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Publié par dominicanus

Dai pro Bergoglio pestaggio mediatico su Ratzinger, il vero papa Benedetto XVI: un boomerang per il sedicente papa Francesco
Écrit par Andrea Cionci (22/01/2022) - Traduction française autorisée : père Walter Covens

Écrit par Andrea Cionci (22/01/2022) - Traduction française autorisée : père Walter Covens

Et ils insistent. Mais ils le font de manière si grossière et maladroite que l'attaque médiatico-judiciaire, promue - comme par hasard - par l'ennemi juré du pape Benoît, le cardinal Marx, super-moderne, se retourne contre les bergogliens. En fait, des rumeurs d'indignation se sont élevées de nombreuses parties du monde catholique qui, de bonne foi, continuent de considérer Bergoglio comme le pape légitime.

 

"Le Vatican se débarrasse de Ratzinger" ; "Pourquoi personne ne défend Benoît ?"; "Honte au Vatican ; tir ami sur Ratzinger", etc.

 

La désapprobation est naturelle, tant pour l'attaque inutile et malveillante contre un homme de 94 ans, que pour le fait que tout le monde sait que Ratzinger est l'ecclésiastique qui a le plus fait, compte tenu de son rôle de cardinal et - encore actuel - de pape, pour combattre le fléau des abus. Même Bergoglio l'a admis il y a quelques années, dans cette vidéo ICI.

 

Et maintenant, comment se fait-il que l'autoproclamé "pape François" NE DIT PAS UN MOT pour défendre son "sage grand-père", comme il l'a irrévérencieusement appelé dans une interview il y a quelques années ?

 

Au contraire, Bergoglio joue brutalement sa partition en invoquant de manière démagogique la "justice pour les victimes d'abus", ces mêmes victimes que lui, en tant qu'archevêque de Buenos Aires, n'a pas voulu recevoir, comme en témoigne le documentaire "Le code du silence" ICI.

 

Ces mêmes victimes qui, dans le mémoire en 4 volumes "Etude sur le cas Grassi", commandé par Bergoglio (c'est écrit dans le texte) pour amener la justice argentine à acquitter le prêtre pédophile Julio Caesar Grassi ont été accusées d'avoir tout inventé, mises au pilori comme menteuses et même d'orientation sexuelle douteuse. Lire ICI .

 

Le changement de rythme et les incohérences sont si évidents qu'il est vraiment difficile de comprendre comment, au Vatican, on ne s'en rend pas compte. Mais qui gère ces opérations ? Ils n'ont pas de conseiller en communication ? 

 

En fait, un autre désastre s'est produit avec l'annonce, juste "un peu" tendancieuse, d'une enquête similaire en Italie, pour essayer de frapper Ratzinger également du côté italien.

 

Pourquoi ne pas promouvoir une enquête également en ARGENTINE, à ce stade ?

 

L'objectif de toute l'opération est évident : discréditer le vrai pape Benoît XVI au point de le délégitimer aux yeux du monde entier afin de justifier le coup d'État du Vatican sur une base émotionnelle et médiatique, selon le modus operandi typique de Bergoglio.

 

Il suffit de se rappeler la FARSE de la visite chez le disquaire il y a quelques jours, mise en place avec l'aide du photographe Javier Brocal, qui l'a toujours suivi de près. Ils ont voulu répéter, en offensant l'intelligence de 1 285 millions de personnes, que la rencontre entre les deux avait été accidentelle, mais grâce à l'aide d'un mathématicien nous avons calculé que la probabilité était de 0,000000062%.  Lire ICI.

 

L'opération contre le vrai pape Benoît a toutefois eu le mérite de creuser une douzaine de mètres supplémentaires dans le fossé qui sépare déjà les deux églises, la vraie et la fausse. Elle a ramené l'attention sur le pape émérite, qui est appelé ainsi non pas parce qu'il est l'ancien pape, mais parce qu'il est le seul qui "mérite" d'être pape, le seul qui en a le droit, du verbe latin "emereo" . ICI les détails. 

 

 

 

Le dénigrement cruel et incohérent de Benoît XVI par les médias a suscité une grande sympathie pour ce pape âgé et authentique qui semblait avoir été oublié et qui apparaît maintenant exactement pour ce qu'il est : la victime d'une usurpation.

 

Cette attention médiatique permettra bientôt au public, émotionnellement attiré par le pape Ratzinger, d'élaborer rationnellement sur le fait que Benoît XVI n'a jamais abdiqué, mais s'est retiré in sede impedita (canon 412), faisant de Bergoglio un antipape lui-même et de tous les modernistes pareillement des schismatiques. En fait, la logique ne pardonne pas : dans le fond de l'esprit des gens, un doute légitime est déjà en train de germer : mais pourquoi cet acharnement contre le pape Benoît, âgé de 94 ans ? Qu'est-ce qui se cache derrière ?

 

Pour lire l'intégralité de l'enquête qui montre que Benoît XVI est le seul vrai pape, cliquez ICI et lisez en bas en particulier les chapitres 1, 2, 5.

 

Pour les rapports, écrivez à : codiceratzinger@libero.it 
 

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