Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Archives

Publié par dominicanus

 

Gli ultimi tempi dell’antipapato in corso sono caratterizzati da una miseria intellettuale desolante.
Benedetto XVI: tattica di una geniale difesa della Chiesa. Bergoglio al capolinea: il papa è Ratzinger

Écrit par Andrea Cionci (20/07/2022) - Traduction française autorisée: père Walter Covens

 

 

Les derniers temps de l'antipape actuel sont caractérisés par une misère intellectuelle désordonnée. Bergoglio fait allusion à la circulation de fake news ICI (personne n'a compris l'allusion) en oubliant celles qu'il a lui-même propagées, comme la fausse visite "surprise" chez le disquaire ICI , la fausse émission en direct de Fazio ICI , la mystification sur Saint François par le Sultan ICI et, surtout, le canular du millénaire : la légitimité de son pontificat.

 

Le comptable néo-arien Enzo Bianchi se montre à nouveau sur Repubblica avec une pseudo-défense du pape Ratzinger prenant astucieusement pour acquis la fable du pontife abdicateur ICI .

 

Massimo Franco, du Corriere, sponsorisé par M. Bilderberg - Mario Monti annonce également - en inventant - que Benoît aurait déclaré "le pape est unique et c'est François". Cela ne s'est jamais produit. ICI 

 

Le clergé homosexuel-moderniste allemand racle le fond de la casserole, obtus, en déterrant des histoires inutiles d'il y a 40 ans, maintenant ignorées de tous, pour essayer de discréditer le détesté Ratzinger. ICI 

 

Ensuite, il y a les "una cum" collaborateurs de Bergoglio, qui soit ne répondent pas, soit critiquent de manière insultante le best-seller "Codice Ratzinger", strictement sans l'avoir ouvert et en invoquant des justifications telles que "mais si tout le monde le croit, Bergoglio est le vrai pape". Il ne fait pas mystère du fait que vous vous fiez à l'applaudimètre, et non au droit canon. ICI 

 

Les partisans de la théorie absurde de "l'erreur substantielle" (ceux qui pensent que Benoît XVI a commis une erreur en rédigeant la Declaratio), lorsqu'on les presse de rendre des comptes, deviennent muets et disparaissent. ICI. Certains de ces traditionalistes légitimistes de Bergoglio, comme Mgr Schneider, qui n'a jamais répondu à notre lettre ouverte polie ICI , prétendent que, selon quelqu'un, mais on ne sait pas qui, Benoît XVI célébrerait en communion avec Bergoglio. Preuves, noms, dates, enregistrements : en-dessous de zéro. De plus, Benoît XVI célèbre en privé en latin, et dans le vetus ordo, la phrase concernant la communion avec le pape régnant est dite à voix basse.

 

En résumé, ces faibles, voire mortifiantes, résistances à l'affirmation de la vérité - d'autant plus incompréhensibles et culpabilisantes qu'elles viennent du côté traditionaliste - apparaissent comme de piètres barrières balayées par les chenilles d'un lourd char d'assaut : le Saint-Père Benoît XVI n'a jamais abdiqué, il n'y a qu'un seul Pape ET C'EST LUI, et cela est démontré tant par la question canonique que par ce qu'il a lui-même affirmé dans des dizaines de messages à la signification sans ambiguïté dans le "Ratzinger Code".

 

Pour clarifier, illustrons de manière super-synthétique - et avec des faits objectifs - la tactique et le calendrier du plan incroyablement ingénieux avec lequel Benoît XVI a "conduit à la tentation" (dans le sens théologique correct du Notre Père, c'est-à-dire "mis à l'épreuve") ses ennemis modernistes-hérétiques qui voulaient l'écarter.

 

1983 : Le cardinal Ratzinger, en prévision d'un coup d'État antichristique dans l'Église annoncé depuis l'époque du prophète Daniel jusqu'au troisième secret de Fatima (1917), importe du droit princier allemand la décomposition de la fonction papale entre titre dynastique (munus petrino) et exercice pratique du pouvoir (ministerium). Les deux entités sont traduites en français par le mot "ministère", mais elles sont très différentes : si l'on renonce régulièrement et simultanément au ministère-munus, il y a abdication ; si l'on renonce de manière différée et non ratifiée au ministère-ministerium, il y a sede impedita, un statut dans lequel le pape est prisonnier, confiné, mais reste toujours pape, conservant le titre d'origine divine.

 

Ainsi, le 11 février 2013, désormais acculé par la mafia de Saint-Gall qui voulait le faire abdiquer, le complot pour le tuer est sorti avec Vatileaks, et immédiatement après le mystérieux rapport des cardinaux de la commission Herranz, le pape Ratzinger a appliqué ce plan anti-usurpation préparé depuis trente ans et a renoncé au seul ministère, reportant son entrée en vigueur au 28 février à 20 heures. En pratique, il se laisse emprisonner, comme Jésus-Christ, mais reste son vicaire, reste pape. Après avoir prononcé le texte latin de la Declaratio, il fait expliquer au cardinal Sodano ce qui s'est passé, en lui remettant une note, et il ne mentionne pas du tout une renonciation à la papauté. Il est paradoxal de constater que la journaliste d'agence Giovanna Chirri, qui a répandu à la hâte le canular historique et tragique de l'abdication, se lamente aujourd'hui, dans un livre, sur la triste fin de sa carrière ICI. Et qu'est-ce qu'elle réclame, un prix ?

