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Praedicatho homélies à temps et à contretemps

Praedicatho homélies à temps et à contretemps

C'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui va juger les vivants et les morts, je t’en conjure, au nom de sa Manifestation et de son Règne : proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, toujours avec patience et souci d’instruire. Crédit peintures: B. Lopez


LE PAPE FRANÇOIS DEVIENT UN APOSTAT FORMEL, OBSTINÉ EN APPROUVANT LA BÉNÉDICTION DES UNIONS SODOMITIQUES

Publié par dominicanus sur 19 Décembre 2023, 00:54am

Catégories : #Pape François, #Porta fidei, #VATICAN

Admettre que c'est une apostasie et conseiller de ne rien faire pour l'éradiquer, c'est aussi de l'apostasie.

Any debate about whether Pope Francis can or should be deposed from the Papacy is now over, seeing that he has approved the blessing of sodomitic unions (not to mention unions founded upon fornication and adultery) — a thing which invokes the Divine Name to approve a sin which cries out to God for vengeance.  The Sutri Initiative, as I have said since 2018, is the only way to depose him canonically. Voices who do not support this Initiative will now totally discredit themselves, because to admit such an apostasy and advise nothing be done to root it out, is apostasy.
POPE FRANCIS BECOMES FORMAL, PERTINACIOUS APOSTATE BY APPROVING BLESSING OF SODOMITIC UNIONS

Écrit par fr Alexis Bugnolo (18/12/2023) - Traduction française autorisée : père Walter Covens

 

 

 

 

Tout débat sur la question de savoir si le pape François peut ou doit être déposé de la papauté est maintenant terminé, vu qu'il a approuvé la bénédiction d'unions sodomites (sans parler des unions fondées sur la fornication et l'adultère) - qui invoque le nom divin pour approuver un péché qui crie vengeance au Ciel.  L'initiative Sutri, comme je l'ai dit depuis 2018, est le seul moyen de le déposer canoniquement. Les voix qui ne soutiennent pas cette Initiative vont maintenant se discréditer totalement, car reconnaître une telle apostasie et conseiller de ne rien faire pour l'éradiquer, c'est aussi de l'apostasie.

 

Le document lui-même (voir le texte français ICI), intitulé Fiducia supplicans ('Humble supplication') a été rédigé de manière à séduire intellectuellement les fidèles dans l'apostasie, comme le montre la logique interne du document et son refus constant de reconnaître que ses propres affirmations sont hérétiques, erronées, immorales ou au-delà du pouvoir d'approbation de l'Église.

 

La logique tordue, fausse et frauduleuse du document, qui tout en admettant "un réel développement" dans la doctrine de la bénédiction, tente d'inventer un ministère sacerdotal d'affirmation de la sodomie, dans lequel le blasphème contre le Dieu vivant, l'approbation d'un péché qui crie vengeance à Dieu, et les jeux de mots entre "bénédiction" et "prière", "rituel" et "liturgique", "rechercher l'approbation" et "ne pas rechercher l'approbation" est o. k. - à première vue et en dernière analyse ne la sauvent pas de l'apostasie totale. Ce ne sont que des rationalisations totalement malhonnêtes. Car comme je le dis dans la vidéo ci-dessous : dire que Dieu peut bénir le péché, c'est dire que Dieu n'est pas Dieu, parce que Dieu étant la Vérité et la Bonté infinies ne peut approuver quoi que ce soit d'immoral ou de fondé sur le mensonge ou le mal. Et dire qu'Il peut le faire reviendrait à dire que Dieu peut "ne pas être Dieu" quand moi, le pécheur, je veux qu'Il "ne soit pas" Dieu, ce qui est l'exemple même du sacrilège du Nom Divin et de l'apostasie totale de toute la Foi Biblique.

