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Praedicatho homélies à temps et à contretemps

Praedicatho homélies à temps et à contretemps

C'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui va juger les vivants et les morts, je t’en conjure, au nom de sa Manifestation et de son Règne : proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, toujours avec patience et souci d’instruire. Crédit peintures: B. Lopez


Bergoglio code : comment le faux pape François inverse la foi catholique dans le nouveau missel

Publié par dominicanus sur 27 Avril 2022, 01:03am

Catégories : #Benoit XVI, #Il est vivant !, #Porta fidei, #actualités

 

Andrea Cionci
Codice Bergoglio: come il falso papa Francesco sta rovesciando la fede cattolica nel nuovo messale

Écrit par Andrea Cionci (25/04/2022) - Traduction française autorisée: père Walter Covens

 

Lundi dernier, nous avons présenté ICI une synthèse, élaborée avec l'aide de théologiens qui veulent - évidemment - garder l'anonymat, sur la spiritualité très personnelle de Bergoglio, qui n'a rien à voir avec le catholicisme, malgré son apparence. En effet, le "bergoglionisme" est son antithèse.

 

Pour les catholiques, cela n'est possible que par le fait que François n'est pas le pape (puisque Benoît XVI s'est exilé in sede impedita) et n'a donc pas le munus petrino, l'investiture divine qui garantit au pape l'infaillibilité ex cathedra et l'assistance du Saint-Esprit dans l'enseignement (Art. 892 CEC).

 

Notre enquête sur le Ratzinger Code, traduite en trois langues ICI est désormais "célèbre", comme le confirme notre collègue Armando Savini ICI . Même Monseigneur Viganò s'est ouvert aux concepts que nous promouvons à partir de 2021 ICI, et pourtant des livres continuent de sortir en Italie qui répètent comme un mantra le récit habituel sur le Pape François feignant d'ignorer le "Secret de Polichinelle".

 

Heureusement, même aux États-Unis on a compris le siège empêché : après l'acceptation de Patrick Coffin, ICI parmi les commentateurs catholiques les plus autorisés, même le professeur Edmund Mazza ICI a fait de nouvelles déclarations sur l'invalidité de la démission du pape Ratzinger.

 

Bref, petit à petit, tout le monde comprend que Benoît XVI n'a jamais abdiqué, sauf nous. Après tout, nemo propheta in patria (nul n'est prophète dans sa patrie).

 

Mais revenons au sujet : comme nous l'avons vu, le bergoglionisme est donc une sorte d'antichristianisme pro-maçonnique (dissimulé par un flot de propagande émotionnelle bon enfant) qui, dans son essence, puise dans le modernisme, l'ésotérisme, le néo-luthéranisme, le néo-paganisme, le néo-gnosticisme, le néo-arianisme, le néo-marcionisme et diverses autres hérésies telles que l'apocatastase ("miséricordisme" vulgaire). Comme un ver de bois, cette néo-religion mondialiste inversée ronge de l'intérieur le catholicisme authentique, par des changements subtils, imperceptibles, mais dévastateurs.

 

Ces affirmations sont sérieuses, et c'est pourquoi nous allons aujourd'hui les documenter pour vous.

 

En attendant, jetons un coup d'œil sur le tableau de la prétendue "Vierge qui défait les nœuds" qui a été offert à François en 2015 par la présidente argentine Cristina Fernandez. Il y a quelques jours, nous avons retrouvé des photos, censurées par le web italien, montrant une pseudo-Madone aux épaules nues provocatrices, qui n'écrase pas du tout la tête du serpent, mais la caresse, entourée d'anges féminins, les seins à l'air. Pour en savoir plus sur le contenu ésotérique de cette troublante image pseudo-dévotionnelle, qui évoque l'Union des contraires si chère aux alchimistes, faisant peut-être un clin d'œil à la démoniaque Lilith, lire ICI .    

 

Plus récemment encore, une photo de Bergoglio lors de sa visite pastorale de 2018 au Chili est sortie ICI. Sur sa chasuble se dresse un étrange symbole, une sorte d'homme-alien aux cheveux raides. Il s'agit du "Géant d'Acatama", un géoglyphe, c'est-à-dire un dessin fait de tas de pierres (119 m) trouvé dans le désert chilien et représentant une divinité précolombienne : probablement le Tunupa (parfois appelé Tarapacà), fils du dieu créateur Viracocha qui, puisque selon le mythe il a été crucifié, a été utilisé par les Jésuites au XVIème siècle pour l'inculturation de Jésus-Christ. ICI C'est toujours la même histoire : comme cela s'est passé avec la Pachamama ICI, on dépoussière les fétiches du panthéon andin qui, il y a 500 ans, pouvaient servir temporairement aux missionnaires pour convertir les indigènes. Leur "appel au service" actuel, totalement injustifié, étant donné l'excellent enracinement du christianisme en Amérique latine, ne trouve de justification que dans le contexte de cet éco-syncrétisme idolâtre qui se rapporte au néo-paganisme bergoglioniste mentionné plus haut.