 

Le 27 février, la veille de son "adieu", Benoît XVI a salué les cardinaux en disant qu'il promettait "obéissance et révérence" à son successeur à partir de ce moment. Cette phrase aurait pu faire référence soit à un successeur légitime, quand et si celui-ci abdiquait de manière régulière, soit au successeur illégitime en place auquel il promettait obéissance et révérence. En tout cas, il n'a jamais "juré allégeance" à un autre pape, et encore moins à Bergoglio lui-même. D'ailleurs, qui peut dire que Benoît XVI n'est pas aujourd'hui "obéissant et respectueux" de l'antipape entre les mains duquel il se trouve ? Il ne se rebelle pas, il se tient là, doux et tranquille, dans le monastère Mater Ecclesiae, vêtu de blanc, auquel il ne manque que deux ornements, la cape et la ceinture autour de la taille, symbolisant les deux aspects du ministère auxquels il a renoncé : prêcher l'Évangile et diriger la barque de Pierre. Obéissant et révérencieux, il est toujours cordial et affectueux avec Bergoglio : il l'aime comme Jésus-Christ aimait Judas et prie pour lui, (pour que son âme soit sauvée). Le pape Benoît remercie et bénit toujours avec le mot 'Eucharistomen', le même mot avec lequel le Christ a transformé le mal en bénédiction.

 

Sa Declaratio, en italien, indique donc qu'à partir du 28 février à 20 heures, "le Siège de Rome, le Siège de Saint Pierre", restera "vacant". Cependant, la version italienne est erronée (seule la version latine compte) : de tels "Sièges" n'existent pas en droit canonique et n'ont pas de personnalité juridique pour être laissés vacants, c'est-à-dire prêts pour un nouveau conclave. Ce n'est le cas, en fait, que pour le "Siège apostolique", qui n'est jamais mentionné. Ainsi, le verbe vacet doit être traduit non pas par "sede vacante", mais, plus correctement, par siège VIDE, évacué, libre.

 

Et en effet, parfaitement fidèle à ce qui a été annoncé, après avoir laissé aux cardinaux (fidèles et infidèles) 17 jours pour réfléchir, le 28 février, à 17 heures, Benoît prendra l'hélicoptère et s'envolera pour Castel Gandolfo, laissant le Siège de Rome, le Siège de Saint-Pierre, VIDE à 20 heures.

 

En outre, Benoît XVI nous rappelle dans la Declaratio que le prochain pape doit être élu "par ceux à qui il appartient de le faire" : bien sûr. Dans la pratique, il dit : "Je me retire dans un siège empêché, je reste le pape, vous faites ce que vous voulez, mais sachez que le prochain vrai pape qui me succédera ne doit être élu que par de vrais cardinaux, nommés par moi ou par le pape Wojtyla et NON PAR D'AUTRES. Et en fait, aujourd'hui, si un conclave post-Bergoglio invalide avec les 95 faux cardinaux nommés par l'Argentin se déroulait, un autre antipape en sortirait. Comme vous pouvez le constater, Benoît XVI a toujours dit la vérité, il a réussi l'exploit surhumain de ne jamais mentir, même s'il est in sede impedita.

 

Le 28 février, à 17 h 30, il apparaît donc à Castel Gandolfo et déclare qu'"à partir de huit heures du soir", il ne sera plus "pontife suprême", et non le "Souverain Pontife", le titre papal correct. Il dit la vérité précisément à cause de l'inversion sujet-complément : après quelques heures, en effet, il ne serait plus "le pontife au plus haut degré", car il y en aurait un autre plus éminent que lui, même s'il est illégitime. ICI 

 

Et il révèle également l'heure à partir de laquelle il entrera définitivement in sede impedita. Il fait référence au fuseau horaire pontifical de l'antique horloge au-dessus de sa tête, déclarant que sa "journée n'est pas comme les précédentes" et saluant tout le monde d'un absurde "BONNE NUIT" à 17h30, ce qui correspond pourtant systématiquement à 23h30 dans cet antique fuseau horaire. Ainsi, "à huit heures du soir" il ne sera plus le pontife suprême. C'est exact : huit heures du soir, selon l'ancienne heure papale, aurait été 13 heures le lendemain, l'heure à laquelle le bulletin aurait été diffusé pour convoquer le nouveau conclave élisant abusivement un antipape et sanctionnant, en fait, pour Benoît non plus le pontife suprême, mais le pontife caché. ICI 

 

En effet, lorsque le 28 février arrive l'heure "normale" de 20 heures, l'heure X de la Declaratio, il ne signe ni ne déclare rien pour ratifier sa renonciation au ministère. Évidemment : il n'aurait jamais pu donner une forme canonique à une renonciation au ministerium, puisque cet organe, comme le confirme le canoniste Mgr Sciacca, ne peut être juridiquement séparé du munus. Cela ne peut se produire que de facto, dans le cas d'un Siège empêché, lorsque le pape est, par force majeure, privé de la possibilité d'exercer un pouvoir pratique. Et de fait, les canonistes de Bologne ont fondé, immédiatement après notre intuition, un groupe d'étude "sur le pape émérite et le pape empêché". Regardez ça, hein ?

