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Publié par dominicanus

Traduction française autorisée : père Walter Covens

Traduction française autorisée : père Walter Covens

 

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Monseigneur Carlo Maria Viganò est un homme d'Eglise courageux et pur, prêt à se sacrifier pour la Vérité. Il l'a démontré en s'exposant à la première personne, en dénonçant de terribles scandales et il est aujourd'hui un véritable point de référence pour beaucoup de ceux qui veulent continuer de professer la foi catholique.

 

Nous avons souvent rendu compte de ses discours dans les journaux nationaux, alors que le courant dominant se refermait sur lui, selon une technique ancienne mais bien rodée.

 

C'est précisément en raison de notre admiration et de notre affection pour l'archevêque que nous nous sentons obligés, sur les conseils d'un pool (NDT : en anglais dans le texte) de canonistes, d'illustrer dans cet article les risques terribles qu'il pourrait courir s'il n'a pas de parole définitive. En fait, nous sommes certains que Monseigneur Viganò réfléchit profondément à la déclaration finale, inéluctable et indispensable dont les catholiques ont besoin : UNE RÉPONSE CLAIRE SUR QUI EST LE PAPE.

 

Cependant, le temps presse. Saint-Marin est perdu : le référendum sur l'avortement a décrété la victoire du Oui, avec 59% d'abstentionnistes sur une population qui se déclare à 98% catholique. Qu'a fait Bergoglio pour l'éviter ? Rien. Un vrai pape (pour autant qu'on ne l'en empêche pas) n'aurait eu besoin que d'un souffle pour empêcher la petite république de devenir une destination de tourisme eugénique pour toute la péninsule.

 

En d'autres termes, l'anti-papauté a un coût dramatique : elle exige un tribut qui, dans ce cas, sera payé par les fœtus humains qui, à partir d'aujourd'hui à Saint-Marin, peuvent être aspirés ou découpés avec des forceps jusqu'au 9ème mois.

 

C'est pourquoi nous devons absolument soumettre toute notre enquête à Mgr Viganò, en espérant qu'il la lira ou que quelqu'un la lui transmettra : le temps presse. Nous avons besoin d'une déclaration claire et définitive.

 

 

Eh bien, ce sont les scénarios qui, techniquement, pourraient être envisagés dans l'éventualité où Monseigneur Viganò ne reconnaîtrait PAS Benoît XVI comme le seul vrai pape vivant, même s'il est dans le Siège empêché.

 

1) Le premier risque est celui d'être englouti par le sédévacantisme, un courant extrémiste du traditionalisme catholique qui ne reconnaît aucun pape valide après 1958, année de la mort de Pie XII. Il faut se rappeler que même Mgr Lefebvre, excommunié par Jean-Paul II pour sa défense de la Tradition, n'a jamais osé remettre en cause l'autorité et la légitimité papales. En gros, selon les sédévacantistes, Jean XXIII, Paul VI, Jean Paul I, Jean Paul II et Benoît XVI ont tous été illégaux. Donc Monseigneur Viganò ne serait pas non plus un archevêque validement ordonné ? Ne nous étendons pas sur les mérites des fautes ou des démérites de ces pontifes (aucun homme n'est parfait), mais le point est le suivant : qui établit qu'ils n'étaient pas papes ? Quelle autorité ? Le risque est donc de créer une Église "viganienne", peut-être parfaitement orthodoxe dans son contenu, mais SCHISMATIQUE. De plus, l'Eglise traditionaliste est déjà minoritaire, imaginez les pourcentages infinitésimaux que pourrait atteindre une Église schismatique et sédévacantiste, s'inspirant directement de l'excellent Pape Pacelli.

 

2) Le deuxième risque est celui de diviser en deux les forces de la résistance anti-bergoglienne. Les camps deviendraient alors trois et non plus deux : une majorité pro-Bergoglio, une minorité pro-Ratzinger et un troisième "viganien" contre les deux. Résultat : victoire totale de l'Église bergoglienne. Une erreur stratégique majeure. Les pòleis grecs, face à l'ennemi perse, mettent de côté leurs hostilités historiques et s'unissent de manière compacte.

