qu'avez-vous pensé lorsque votre successeur est apparu sur la loggia de la basilique Saint-Pierre ? Et qui plus est, habillé en blanc ?".
Réponse du pape Ratzinger :
"C'était son CHOIX, NOUS qui l'avons précédé étions aussi en BLANC. Il ne voulait pas de la mozzetta ROUGE".
Selon une lecture superficielle et politiquement correcte, le sens apparaît comme suit : "Le pape François, mon successeur légitime, s'est présenté vêtu de blanc, comme "nous" l'avions également fait lors de notre élection (pluriel de majesté ou "nous tous les papes qui l'ont précédé"). Bergoglio a toutefois choisi de ne pas porter la mozzetta papale rouge des grandes occasions".
Mais cette interprétation est démentie par le FAIT que Benoît XVI, et tous les derniers vrais papes avant lui, se sont tenus au balcon le jour de l'élection en portant la MOZZETTA ROUGE.
Benoît a donc dû répondre : "C'était son CHOIX, nous qui l'avons précédé étions en ROUGE. Bergoglio ne voulait pas de la mozzetta ROUGE".
OBJECTION : "Ah, mais Ratzinger faisait référence à la robe blanche ordinaire du pontife, celle que tous les papes portent habituellement".
ET DONC BERGOGLIO N'AURAIT PAS PU "CHOISIR" DE PORTER DU BLANC "COMME RATZINGER",
à moins qu'il ne l'ait fait de manière ABUSIVE.
Si la référence était, en fait, la soutane papale blanche normale de Benoît XVI, le pape nouvellement élu n'aurait pas pu "choisir" de porter "lui aussi" la robe blanche car c'est l'identification par défaut, obligatoire, du pape. La seule "option" possible était de porter ou non la mozzetta rouge sur la robe blanche de base.
ALORS QUEL EST LE SENS RÉEL DE CETTE PHRASE ?
Comme nous vous le disons depuis environ un an, Benoît XVI n'a jamais abdiqué, mais s'est retiré in sede impedita (canon 412), une situation canonique où il reste le seul vrai pape, auto-confiné au Vatican. Vous trouverez ICI, en bas, l'intégralité de l'enquête de 60 chapitres qui le démontre. Le conclave de 2013 qui a élu Bergoglio était donc invalide, car le vrai pape n'était ni mort ni abdiqué. Il y a donc eu une usurpation.
Ainsi, le seul sens de la phrase qui soit logiquement cohérent - même avec l'aspect canonique - est juste celui-ci :
"Bergoglio a CHOISI sans aucun droit de porter la robe blanche d'un vrai pape. Il ne voulait pas se contenter de la mozzetta rouge de CARDINAL qui lui revenait".
Nous y sommes ? Relisez-le, il peut sembler être une énigme : l'écrivain a mis six mois à comprendre ce genre de calembour (NDT : en français dans le texte).
Des énigmes aussi fascinantes ne sont pas écrites pour le plaisir. Elles ont un sens théologique profond : le pape Benoît nous explique, même avec humour, la signification du Logos, la Raison qui révèle la vérité. Et le Logos est le Christ lui-même, le Verbe fait chair.
Voyez-vous comment le vrai Pape Benoît XVI, et l'usurpateur Bergoglio se trouvent aux antipodes l'un avec l'autre ?
Le premier est le seigneur de la Logique. Son antagoniste, l'anti-pape François, est le seigneur du Pathos qui, par exemple, réussit à hypnotiser émotionnellement tous les médias avec sa fausse visite impromptue chez le disquaire il y a deux jours, mais qui échoue désastreusement sur un détail : son photographe personnel était tapi lors de la visite "surprise", prêt à le filmer. Lire ICI.
Il suffit donc de se demander, selon une logique élémentaire : "Mais comment pourrait-il s'agir d'une visite impromptue, d'une surprise, si le photographe était déjà là ?". Et c'est ici que la logique démasque le mensonge.
Donc vous savez déjà qui va gagner à la fin. Accrochez-vous.