ALORS QUE LA RESTAURATION DU PAPE BENOÎT SE PROFILE, LES MONDIALISTES LANCENT DÉSESPÉRÉMENT UNE DERNIÈRE CAMPAGNE DIFFAMATOIRE

Publié par dominicanus sur 6 Janvier 2022, 01:42am

Catégories : #Benoit XVI, #Il est vivant !, #Porta fidei, #actualités

Écrit par Fr Alexis Bugnolo (05/01/22) - Traduction française autorisée : père Walter Covens

Du point de vue des Mondialistes et des Bergogliens, Joseph Ratzinger est simplement un pape émérite qui n'a et ne détient aucune fonction ou autorité dans l'Église, qui a démissionné validement en 2013, et qui ne reviendra jamais au pouvoir ni ne recouvrera jamais le ministère. C'est un moins que rien qui doit être et sera réduit au silence.

Depuis le jour de son élection canonique en tant que Pape, Benoît XVI a été universellement dénigré par la presse mondialiste, les mêmes agences qui ont salué Bergoglio comme un Saint depuis le jour de son élection non canonique.

Alors, maintenant que Bergoglio serait en train de mourir, et sans tarder, pourquoi les agences pro-Bergoglio n'insistent-elles pas sur le fait qu'il est en bonne santé et que les rumeurs de sa mort imminente sont fausses ?

Pourquoi lancent-elles au contraire une ultime campagne de dénigrement désespérée contre le vieux Joseph Ratzinger, servi par un secrétaire et 2 ou 3 religieuses dans le monastère Mater Ecclesiae au Vatican ?

L'attaque, que vous pouvez lire ICI est la plus spécieuse qui soit. Un prochain rapport pourrait dresser un mauvais bilan de l'ancien archevêque de Munich, Joseph Ratzinger, pour son service dans cette ville entre 1977 et 1982.

Waouh, vous devez donc remonter 50 ans en arrière pour une éventualité qui n'est même pas publiée ? Par un avocat qui a manifestement été engagé pour faire un travail de tueur à gages ?

Mais en quoi consiste l'accusation ? L'ancien archevêque n'en a pas fait assez au sujet d'un prêtre qui était affecté au diocèse mais qui était originaire d'Essen. Quelqu'un au sujet duquel l'archevêque Ratzinger n'avait guère de compétence canonique, si ce n'est de lui demander de partir, s'il était mis au courant des activités réelles de l'homme en question.

Mais l'article admet que l’on ne s'est rendu compte de la perversion morale de cet homme qu'en 2010, lorsqu'il a été définitivement écarté du service sacerdotal.

Mais 2010, c'est l'époque où le pape Benoît XVI était au pouvoir et retirait 500 prêtres de ce type du service.

Un prêtre ne peut être réduit à l'état laïc que par un décret du pape ou de la Curie romaine.

Ils accusent donc le pape Benoît XVI de ne pas avoir agi, alors qu'il a agi quand il le pouvait.

Le même article admet que l'ancien Vicaire de l'archevêque Ratzinger a signé en 2010 une confession dans laquelle il assume toute la responsabilité. Scriptum manet. Et contre une auto-confession, il n'y a pas d'appel.

Le Vicaire prétend qu'il a été forcé. Mais son accusation est lancée contre le cardinal Marx, archevêque de Munich en 2010, qui a lui-même présenté sa démission à Bergoglio en reconnaissant son incapacité à gérer correctement de tels cas dans le diocèse.

En 1982, Joseph Ratzinger a été promu de l'archidiocèse de Munich à la tête de la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui avait à l'époque une compétence limitée sur les mauvais prêtres.

Depuis cette époque, Ratzinger est un ardent partisan des mesures disciplinaires et n'a même pas été autorisé à discipliner autant qu'il le souhaitait au sein de la CDF sous Jean-Paul II.

Ratzinger n'est accusé à l'égard d’aucun de ses prêtres de son époque, cependant, et il convient de le noter.

La véritable importance de cette histoire qui est actuellement diffusée sur toutes les chaînes de télévision et dans tous les journaux italiens, comme indiqué ci-dessus, est que les Bergogliens n’auraient pas aussi peur du Pape Benoît XVI s'ils ne savaient avec certitude qu'il existe maintenant une CAMPAGNE ACTIVE ET CROISSANTE pour restaurer son pouvoir dès que BERGOGLIO crèvera.

La véritable information du jour, c’est ça.