208 décès dans le monde entre le 1er janvier 2022 et juin 2024, contre 7000 rien qu’en 2024 pour la dengue par exemple. Mais las, l’OMS a tranché, la nouvelle star confiscatoire des libertés publiques, le nouveau virus qui permettra de justifier toutes les atteintes imaginables aux droits de l’Homme dans le monde, ne sera ni la dengue vingt fois plus mortelle, ni le virus ebola, ni la grippe, mais bien le “mpox” que certaines mauvaises langues comme le rappeur Akhenaton appellent déjà “Money Pox”…
Identifié en 1958 chez des singes de laboratoire à Copenhague, le mpox (qui leur doit son nom) est essentiellement zoonotique, avec différents rongeurs comme réservoirs, notamment:
- le rat géant de Gambie ou cricétome
- les écureuils africains Funisciurus et Heliosciurus
- le loir et autres gliridés
le virus qui provoque des fièvres et éruptions cutanées significativement moins graves que celles de la variole est resté par la suite endémique à l’Afrique de l’Ouest avant de connaître une première propagation documentée aux Etats-Unis en 2003, via des coyotes porteurs eux-mêmes en contact avec des cricétomes (rats géants de Gambie) importés. Les foyers ultérieurs seront tracés au Nigeria, avant la “pandémie” de 2022 ou en tout cas l’évènement déclaré comme tel par l’OMS, qui a donc fait vingt fois moins de morts que la dengue à travers le monde depuis. On fait le point avec le Professeur Didier Raoult.