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Publié par dominicanus

 

As can be discerned from the history of the Roman Church, the conditions for a juridically valid election of the Roman Pontiff according to the apostolic ordinance of St. Peter, whereby the whole Church participates in the choice of its next Bishop, are patent
WHAT ARE THE CONDITIONS FOR A JURIDICALLY VALID ELECTION BY APOSTOLIC RIGHT?

Écrit par fr Alexis Bugnolo (29/01/2023) - Traduction française autorisée : père Walter Covens

 

 

Comme on peut le discerner à partir de l'histoire de l'Église romaine, les conditions d'une élection juridiquement valide du Pontife romain selon l'ordonnance apostolique de saint Pierre, par laquelle l'Église entière participe au choix de son prochain évêque, sont évidentes :

 

  1. Le Siège Apostolique est légitimement vacant
  2. Les électeurs sont membres de l'Église romaine
  3. Tous les électeurs sont invités par avis public
  4. Les électeurs se réunissent dans une réunion publique
  5. Les électeurs choisissent un homme catholique, adulte, non marié et libre de toute censure ecclésiastique.

 


Mais que se passe-t-il si tous les membres de l'Église romaine ne viennent pas, ou si tous ne sont pas au courant de l'élection ?

 

Si le droit dépendait de la participation, il s'agirait alors d'un droit détenu par des individus plutôt que par l'Église entière, et si l'un des membres ne se présentait pas, l'élection serait invalide.  Ce critère n'est même pas accepté pour les conclaves, car là, si un électeur ne vient pas, l'élection reste valide.

 

L'impossible n'est jamais une exigence d'une loi ou d'un droit, et donc aussi, si quelqu'un n'est pas au courant de l'élection, alors qu'il y a 4 millions d'électeurs, même si elle a été publiée à la radio et à la télévision pendant une semaine, et sur les médias sociaux du monde entier, le fait qu'il ne soit pas au courant ne rend pas l'élection invalide.

 

De même, si tout le clergé de la ville choisit de suivre un antipape - comme cela s'est produit à de nombreuses reprises dans le passé - ou tombe dans l'apostasie ou l'hérésie - comme une partie du clergé romain l'a fait dans le passé, lors des crises arienne et novatienne - cela ne rend pas pour autant l'élection invalide.

 

En mars 251 de notre ère, le pape Corneille Ier a été élu par moins de 200 membres du clergé et quelques centaines de laïcs. Mais personne ne conteste la validité de cette élection. En ces temps modernes d'apostasie, d'hérésie et de contrôle narratif complet du médias mainstream, il serait ridicule et diabolique de prétendre que sans la publicité de ces médias, l'invitation serait invalide, car cela reviendrait à demander l'approbation des élites dirigeantes.

 

Non, l'Eglise de Rome est par institution divine et apostolique totalement libre de telles contraintes.

 

Elle a ce droit spécial, parce que Jésus a décidé de s'en tenir à sa décision quant au choix de son évêque, et de prier pour cet homme en tant que son vicaire sur Terre. C'est un privilège impressionnant, et pourtant c'est le fondement de l'unité de l'Église entière. Méfiez-vous de ceux qui, ces derniers jours, ont commencé à prétendre que les catholiques n'ont jamais cru en ces choses.

 

Ainsi, demain, lorsque les catholiques de l'Église romaine se réuniront, ils feront quelque chose qui n'a pas été fait depuis près de 1000 ans, en raison de l'extrême nécessité de l'apostasie de facto du Collège des cardinaux de leur devoir de pourvoir à la sélection du prochain pape.

 

Quant à ceux qui sont rendus fous par leur mécontentement livide et les serpents de l'envie et de la jalousie qui s'enroulent autour de leur cœur, et qui disent que le peuple ne peut pas élire son évêque : ils jouent un jeu de dupes, et qualifient les fidèles de l'Église romaine d'incroyants ou de simples plébéiens.

 

Les fidèles ont élu saint Ambroise et saint Augustin. Ils ont élu tous les papes des 1000 premières années à Rome. Ceux qui disent le contraire sont des menteurs éhontés.

 

Dans l'Antiquité, ces élections avaient lieu en un jour, et dans des piazzas, des basiliques, ou d'autres lieux ouverts. Le lieu n'est pas important. Qu'ils se réunissent était important.

 

Enfin, si un ou plusieurs autres groupes appellent à l'élection du successeur du pape Benoît XVI à une autre date ultérieure, il est clair que cette élection sera invalide, car vous ne pouvez pas élire n'importe quel évêque, une fois que cette fonction a été prévue.

 

Ceux qui ont déjà un "pape", ne veulent pas que les catholiques de Rome aient un vrai pape. Cela fait partie de la logique maçonnique diabolique des temps modernes, qui dit que tout le monde a droit à quelque chose, SAUF les catholiques.

 

Demain, l'histoire sera faite. Et je remercie tous ceux qui ont contribué au Fonds électoral B16, qui ont rendu cela possible. Vous êtes les plus vrais amis de Jésus-Christ, et il ne vous oubliera jamais pour cette œuvre entièrement conforme à ses désirs les plus profonds pour son Église.

 

Demain, les catholiques de Rome reprennent leur Église. Ceux qui rejettent leur décision, se sépareront du Christ Jésus de telle manière qu'ils ne pourront pas être sauvés, car comme le Pape Boniface VIII le déclare, dans Unam Sanctam - un document fréquemment cité il y a seulement quelques décennies, mais récemment oublié - il est impossible d'être sauvé sans se soumettre au Pontife Romain.

 

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