 

De même, le document présente une nouveauté totale, à savoir qu'un prêtre ou l'Église peuvent donner une bénédiction en dehors d'un acte liturgique d'une manière différente d'un acte liturgique : à savoir que dans la liturgie, il ou elle est tenu(e) de bénir uniquement de la manière dont Dieu le veut, mais qu'en dehors de la liturgie, il ou elle peut bénir d'une manière dans laquelle le sens des termes est à prendre au pied de la lettre et les mots peuvent signifier tout ce que l'on veut qu'ils signifient. Ceci est une attaque directe contre le sacerdoce et l'Église et implique qu'un prêtre et la Sainte Mère l'Église peuvent être autre chose qu'un alter Christus ou l'Épouse fidèle du Christ, respectivement, c'est-à-dire qu'ils peuvent être le prêtre d'un autre dieu quand ils le veulent, et l'épouse d'un autre homme. Cela aussi est une apostasie. Le suggérer est la pire forme de séduction morale et de blasphème.

 

Les catholiques doivent insister de toutes leurs forces pour que leurs prêtres ARRÊTENT de nommer le pape François dans le canon de la messe et appellent publiquement tous leurs paroissiens à soutenir l'initiative Sutri. Si nous ne faisons pas la part des choses, nous trahissons tous Jésus-Christ d'une manière telle que nous ne trouverons jamais le pardon, ni dans le temps, ni dans l'éternité.

 

Voir ci-dessous l'émission spéciale de OMC Radio TV sur cette nouvelle.

 

Le document publié par le faux Dicastère reprend notamment les réponses hérétiques données aux cardinaux dans la Dubia qu'ils ont présentée au Pape François en juillet. J'attends donc une réponse immédiate de leur part, avant la fin de la journée.

 

En outre, je recommande à tous les catholiques d'écrire immédiatement à leurs évêques et de leur demander d'accorder à tous leurs prêtres la permission d'OMETTRE de nommer le pape François dans le canon de la messe, ou d'ajouter les mots "pour son repentir" après l'avoir nommé dans le canon. - Étant donné qu'il s'agit d'une circonstance extraordinaire, les prêtres et les évêques peuvent présumer que le Christ leur a donné la permission d'effectuer ces changements immédiatement dans toutes les formules où le nom du pape doit être mentionné.

 

Certains évêques, cependant, s'empressent de publier leur approbation du document. J'en tiens une liste ICI. Si vous en connaissez d'autres, partagez l'information dans un commentaire.

 

Comme je l'ai écrit pendant des années, si vous pouvez soutenir que le Pape Benoît XVI pouvait renoncer à la papauté en ne renonçant PAS au Munus Pétrinien, alors les mots ne signifient rien pour vous, et vous devrez accepter toutes les altérations et falsifications de la Foi qui se présenteront à vous. Personne n'a voulu m'entendre lorsque j'ai écrit à ce sujet en 2016. - J'avais raison, encore une fois, et j'étais prophétique.

 

 - Soit dit en passant, l'Église d'Angleterre (anglicane) a approuvé pas plus tard que hier un rituel de bénédiction des homosexuels. On voit donc bien avec quelle Église Bergoglio et sa bande de méchants sont en communion.

 

Et s'il est vrai que ce document est publié par Mgr Fernandez du Dicastère de la Foi, qui n'existe pas (parce qu'il a été créé lorsque Bergoglio ne détenait pas le Munus pétrinien), il n'est PAS vrai que le pape François n'est donc pas moralement responsable (le document commence par affirmer que le pape François l'a personnellement signé), et qu'en ne faisant rien à ce sujet, il peut être toléré dans sa prétention d'être le pape. Non, plutôt, en permettant cela, il a annihilé toutes les suppositions raisonnables qu'il est le pape ou qu'il occupe la fonction. -- L'Église doit donc se réunir en concile pour le déclarer. L'existence même de l'Église en dépend.