 

3) On ne sait toujours pas ce que Monseigneur Viganò prévoit pour la période post-Bergoglio : aller à un conclave avec 80 cardinaux invalides nommés par un antipape reviendrait à élire automatiquement un AUTRE ANTIPAPE. Même si, par un hasard absurde et fortuit, un cardinal traditionaliste, un cardinal Burke ou Mgr. Viganò lui-même, il serait toujours un antipape et n'aurait pas l'assistance du Saint-Esprit. En outre, on ne voit pas sur la base de quel critère politique un collège de cardinaux électeurs à majorité moderniste et/ou nommés par Bergoglio devrait jamais élire un Monseigneur Viganò ou un cardinal Burke.

 

4) Le seul véritable point faible de Bergoglio est son invalidité canonique en tant que pape, car Benoît XVI n'a jamais abdiqué, comme nous l'avons amplement illustré dans cette enquête et comme le démontrent ses excommunications furieuses (invalides) imposées uniquement aux ecclésiastiques qui remettent en cause sa légitimité. Cela devrait nous donner à réfléchir, non ? Par conséquent, éluder la question de la renonciation de Benoît XVI, que même Monseigneur Viganò reconnaît comme "irrituelle", signifie laisser le champ libre aux prétendants. Viganò reconnaît comme "irritable", signifie laisser le champ libre aux contre-mouvements de François, qui, sans surprise, s'organise déjà. En fait, l'affaire d'un prétendu complot contre lui prend de l'ampleur. Bien que cette conspiration ait été démentie par le cardinal Parolin lui-même (avec un court-circuit interne retentissant) l'intention est plus qu'évidente : commencer par une criminalisation progressive de ses opposants, provoquer une vague d'indignation populaire envers les cardinaux opposés à lui, en les faisant passer pour de dangereux subversifs (peut-être même no vax), ce qui pourrait même conduire à diverses conséquences persécutrices. Prenez garde, car l'antipape, maintenant découvert, ne restera pas sans rien faire.

 

5) Continuer de critiquer Bergoglio, à lui dire toutes sortes de choses tout en le reconnaissant comme pape est la meilleure faveur que l'on puisse lui faire : à la fois parce que cela apparaît comme agressif envers "le pape", et parce que le message qui filtre dans le monde est que même ses ennemis les plus acharnés ne remettent jamais en question le fait que François est un pape légitime. Un suicide complet. De plus, ces attaques produisent un énorme scandale parmi les fidèles qui se sentent abandonnés par Dieu. Où est la promesse du Christ "infera non praevalebunt" ? Et que dire de l'assistance de l'Esprit Saint, qui est réservée au pontife même dans l'activité ordinaire, selon l'article 892 du Catéchisme ? Alors, comment peut-on qualifier un pape de "mauvais", "apostat", "chef d'un plan satanique" tout en le considérant légitimement comme pape ? C'est un non-sens théologique. Notamment parce qu'il ne s'agit pas de vices privés, comme cela aurait pu être le cas pour un Alexandre VI Borgia, mais d'une œuvre de désintégration sans précédent et organisée du catholicisme, et Dieu ne peut le permettre. Donc soit Bergoglio a raison, soit le catéchisme a tort, soit l'Esprit Saint a abandonné son peuple. Il n'y a pas d'échappatoire. La seule explication qui permet, cependant, de donner parfaitement satisfaction aux plaintes de Mgr Viganò, est que Bergoglio n'est pas le pape, mais un antipape car Benoît n'a pas abdiqué. Donc, il n'est plus que normal que François ne soit pas assisté par l'Esprit Saint, évident, dirions-nous. Et ceci n'est pas une hypothèse, mais est démontré par l'aspect canonique et par les messages mêmes du Pape Benoît qui, même depuis son siège entravé, a parlé sans équivoque pendant huit ans.

 

6) Il est très risqué de continuer d'accuser Benoît XVI de connivence avec Bergoglio et/ou de modernisme. Il est le pape, il est dans le Siège empêché, s'il a donné une fausse démission c'est parce qu'il a été contraint de le faire ; donc, s'il ne peut pas parler clairement, ce n'est pas parce qu'il aime être méchamment ambigu, mais parce qu'il est, justement, empêché. Il n'y a donc pas lieu d'être impatient, mais plutôt d'essayer de comprendre clairement et froidement comment il communique. Faites attention car il y a ici le risque très sérieux de trahir le Pape légitime, le VICAIRE DU CHRIST.