 

Le fait objectif est que le "pape François" portait sur sa chasuble une idole païenne qui, selon la théologie catholique, doit être considérée comme un DÉMON. Ce n'est cependant pas la première fois : en 2018 également, Bergoglio avait porté une chasuble avec un autre symbole païen, le Triskell celtique, (arc-en-ciel de surcroît), une sorte de svastika à trois bras symbolisant les forces universelles Air, Terre, Eau ICI. Malgré la tentative de Saint Patrick de l'associer à la Trinité, il est toujours considéré comme un puissant symbole magique païen.  Cela vous semble-t-il normal ?

 

L'insertion furtive de ces symbologies se rapporte donc précisément au "Bergoglio Code" dont nous avons parlé : l'élément de connexion subliminale entre le bergoglionisme visible, médiatico-démagogico-bien-pensant et ses contenus occultes, hérétiques et d'inversion du catholicisme.

 

Mais entrons maintenant dans le vif du sujet : nous allons vous montrer comment Bergoglio et ses évêques modernistes sont en train de subvertir lentement, imperceptiblement, la foi catholique depuis ses fondements, en récupérant ce qui avait déjà été largement semé par la franc-maçonnerie ecclésiastique lors du Concile Vatican II.

 

En 2020, en effet, avec une couverture plutôt troublante ICI, débute la nouvelle traduction italienne du missel dans laquelle il y a plusieurs changements, apparemment insignifiants, mais qui, examinés avec l'aide de théologiens vraiment catholiques, révèlent tout leur contenu perturbateur. Nous nous baserons sur un résumé de ces nouveautés produit par Avvenire ICI .

 

Commençons par un ajout "inclusif" : le mot "sœurs" a été ajouté à côté du mot "frères". Ici, il est dit : "Je confesse à Dieu tout-puissant et à vous, frères et sœurs...".

 

Il s'agit ni plus ni moins d'un hommage au politiquement correct, qui détruit la culture et la mentalité de l'Occident chrétien. Avvenire lui-même nous l'a expliqué, ICI en 2012, alors que sous le pontificat actif du vrai pape Benoît, c'était encore un journal catholique :

 

"...au nom du politiquement correct, un travail obstiné de reniement de ses propres racines religieuses persiste, feignant de ne pas comprendre combien sa civilisation doit au christianisme". 

 

Mais la première aberration, très grave, se trouve dans le Gloria : la phrase "et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté" se transforme en "et paix sur la terre aux hommes, bien-aimés du Seigneur".

 

Attention : c'est la plus subtile, mais en même temps doctrinalement la plus dévastatrice, des ruses. La phrase originale précise que la paix du Seigneur est donnée SEULEMENT à ceux qui l'acceptent, PAS À TOUS. La modification bergoglienne permet de passer d'un complément de qualité à une phrase attributive. Il y a déjà une erreur théologique parce que tous les hommes sont, en fait, aimés par le Seigneur (même si tous ne lui répondent pas avec bonne volonté), mais surtout la VIRGULE éclaircit définitivement le concept dans un sens miséricordieux-néo-luthérien : l'homme n'a plus de mérite, il n'est plus co-auteur de son propre salut, mais il est sauvé par Dieu de toute façon. La paix est accordée à tous, gratuitement. Par exemple, c'est une chose de dire : "la promotion sera accordée aux étudiants qui la méritent", c'en est une autre de dire : "la promotion sera accordée aux étudiants, qui la méritent". Dans le premier cas, seuls quelques élèves seront promus, dans le second cas, tous seront promus, peut-être parce qu'ils sont considérés comme de bons élèves en général. Comprenez-vous ce qu'est la ruse diabolique ? Deux théologies complètement différentes. La miséricorde, cependant, est la chose la plus insidieusement inversée que le catholicisme puisse être : si tout le monde va au ciel, quel besoin y a-t-il de s'engager et de se perfectionner dans la morale chrétienne ? On peut se noyer dans le péché en toute sécurité. Et qui enseigne cela ? Certainement pas Jésus.