 

Et à tous les pharisiens qui se demanderont si cet enseignement est infaillible ou non, ou qui diront qu'il ne l'est pas et qu'il n'y a donc pas lieu de s'inquiéter, parce qu'il émane d'un dicastère et non du pape : Je vous le dis : vous êtes en train de négocier pour un terrain marécageux chaud dans l'Enfer de Judas Iscariote en coupant jésuitiquement des cheveux en quatre pour vous excuser de ne rien faire et de conseiller aux fidèles de ne rien faire d'autre que de vous donner de l'argent et de rompre avec l'Église du Christ.

 

En attendant, prions tous pour l'Église tout entière. Nous sommes tous mis à l'épreuve maintenant, pour savoir si nous renierons ou non le Christ crucifié devant le monde. La plupart des Apôtres et des Disciples ont fui ou renié le Christ au cours des 11 dernières années. Nous devons travailler avec Marie pour réconcilier les quelques personnes qui ont encore la foi et les rallier à la cause du Christ !

 

Enfin, chaque personne qui a signé ce document devrait être excommuniée et défroquée. - De même, tous ceux qui insistent pour que nous continuions à reconnaître Jorge Mario Bergoglio comme pape, tant qu'il ne répudie pas ce document, commettent un crime grave contre nous en tant que catholiques, contre nos consciences correctement formées, contre nos droits religieux devant le Dieu vivant.

 

 

 

 

