Mais après avoir visionné l'enfant in sinu, dans toute sa beauté, au cas où cela ne suffit pas à vous dissuader du pire, avez-vous eu le courage de regarder en face ce qu'est réellement ce qu'on camoufle pudiquement sous le sigle d'IVG (avec ce terme mensonger d'interruption, qui suppose en vocabulaire français, que la vie reprenne ensuite) Ce tout petit aspiré avec le placenta (méthode Karman), cureté, démembré, déchiqueté (devant être recomposé dans une passoire pour être sûr que rien n'en reste) .Cet insoutenable charcutage, l'avez-vous vu ? Le petit qui devient une loque après coupure du cordon (cooked chicken). Le corps coupé de la tête, puis aspiré avec un cathéter de succion, le cerveau aspiré (Dilatation and extraction). L'avez-vous vu empoisonné par injection saline, expulsé par hystérotomie?
Le tout petit qui se débat, se blottit pour fuir l'horrible aiguille, qui paraît émettre un cri de douleur : tout cela, avez-vous osé le voir ne fut-ce qu'une seule fois, avant un vote qui sera veto à la vie ?
Aux USA, c'est allé jusqu'au Partial Birth Abortion, on coupe la tête de l'enfant au sortir du sein maternel ! Légalement. En toute impunité. Et maintenant, le Congrès doit voter une loi pour protéger l'enfant après sa naissance, pour éviter de le tuer à plusieurs semaines, non plus in sinu, mais déjà vivant au grand jour Voilà où on en arrive : la régression en plein barbarie.
Mes frères qui militez courageusement à l'ACAT ou avec Amnesty International, cela vous laisse-t-il indifférent ? Où est votre logique ? Pourquoi n'être pas les premiers à vous insurger ?
Et comme si cette horreur ne suffisait pas, que fait -on des débris de ce corps humain ? On y prélève des cellules-souche (alors qu'on peut maintenant trouver des cellules-souches indifférenciées adultes, aussi efficaces, sans nul besoin de tuer pour cela) Ou plus prosaïquement :on les trafique, on les commercialise, les recycle, valeur marchande forte. On les importe-exporte. Pourquoi ? Pour cosmétiques, shampooing ou crèmes rajeunissantes.
La suite de l'article du Père Daniel Ange, que je vous livre à la suite de mon homélie de dimanche dernier pour la Nativité de S. Jean Baptiste paraîtra chaque jour jusqu'à la fin de cette semaine, mais les abonnés à la Newsletter ne seront plus avertis. L'on pourra toujours s'abonner au fil RSS.