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Publié par dominicanus

 

comme l’éclair qui jaillit illumine l’horizon d’un bout à l’autre, ainsi le Fils de l’homme, quand son jour sera là. (Lc 17, 24)
La fin du monde

 

 

Toutes les représentations de la Parousie, conformément au genre littéraire de l'apocalypse, sont imagées, utilisant tout un matériel d'images devenues classiques (troubles cosmiques, trompettes, vallée de Josaphat, etc.). Il est clair, et admis par tous, que ces images ne veulent pas être et ne sont pas une description de ce qui se passera réellement, mais seulement une évocation. 

 

Un point pourtant ressort de tous ces textes, qui, lui, paraît bien constitutif des eschata : la "fin du monde" ne sera pas le terme d'une évolution naturelle, comme l'ultime fructification d'un univers parvenu par sa progression interne et naturelle à son achèvement, mais elle sera au contraire l'interruption d'une telle évolution, de soi indéfinie, par une intervention souveraine de Dieu. Aussi souveraine qu'a été l'acte créateur.

Le ciel se retira comme un livre qu’on referme ; toutes les montagnes et les îles furent déplacées. (Ap 6, 14)

mai, plus clairement :

En effet, comme l’éclair qui jaillit illumine l’horizon d’un bout à l’autre, ainsi le Fils de l’homme, quand son jour sera là. (Lc 17, 24)

 

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