 

Ratzinger peut être aimé ou non, il peut être sympathique ou non, il peut avoir eu des échecs, des défauts, des faiblesses, mais à moins d'être sédévacantiste, il est certainement le dernier pape légitime et a été assisté par l'Esprit Saint jusqu'au 11 février 2013 et au-delà. Donc si vous ne lui faites pas confiance, faites au moins confiance au Saint-Esprit. Son abdication n'est pas seulement irrituelle, comme le reconnaît Monseigneur Viganò, mais nulle, invalide. Il a le munus, le titre accordé (ou retiré) par Dieu, et il l'emportera dans la tombe. Le prochain vrai pape ne sera que son successeur et non celui de Bergoglio.

 

7) La lutte contre l'anti-Église, la "deep Church" (NDT : en anglais dans le texte), ne peut qu'être TOTALEMENT LOYALE À BENOÎT XVI, qu'on le veuille ou non. Prenons un exemple : imaginons que la reine Elizabeth d'Angleterre soit contrainte d'abdiquer par un Lord Smith, un usurpateur qui n'a aucun droit au trône. Cependant, la reine signe astucieusement une abdication invalide, mais elle est emprisonnée. Maintenant, pour tous ceux qui veulent défendre la monarchie britannique et la famille Windsor, qu'ils aiment ou non Elizabeth, qu'ils l'aiment ou non, la guerre doit être pour la défense du monarque légitime déchu. Ce n'est que de cette manière que la monarchie sera défendue et que le successeur d'Elisabeth sera un roi légitime. Créer une troisième faction, ni avec Elizabeth ni avec Lord Smith, c'est décréter la fin des Windsor.  Bien sûr, il ne s'agit pas ici de simples questions de sang et de généalogie royale, mais de la présence de Dieu ou de son absence dans l'Église. Et le Seigneur n'est sûrement pas disposé à faire des compromis ou à être conseillé par des sédévacantistes.

 

8) De plus, l'archevêque Viganò avait de grands espoirs pour Donald Trump. Beaucoup pensent encore que l'ancien président américain a astucieusement laissé la place aux démocrates, en acceptant la fraude électorale, pour leur permettre de se révéler et de récupérer ensuite la présidence. Nous l'attendons toujours. Un plan presque identique a cependant été réalisé pleinement et véritablement par Benoît XVI et nous l'avons démontré. Alors comment peut-on espérer un laïc comme Trump, (pas exactement un carme déchaussé) et ne pas croire au PAPE, assisté de Dieu lui-même ?

 

9) Le pire risque, le plus désastreux, est de ne pas comprendre le parfait système de sécurité anti-usurpation mis en place depuis 1983, qui permettrait, entre autres, de nettoyer enfin, pour toujours, tous les déchets du Concile. La RAGE face à la situation actuelle et une méfiance personnelle à l'égard de Joseph Ratzinger peuvent rendre invisible le bouton rouge qu'il a préparé. Ratzinger lui-même le révèle dans sa lettre au cardinal Brandmüller :

"La douleur profondément ancrée que la fin de mon pontificat a provoquée chez vous, comme chez beaucoup d'autres, je la comprends très bien. Mais la douleur chez certains - et il me semble que chez vous aussi - s'est transformée en RAGE, qui ne concerne plus seulement la démission, mais s'étend de plus en plus vers ma personne et mon pontificat dans son ensemble. De cette façon, un pontificat est dévalué et dissous dans la tristesse de la situation de l'Église aujourd'hui".

 

Nous avons expliqué ICI et ICI que le Pape révèle au cardinal comment son pontificat SE POURSUIT, se poursuit, bien que sous une forme différente, cachée, parce qu'il est resté LE PAPE. Il le confirme immédiatement après :

"Avec votre colère, AUJOURD'HUI vous dévalorisez et considérez comme "dissous" mon pontificat, qui en fait continue, même si j'ai dû me retirer du gouvernement de l'Eglise, le laissant tristement aux mains d'usurpateurs".

 

Mais sans devoir faire un effort pour comprendre le Ratzinger Code, il suffirait de mentionner le fait que le Vatican a récemment admis que la "papauté émérite" n'existe pas. Qu'a donc été Benoît XVI pendant huit ans ?

 

C'est pourquoi, afin de signaler à Mgr Viganò des risques aussi dramatiques, nous prenons la liberté de lui soumettre l'ensemble de notre enquête. Entre autres choses, selon ce qu'on nous dit, Monseigneur Viganò, étant un archevêque de l'Église romaine, puisqu'il est incardiné au Vatican, pourrait demander en vertu du can. 442 §2 une enquête canonique sur la Declaratio et le Siège empêché, dans un concile provincial.

