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Praedicatho homélies à temps et à contretemps

Praedicatho homélies à temps et à contretemps

C'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui va juger les vivants et les morts, je t’en conjure, au nom de sa Manifestation et de son Règne : proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, toujours avec patience et souci d’instruire. Crédit peintures: B. Lopez


Père Émilien Tardif, Jésus a fait de moi un témoin, Éd. de l’Emmanuel, 1990, p. 83-85

Publié par Walter Covens sur 4 Juillet 2006, 19:14pm

Catégories : #la vache qui rumine (Années B - C)

ATTENTION ! DEPUIS DIMANCHE, SUITE À UN PROBLÈME TECHNIQUE, LES "NEWSLETTER" N'ONT PAS PU ÊTRE ENVOYÉES. MAIS VOUS POUVEZ CONSULTER LES PAGES DIRECTEMENT SUR LE SITE. Ceux qui pensent que les guérisons sont quelque chose de superficiel dans le ministère de Jésus se trompent complètement. Ceux qui croient que l’on n’a plus besoin de guérisons aujourd’hui et que l’essentiel est d’annoncer l’Évangile oublient la méthode pastorale de Jésus. Nous, nous planifions et nous recherchons mille moyens d’attirer les gens qui viennent de moins en moins à l’église. Nous organisons fêtes, concerts, partages, etc., et les résultats sont pauvres. Jésus, lui, guérissait les malades et les gens venaient en masse. Si nombreux qu’un jour on fit passer un paralytique par le toit de la maison de Pierre, car il n’y avait pas moyen de passer dans la foule. Aujourd’hui, c’est la même chose qui arrive. Quand Jésus guérit les malades, ce sont des foules qui viennent, des foules qui ne tiennent même pas dans les stades, et c’est alors que nous leur annonçons le Royaume de Dieu. Les conséquences sont beaucoup plus grandes que les simples guérisons physiques, car les signes du pouvoir de Dieu ne sont pas seulement un spectacle, ils aident efficacement le renouveau de la vie de foi. C’est ce que dit la lettre de l’archevêque de Tahiti à mon supérieur provincial dont nous transcrivons intégralement la première partie : Papeete, 30 novembre 1980 – Mon Révérend Père, Absent du diocèse pendant tout le séjour du Père Tardif, du 21 octobre ou 14 novembre, j’ai constaté, dès mon retour le 2 novembre, le changement dû à son passage. Je ne reviens pas sur la description que vous a déjà faite le P. Hubert, mon frère ; je voudrais simplement vous dire : 1 – Le nombre des pratiquants le dimanche a considérablement augmenté. 2 – Un certain climat œcuménique s’est instauré. 3 – La Vie spirituelle partout naît ou renaît. 4 – Les conversions ont été importantes et les confessions extrêmement nombreuses. 5 – Le clergé, les religieuses, les frères… ont grandement apprécié la prédication du P. Tardif. 6 – Les mariages en préparation vont permettre la régularisation de quantité d’unions illégitimes et certainement un renouveau de la vie familiale. Jamais le diocèse n’a connu une telle poussée de foi. Nous avons eu deux Synodes, une Révision Apostolique, des retraites assurées par d’excellents prêtres dans les quinze dernières années… Nous avons connu de grandes manifestations religieuses… Mais aucun résultat populaire et profond comparable à celui-ci. + Michel Coopenrath, Archevêque de Papeete.
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