 

A cet égard, lors de l'Angélus du dimanche 24 avril, Bergoglio a déclaré : "l'Evangile nous dit que le Seigneur ne cherche pas des chrétiens parfaits". Curieux, car dans Matthieu 5:48 nous lisons : "Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait". Avec sa technique habituelle, Bergoglio, exploitant le juste enseignement de saint Thomas de ne pas s'enorgueillir dans la foi, fait passer de façon subliminale le concept que le chrétien ne doit pas rechercher la perfection. Comme lorsqu'il a dit que "les commandements ne sont pas à respecter dans un sens absolu" ou comme lorsqu'à la bénédiction urbi et orbi, avec la technique rhétorique de la "prétérition", il a insinué dans les esprits le doute sur la Résurrection ICI . Immédiatement après, Bergoglio répare toujours sa déclaration, rentre dans le rang, mais entre-temps la graine est semée dans l'esprit des fidèles. Les formes de manipulation-adultation à un niveau élevé, cependant, bien reconnaissable.

 

Le néo-luthéranisme revient avec force dans cet autre changement : le prêtre n'invitera plus les gens à prier en disant "Priez, frères, pour que mon sacrifice et le vôtre soient agréables à Dieu, le Père tout-puissant", mais "Priez, frères et sœurs, pour que cette FAMILLE QUI EST LA NÔTRE, réunie par l'Esprit Saint au nom du Christ, offre un sacrifice agréable à Dieu le Père tout-puissant".

 

Le rôle du célébrant est donc déprécié, selon cette équation luthérienne entre le sacerdoce ministériel (des prêtres) et le sacerdoce baptismal (des fidèles). Ce concept est à des années-lumière du catholicisme et se reflète également dans le passage de "Nous te remercions de nous avoir admis en ta présence pour accomplir le service sacerdotal" à "parce que tu nous as rendus dignes d'être en ta présence...". Les prêtres bergogliens se le disent à eux-mêmes, que Dieu les a rendus dignes : un anthropocentrisme arrogant complètement opposé aux formules continues d'humilité et de demande de pardon exprimées par le prêtre dans l'ancienne messe, en latin, théocentrique, catholique par excellence que le vrai pape Benoît avait libéralisé et que, bien sûr, Bergoglio a euthanasié avec le motu proprio Traditionis custodes ICI .

 

Le luthéranisme revient avec l'intercession pour l'Église en passant de l'union avec "l'ordre sacerdotal tout entier" à celle avec "les prêtres et les diacres". Le diaconat est l'ordre sacré mineur, inférieur à celui des prêtres. L'église moderniste, et surtout l'église bergoglienne, vise beaucoup à valoriser le diaconat : c'est la porte entre le monde du laïcat (également) féminin et l'ordre sacré exclusivement masculin. Les modernistes, surtout les Allemands, veulent des femmes prêtres, en insistant sur le fait que dans l'Antiquité il y avait des diaconesses, mais celles-ci avaient pour seule tâche d'accompagner les baptisées jusqu'à la vêture, un peu comme aujourd'hui à Lourdes il y a des aides-soignantes qui aident les malades à faire leurs ablutions dans l'eau de la source. Il est impensable pour le catholicisme d'ouvrir le sacerdoce aux femmes (chaque religion a ses propres règles), mais le diaconat est, pour les modernistes, le point faible sur lequel s'appuyer pour ébranler le sacerdoce exclusivement masculin.

 

L'un des changements les plus ouvertement ésotérico-pro-maçonniques concerne la deuxième prière eucharistique, qui se lisait auparavant comme suit : "Père très saint, source de toute sainteté, sanctifie ces dons par l'effusion de ton Esprit". Maintenant, cela devient : "Nous t'en supplions : sanctifie ces dons par la ROSÉE de ton Esprit".

 

La rosée ? Oui, expliquent les bergogliens, car elle figure dans la version latine du missel de Paul VI parce que, au IIIème siècle, la rosée était comprise comme une bénédiction de Dieu sur le monde. Le détail est qu'à peine un siècle plus tard, la troisième personne de la Trinité était dogmatisée, alors quel est l'intérêt de récupérer une métaphore obsolète du Saint-Esprit alors qu'elle est déjà "bel et bien codifiée" ? Il suffit de faire quelques recherches et l'on découvre que la rosée est, par hasard, le NECTAR DES ROSICRUCIENS, un ordre secret ésotérique pseudo-maçonnique qui, de manière anti-christique, ne reconnaît pas Jésus comme le Fils de Dieu. Et l'on peut rappeler, en passant, comment Bergoglio porte précisément autour du cou le Bon Pasteur aux bras croisés, exclusivement typique des rosicruciens.  ICI 

 

La plus vicieuse des inversions, cependant, se trouve dans le changement du Notre Père, la prière donnée directement par le Christ et parfaitement traduite du grec par Saint Jérôme, même dans la phrase "ne nous soumets pas à la tentation" maintenant changée en "ne nous abandonne pas dans la tentation". La prémisse de la phrase correcte, dans l'original, est que Dieu, dans son mystère ineffable, peut mettre à l'épreuve ses enfants, pour éprouver leur foi, tandis que la phrase de Bergoglio présuppose que Dieu peut effectivement nous abandonner à la tentation. ICI 