 

Pour la commodité de Monseigneur, nous résumons ci-dessous le contenu général suivi de tous les liens vers les articles précédents, en espérant qu'ils le conduiront bientôt à une déclaration sans équivoque pour sauver l'Église catholique, et peut-être bien plus encore.

 

 

RÉSUMÉ DE LA MAGNA QUAESTIO

 

Pressé de démissionner par des puissances extérieures et en pleine mutinerie de la faction moderniste interne, le pape Benoît XVI a organisé, en février 2013, une Declaratio de "démission" qui ressemblait à une renonciation, mais qui était en fait canoniquement invalide grâce à un système de tromperie juridique préparé - probablement pour l'occasion - depuis 1983 : un plan anti-usurpation conçu avec saint Jean-Paul II.

 

En effet, dans les traductions du latin, le Vatican a fait des manipulations pour masquer sa nullité.

 

Le pape Benoît XVI n'a donc jamais abdiqué validement et, d'un point de vue canonique, cela a été démontré par les juristes Sánchez et Acosta en utilisant les déclarations des canonistes pro-Bergoglio Monseigneur Sciacca et le professeur Boni, qui n'ont jamais voulu répondre.

 

Cependant, la Declaratio n'était pas un non-sens, un mensonge : elle disait la vérité et suggérait dans un sens subtil, mais logique et cohérent, le fait que Benoît XVI s'est rendu volontairement en "sede impedita", selon le canon 412, lorsque l'évêque est incapable d'exercer son pouvoir.

 

Ainsi, le 28 février 2013, le pape abandonne seulement l'exercice pratique du pouvoir (ministerium), prend l'hélicoptère, laisse le Siège "vide", et NON juridiquement "vacant" comme cela a été traduit.

 

Benoît XVI reste donc le seul et unique pape existant dont il parle lui-même depuis huit ans sans jamais expliquer lequel. Il n'a pas "fui devant les loups" : il est resté en place, jusqu'à aujourd'hui, protégé par l'institution inexistante du "pape émérite", dont le Vatican lui-même a récemment admis l'inexistence.

 

En laissant le siège vide, BXVI l'a rendu accessible à tous. Présumant qu'ils l'usurperaient, avec un nouveau conclave invalide (il n'avait pas abdiqué et le Siège n'était pas vacant), il recommande seulement dans la Declaratio que le prochain pape soit élu par "ceux à qui il appartient de le faire", c'est-à-dire par de vrais cardinaux nommés par lui et ses prédécesseurs et non par l'antipape Bergoglio.

 

En huit ans, BXVI a continué de jouer le rôle de "katechon", de frein, de Bergoglio, avec des interventions publiques pour freiner son élan destructeur du catholicisme, en obéissant à des pouvoirs obscurs et supranationaux.

 

L'aspect juridique de sa non-rénonciation est mis en évidence non seulement par les affirmations des canonistes pro-Bergoglio, mais par le pape Ratzinger lui-même, qui pendant tout ce temps a communiqué subtilement avec des jeux de mots, des énigmes et des incohérences apparentes qui cachent un sens logique indubitable pour confirmer la nullité de sa "démission". Le "Ratzinger code", qu'il a lui-même tiré de l'ancienne tradition des joutes, confirme pleinement la réalité canonique.

 

"Pourquoi le pape Benoît ne s'exprime-t-il pas ? Il ne peut pas le faire, car il est soumis à la censure de son Siège empêché avec lequel il a "anti-papalisé" les ennemis de l'Église.

 

Son objectif ? Pour que ce coup d'État moderniste, qu'il a lui-même facilité (comme s'il faisait traverser à ses ennemis un pont de mines), coalise l'ensemble du clergé hérétique-moderniste et rende visible son objectif : détruire le catholicisme. De cette façon, Benoît XVI a accompli ce qu'il avait dit qu'il ferait : purifier l'Église dans son ensemble, "schismatiser" les modernistes et les expulser. C'est pourquoi, dans sa dernière interview à Herder Korrespondenz, il parle de "séparer les croyants des non-croyants". Il répète subtilement les mêmes concepts dans ses lettres à Card. Brandmüller.

 

N'ayant pas abdiqué, Benoît XVI a séparé à jamais les lignes de succession, il a créé deux églises : une papale, la sienne, et une anti-papale, la bergoglienne.