 
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P
Merci. Bon Dimanche !
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D
1. La distinction antipape - pape hérétique me paraît essentielle. <br /> 2. Le caractère inédit de la situation actuelle que vous évoquez est à prendre en compte.<br /> 3. L'attentisme des évêques et le piétisme des fidèles qui se contentent de se lamenter et de prier est catastrophique. Attendre que P.F. passe l'arme à gauche, c'est oublier qu'avant de mourir, il est capable de modifier Universi Dominici Gregis, ce qui rendrait le prochain conclave nul et non avenu.<br /> 4. Étant donné que vous célébrez avec le missel tridentin, vous pouvez plus facilement omettre la mention du pape, sans pour autant tomber dans les travers des minutelliens.
P
Je vous remercie pour cette longue réponse : c'est une question difficile. Si je vous comprends bien : tant que l’Église n'a fait aucune déclaration. Il n'est pas illicite de le mentionner au Canon. Pour autant, ce pourrait être immoral s'il s'agissait de marquer par là un parfait accord de vue avec lui. Mais il y a deux choses à considérer je pense : <br /> <br /> 1) Lorsque les théologiens médiévaux ont traité la question du Pape hérétique, déposé au for interne en raison de son hérésie, mais gardant la juridiction de fait et non plus de droit, jusqu'à une éventuelle déclaration de l’Église : il ne pouvaient imaginer le cas absolument du pontificat de Bergoglio dont les attaques contre l’Église depuis la position qu'il occupe sont systématiques et dans touts les domaines. Aucun excepté : tout y passe : la foi, la morale, les sacrements, le droit, les finances etc. Ses hérésies sont certes celles de la personnes privée qui est le Pape, mais certaines ont été introduites dans le magistère et aucune n'a jamais été révoquée, au contraires : elles sont toutes réitérées. <br /> <br /> 2) Le contexte est celui d'une apostasie quasi-générale et l'élément humain fait cruellement défaut. Quels sont les évêques qui prendraient sur eux de convoquer un concile qui déclarer que François a perdu le Pontificat ? <br /> <br /> Personnellement, je crois qu'ils attendent la fin et il se pourrait bien que les persécutions récentes contre l'évêque Strickland et le cardinal Burke - et la question financière aidant - et les récents scandales autour de Fiducia Supplicans et les œuvres indignes du cardinal Tucho n'est déjà fixée l'issue du prochain Conclave. Nous pourrions voir l'élection de Burke ou d'un conservateur, d'un modéré, ou d'un Parolin, mais l'élection d'un bergoglien pur jus n’étant pas exclue, la chose reste donc à redouter. Si c'était malheureusement le cas : les cardinaux qui auraient pu agir aujourd'hui n'auront plus demain aucune crédibilité pour mettre en doute la légitimité d'un François bis poursuivant les œuvres destructrices de son devancier. <br /> <br /> Célébrant essentiellement avec le missel tridentin qui n'a qu'une seule anaphore eucharistique (le Canon Romain) il y a en effet la mention de l'una cum "en union avec" : naturellement, si je fais mention de François (et même de l'évêque du lieu), mon intention n'est jamais celle de marquer un quelconque accord avec ses opinions personnelles, sa manière de gouverner et son enseignement. Mon intention est simplement de préserver le lien avec l’Église visible, autrement tout par en lambeaux. La prétendue résistance est loin d'être unis, même si les évêques - sans juridiction mais supplétifs en ce cas - auxquelles elles se rattachent, sont plus catholiques que Bergoglio, fait peut-être beaucoup de bruit mais n'est pas d'une dans sa confession de foi (sa doctrine), son gouvernement et son culte: loin de là ! Ils se détestent et se battent comme des chiffonniers. <br /> Certains, emportés par leur zèle ou nourris de révélations privées anciennes et nouvelles, approuvées ou non, ont déjà le parti de ne pas le nommer, exprimant par là un rejet formel de la juridiction du Pape et des évêques (Je pense à Don Minutella et aux prêtres de la Sodalité Mariale ou encore aux sédévacantistes Pie XII), jugeant par là - de leur propre chef - que toute l’Église était devenue fausse, mais il me semble que c'est là la marque d'un esprit schismatique ou qui tend au schisme et qui contredit le dogme de l'indéfectibilité. <br /> <br /> Moi-même, je suis terrifié à l'idée d'être possiblement en communion avec un faux pape. Longtemps, je me suis contenté de célébrer "Una Cum et Sub Petro" comme cela se faisait en cas d'élection douteuse. Je vous avoue avoir céder ce matin, sans pour autant omettre le nom de l'évêque. Je ne sais plus quoi faire. Que me conseilleriez-vous ?
D
Merci ! Ajoutons que la mention du Pape par un prêtre est d'abord une question de conscience, et la conscience ne peut pas être forcée, même par un supérieur ecclésiastique. Maintenant, la mention du Pape François dans le canon de la Messe n'implique pas que vous êtes d'accord avec tout ce qu'il dit. Cela dépend aussi du canon que l'on utilise. P.E.1, 2, 3 : "en union avec"; Mais dans la P.E. 4 : "Et maintenant, Seigneur, rappelle-toi tous ceux pour qui nous offrons le sacrifice : en premier lieu, ton serviteur notre pape..." La situation d'un pape hérétique n'est pas la même que celle d'un antipape, qu'il n'est jamais licite de mentionner. En cas de siège empêché, on peut le nommer, aussi longtemps que l'intention n'est pas de marquer son accord avec ses opinions, parce qu'il est le pape, mais en état de péché grave. Aussi longtemps qu'il n'est pas "pertinace", vous pouvez penser qu'il est hérétique, mais l'Église ne l'a pas dit, et on peut prier pour sa conversion.
P
Ne faut-il pas attendre une déclaration de l’Église pour cesser de le nommer au Canon de la Messe ?
Répondre
D
Je vous ai répondu que c'était une question de conscience. Chacune la sienne. Il n'y a dans ce cas, contrairement au cas d'un antipape, ni loi, ni obligation autre que celle de ne pas avoir l'intention d'avaliser les hérésies.
P
Merci d'avoir pris le temps de bien détailler votre réponse : que me conseilleriez-vous de faire ? Le nommer, ne pas le nommer ? Nommer l'évêque uniquement (mais l'évêque ne dit mot sur Fiducia Supplicans). Je dois omettre les deux pour me rattacher au moins moralement à un évêque supplétif, où donc est l’Église visible, n'est pas schismatique ?
D
Bonne question. Non, puisque le Siège Apostolique est empêché.

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