 

C'est donc comme si vous demandiez à votre père : "Papa, s'il te plaît, n'empoisonne pas mon café". Malgré une demande négative, vous supposez que votre père peut vous empoisonner. Comprenez-vous pourquoi c'est un blasphème ? C'est un concept d'abandon que Bergoglio affectionne tellement que dans sa récente interview de Pâques avec Lorena Bianchetti, il a déclaré :

 

"Revenons au début, à trois heures de l'après-midi. Jésus meurt, il meurt seul. La solitude la plus complète, ABANDONNÉ MÊME PAR DIEU : "Pourquoi m'as-tu abandonné ?" 

 

ATTENTION ! Cette affirmation, laissée ainsi, est très grave : la phrase que Jésus prononce sur la croix N'EST EN AUCUN CAS une phrase de désespoir parce qu'il se sent abandonné par le Père, mais c'est une parole de louange, une acceptation suprême de la volonté du Père qui reprend le début du psaume 21, c'est-à-dire une prière qui commence par : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" et qui se termine en glorifiant Dieu : "Ils parleront du Seigneur à la génération qui vient ; ils proclameront sa justice ; au peuple qui va naître, ils diront : "Voilà l'œuvre du Seigneur !"".

 

Le vrai pape Benoît l'a très bien illustré dans son livre "Jésus de Nazareth" en 2007. Les plus grands théologiens expliquent que la crucifixion a eu lieu avec le "consentement trinitaire", c'est-à-dire que la croix a été permise et voulue par les trois Personnes, le Père, le Fils et le Saint-Esprit pour la rédemption de l'homme.

 

Dans cette altération, nous voyons donc la composante déiste pro-maçonnique du modernisme bergoglien, celle-là même pour laquelle, par exemple, Dieu est resté complètement étranger à la pandémie comme le dit Monseigneur Delpini : le Grand Architecte de l'univers maçonnique a créé l'homme, mais l'a ensuite laissé à lui-même. Il n'est pas du tout un Père, et il n'a pas envoyé le Fils s'offrir "en sacrifice pour notre salut".

 

Et en fait, que changent-ils d'autre ? Dans la consécration, nous passons de "(Jésus) s'offrant volontairement à sa passion" à "se livrant volontairement à la passion". Voici la troisième matrice hérétique du nouveau missel de Bergoglio : le néo-arianisme. "Se livrer" pourrait aussi être fait par un délinquant à la police, mais c'est très différent de "s'offrir", qui implique un volontarisme profondément conscient et moralisateur. C'est de l'italien. 

 

C'est la vision moderniste habituelle, qui reprend l'ancienne hérésie d'Arius (voir Enzo Bianchi, théologien préféré du "Pape François" ICI) qui veut que Jésus soit un grand homme, mais naïf, qui ne s'attendait pas à être mis sur la croix, ce qui est arrivé seulement parce qu'il avait annoncé une miséricorde-miséricordiste de Dieu pour tous, sans mérite et sans enfer. Bonne nuit, le catholicisme.

 

Franc-maçonnerie et anthropocentrisme encore dans la nouvelle énonciation du rite de la paix : "Échanger un signe de paix" qui devient "Échanger le DON de la paix". La formule originale ne fait certainement pas référence à la paix matérielle dont Bergoglio ne cesse de parler, mais à la paix spirituelle donnée par Dieu qui peut advenir même dans un contexte de guerre matérielle. Ici, cependant, c'est comme si les hommes échangeaient un cadeau qui vient d'eux.

 

Bon nombre de ces changements subtils mais dévastateurs avaient fait l'objet d'informations depuis plusieurs décennies. Le pouvoir du clergé moderniste est tel que même le pape Benoît n'a pas été en mesure d'insérer le philologique "versé pour vous et pour BEAUCOUP en rémission des péchés", à la place du miséricordieux "et pour tous" qui figure encore dans la traduction italienne de la messe de Paul VI.

 

L'antipape François a complètement cédé à ces processus obscurs préparés depuis le Concile. Donc, si vous êtes catholique, vous savez maintenant comment ils vous TROMPENT, mais heureusement, le véritable Vicaire du Christ, Benoît XVI, en a fait tous des schismatiques en se retirant in sede impedita. Pour l'instant, si vous voulez faire quelque chose pour sauver votre Foi, l'Eglise (et plus encore), coupez tous les liens avec la fausse église bergoglienne, restez en communion avec le vrai Pape Benoît XVI et dénoncez partout son Siège empêché.

 

Si vous voulez approfondir le sujet, vous trouverez l'enquête en 60 chapitres au bas de cet article ICI

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