 

La tragédie est que si, après la sortie de scène de Bergoglio, un conclave est organisé avec les 80 cardinaux invalides qu'il a nommés, un autre antipape sera élu, comme lorsqu'en 1138, après huit ans de règne de l'antipape Anaclet II, l'antipape Victor IV lui a succédé. Ainsi, la véritable Église perdra son siège, chassée comme un moineau jeté hors de son nid par un petit coucou.

 

Aujourd'hui, le pape Benoît se moque de savoir si la véritable Église doit se soulever en dehors du Vatican ou reprendre le siège. Il se soucie seulement que la Foi soit sauvée dans sa pureté. La véritable Église catholique, en l'occurrence, ressuscitera d'une manière nouvelle, d'abord clandestine, à la manière des catacombes, comme cela s'est déjà produit dans les premiers siècles et comme cela se produit déjà.

 

Par conséquent, aujourd'hui, il s'agit de savoir si l'Église catholique, en union avec le vrai pape, sera en mesure de reprendre le Siège ou non.

 

Et tout ne dépend que de la vérification canonique de la Declaratio de 2013 dans un débat public et transparent. En fin de compte, aucun catholique ne pourrait s'opposer à une opération de vérité, pas même Bergoglio, à moins qu'il n'admette avoir quelque chose à cacher.

 

***

 

EN DESSOUS, TOUTE L'ENQUÊTE DEPUIS LE DÉBUT :

 

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - POURQUOI LE "RENONCEMENT" À LA PAPAUTÉ DE BENOÎT XVI EST INVALIDE - 1ère partie

 

PAPE ET ANTI-PAPE : L'ENQUÊTE - BENOÎT XVI N'A PAS ABDIQUÉ, MAIS A ANNONCÉ LE SIÈGE EMPÊCHÉ " - 2ème Partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - FLORES D’ARCAIS : LE MONDE ENTIER ÉTAIT CONTRE LE PAPE RATZINGER - 3ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - LES ENNEMIS DE BENOÎT XVI DANS L’ÉGLISE - 4ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE – L'ENQUÊTE : LE SCHISME PURIFICATEUR CRÉE PAR BENOÎT XVI – 5ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE - L’ENQUÊTE : LE "RATZINGER CODE" PAR LEQUEL BENOÎT XVI COMMUNIQUE DEPUIS HUIT ANS - 6ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - 2ème MESSAGE DE BENOÎT XVI : "NE VOUS MÉPRENEZ PAS, JE N’AI PAS ABDIQUÉ" - 7ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - "DÉCODER" LES DEUX LETTRES DE BENOÎT XVI AU CARD. BRANDMÜLLER - 8ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - DÉCODER LA NOUVELLE LETTRE DE BENOÎT XVI AU CARD. ROUCO ET LA 2e AU CARD. BRANDMÜLLER - 9ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - BENOÎT XVI : "JE POURRAIS ÊTRE LE DERNIER PAPE". ET FRANÇOIS QUI EST-IL ALORS? - 10ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - RÉSOLUTION DE L’ÉNIGME DE LA MOZETTE ROUGE EN "RATZINGER CODE" : POURQUOI BERGOGLIO EST-IL VÊTU DE BLANC? - 11ème partie

 

1PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - L’EXCELLENT LATINISTE RATZINGER FIT EXPRÈS DES ERREURS DANS LE LATIN DE LA "DECLARATIO" - 12ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - LES JEUX DE MOTS DU "RATZINGER CODE" PAR VALENTIN ET LE CARNAVAL ALLEMAND - 13ème partie

 

LE PAPE ET L’ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - LA FARCE DU PAPE BENOÎT AU VATICANISTE : "JE M’HABILLE EN BLANC FAUTE D’AUTRES HABITS" - 14ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - LE "PLAN B" ANTI-USURPATION PRÉPARÉ PAR WOJTYLA ET RATZINGER DEPUIS 1983 - 15ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - IGNORANT LA RENONCIATION INVALIDE, LES SUCCESSEURS DE BERGOGLIO SERONT TOUS ANTIPAPES - 16ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - CONTRAIRE AU LOGIQUE "RATZINGER CODE", LE SYMBOLIQUE/ÉSOTÉRIQUE "BERGOGLIO CODE" - 17ème partie

 

PAPE ET ANTIPAPE : L’ENQUÊTE - LA PROPHÉTIE DE RATZINGER S’ACCOMPLIT : ON RETOURNE AUX CATACOMBES. MESSES CLANDESTINES "UNA CUM BENEDICTO" - 18ème partie

 

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