 

Ainsi, le conclave de 2013 était NUL, car il a été convoqué avec un pape qui n'est pas mort et qui n'a pas abdiqué ; il a élu un antipape (comme l'a immédiatement compris et publié le Prof. Enrico M. Radaelli), et ne pourra jamais être assaini. Ce qui a été créé, par conséquent, est exactement cette "sorte de ministère élargi" qui obsède les erreursubstantialistes, qui n'ont pas compris qu'il y a un membre actif illégitime (l'antipape François) et un membre contemplatif, le pape légitime, (Benoît) qui assume l'attribut d'"émérite". Mais ce n'est PAS la même chose que l'évêque émérite, une fonction entièrement prévue par le droit canonique : le pape émérite est juridiquement impossible, c'est-à-dire un pape à la retraite (comme Bergoglio lui-même l'a récemment confirmé, en parlant de sa démission peu claire), mais il n'existe que si l'on comprend l'émérite en termes descriptifs, c'est-à-dire comme "le distingué", le "méritant", le "digne", "celui qui a le droit d'être pape" (par exemple "un universitaire émérite"). C'est l'adjectif (écrit en minuscule, en fait, contrairement à Évêque Émérite) qui sert à le distinguer du faux pape usurpateur.

 

Les ennemis de Benoît, dévorés par la soif de pouvoir, dès qu'ils ont flairé une démission, se sont emparés de la Declaratio en voulant à tout prix l'interpréter comme une abdication. Mais ce n'était pas le cas, et ils se sont étouffés avec.

 

Constamment, Benoît reste au Vatican, en état de captivité, et comme il ne peut pas mentir (il est le pape !), il dit TOUJOURS la vérité avec un langage subtil et logique (le Ratzinger code) qui ne parle qu'à ceux qui ont des oreilles pour entendre, comme le Christ l'a fait à ses accusateurs. Il utilise des amphiboles, des interprétations erronées, des références aux Écritures, comme Jésus.

 

Ainsi, le pape Ratzinger, d'une manière aussi cohérente avec l'essence des faits qu'absurde pour le récit "abdicationniste" bergoglien, conserve la robe blanche, le nom pontifical et donne la bénédiction apostolique, caractéristique exclusive du pape régnant. Et à l'auteur, il a donné la seule réponse gracieuse qu'il pouvait donner de la part du Siège empêché, (sans rien nier), l'accompagnant même des armoiries du pape régnant. ICI

 

Bergoglio est donc condamné par lui-même, il s'est fait antipape et maintenant il ne peut plus "démissionner" car il prouverait qu'il n'a pas le munus petrino. Son pontificat sera annulé et l'Église sera purifiée par un schisme : exit les francs-maçons, les homohérétiques, les néo-luthériens, les modernistes, les néo-arriens, les néo-païens, etc.

 

La morale ? Mieux vaut ne pas aller contre le Vicaire du Christ, le Verbe incarné, le Logos, la raison qui révèle la vérité. Dieu est amour infini, mais aussi justice infinie. Avant qu'il ne soit trop tard, avant que tout soit officiellement explicité, Bergoglio, Bianchi, les mafiosi de Saint-Gall, una cum, les erreursubstantialistes, suivez ce conseil : allez tous vous agenouiller devant le vrai Saint Père et demandez-lui pardon.

 

C'est tout. Trop complexe ? Essayez de toujours dire la vérité dans un état de captivité, menacé de mort, et mettez à l'épreuve les cardinaux infidèles en sauvant l'Église catholique.

 

Maintenant, nous l'avons résumé pour vous en quelques lignes, sans ambages. En conclusion, comme vous le voyez, l'histoire est très simple : tout n'était qu'un gros malentendu. Mais dans la reconstruction, nous sommes confrontés à quelque chose de gigantesque, de parfait, d'historique, qui coordonne des centaines d’éléments : les déclarations de Benoît, le droit canon, l'histoire de l'Église, la théologie, la chronique, les prophéties, le latin, la précision du langage, et même l'héraldique.  Ce n'est qu'en lisant l'intégralité de l'enquête 'Codice Ratzinger' (éd. Byoblu) que l'on obtiendra une image complète. Et c'est pourquoi aucun des contestataires n'ose le faire.

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article