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Praedicatho homélies à temps et à contretemps

Praedicatho homélies à temps et à contretemps

C'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui va juger les vivants et les morts, je t’en conjure, au nom de sa Manifestation et de son Règne : proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, toujours avec patience et souci d’instruire. Crédit peintures: B. Lopez


Prophéties convergentes : la papauté à la fin des temps

Publié par dominicanus sur 13 Mai 2022, 01:51am

Catégories : #Benoit XVI, #Il est vivant !, #Porta fidei, #actualités

 

The long road of disobedience - The Prophecy of the Popes
Converging Prophecies: the Papacy in the End Times

Écrit par  Carlos Caso-Rosendi (17/04/2022) - Traduction française autorisée: Louis Lurton

 

Note du Traducteur :

Je ne suis pas totalement d'accord avec son point de vue sur Vatican II, mais il représente un angle assez répandu chez les Bénédettistes.
En tout cas, c'est une pierre de plus dans le jardin de François, qu'il m'a semblé devoir encourager.
Qu'en pensez-vous ?
Louis

Réponse de l'Éditeur : 

Lu et approuvé avec les réserves que vous exprimez.

D’ailleurs, l’auteur lui-même situe l’infiltration de l’Église bien avant Vatican II. 

Question: sede impedita traduit par siège entravé ou empêché ?

Est-ce Benoît XVI qui empêche où les puissances du mal qui entravent?

Selon Fr Bugnolo les deux manières de voir sont vraies, mais la plus pertinente est la première...

Prière et bénédiction,

Père W. Covens

 

Réponse du Traducteur :

Merci P. Walter,

Oui, l'infiltration de l'église a commencé bien avant, donc on ne peut pas tout mettre sur le dos de Jean XXIII, c'est un peu facile.

Pour moi, Sede Impedita peut se traduire des deux manières, mais 'Siège empêché' me paraît plus précis.

Selon moi, Benoît XVI est le dernier Katechon, il est l'obstacle ultime aux forces du mal à l'œuvre au sein de l'Église catholique. 

Si les forces du mal entravent aussi, c'est la lumière, mais leur rôle est lié à la destruction, contrairement à celui du Katechon, qui vise à la fois à la conservation de ce qui est bon et à la purification de ce qui est mauvais.

Il y a là comme un "effet miroir" cher à Andrea Cionci...

A propos, avance-t-il dans son livre ? Va-t'il y avoir une version française avec vos traductions ? Ce serait génial !!!

Louis

 

Réponse de l'Éditeur:

Andrea Cionci m'informe que la publication de son livre est prévue dans une dizaine de jours. Pour la traduction française il ne répond pas, mais je pense que cela va se faire.

 

 

En cette année de Notre Seigneur 2022, la crise de l'Église catholique atteint son paroxysme. Il s'agit d'une crise qui s'étend sur toute ma vie, bien qu'elle ait été initiée il y a bien longtemps. D'autres diront que la chute de Constantinople a poussé les chrétiens dissidents de Rome au cœur de l'Europe, plantant ainsi les graines de la rébellion de Luther. Vers 1503, le pape conçut l'idée de construire une nouvelle basilique Saint-Pierre. La basilique originale construite par l'empereur Constantin (qui a donné son nom à Constantinople) avait la forme d'une croix. La nouvelle basilique du pape Jules a été conçue comme un cercle et a nécessité la démolition d'une grande partie du bâtiment de Constantin. Ce changement, me semble-t-il, était le signe avant-coureur des choses à venir et j'ose avancer l'idée que c'est à ce moment de l'histoire que l'Église catholique a commencé à se transformer en une forme plus agréable à ce monde. Ce n'était pas un changement subtil pour l'époque. En fait, l'une des conséquences de la construction de la nouvelle église Saint-Pierre, extrêmement coûteuse, a été la Réforme allemande.

 

Cinq siècles plus tard, les forces déchaînées il y a longtemps provoquent des changements si profonds qu'ils ne peuvent être dissimulés. Le reste fidèle contemple de loin ce qui s'apparente à un gigantesque accident de train au ralenti. C'est le 13 mars 2013 que le monde s'est réveillé pour voir deux papes vivre au Vatican. Le pape Benoît XVI avait quitté la Civitas Vaticana pour Castel Gandolfo quelques jours plus tôt seulement, laissant une "sede vuota" ("chaise vide") si vous me permettez d'utiliser avec exactitude ses propres mots.

 

Un journaliste italien contemporain, brillant vaticaniste, l'exprime ainsi :

 

Nous voyons donc que la figure du miroir est essentielle pour comprendre cette question. Les apparences peuvent être trompeuses : il y a une réalité et une réalité fictive, il y a un munus qui est l'objet et il y a un ministerium qui est son reflet. Nous avons un vrai pape qui est empêché et qui ressemble à un ancien pape, et à sa place, nous avons un antipape qui ressemble à un vrai pape. L'un est l'inverse de l'autre. C'est pourquoi cette qualité d'image miroir émerge de la matière-même de la Declaratio de Benoît XVI. Je l'ai retrouvée dans le troisième secret de Fatima. (Andrea Cionci, Le non-dimissioni di Benedetto XVI. Non praevalebunt)

 

 

Le long chemin de la désobéissance

 

En 1917, la Vierge de Fatima nous a avertis, par l'intermédiaire des trois petits bergers, que si rien n'était fait, l'erreur de la Russie allait se répandre et qu'une terrible nouvelle guerre allait éclater. L'erreur de la Russie est née quelque quatre siècles plus tôt. Alors que la nouvelle et ronde basilique de Saint-Pierre était en cours de construction en Italie, la première épouse de Basile III, tsar de Russie, ne pouvait pas porter d'héritier au trône. C'est pourquoi le tsar se débarrassa d'elle (plutôt sans cérémonie) pour épouser sa maîtresse ukrainienne, Elena Glinskaya. De cette union naquit le prince qui deviendrait plus tard Ivan le Terrible. Saint Maxime le Grec a prophétisé au tsar de Russie en le châtiant de cette manière :

 

"O très dévoué Tsar, honoré comme le vrai monarque qui travaille à établir la vie de ses sujets dans la droiture et la justice, qui a toujours réussi à vaincre la luxure et les basses passions de son âme. Il sait que ceux qui sont esclaves de ses passions ne sont pas l'image vivante du Maître Céleste mais une image grossière de la nature brute."

 

Le tsar, soucieux peut-être d'engendrer un héritier, ignora bêtement l'allusion du bon patriarche. Il essayait d'établir une dynastie sans la bénédiction de Dieu. Un autre Patriarche, Marc de Jérusalem, donna au Tsar (à bonne distance, remarquez bien) l'avertissement suivant :

 

"Si tu commets cette iniquité, tu auras un fils mauvais. Ton royaume sera rempli de terreurs et de larmes. Des rivières de sang couleront ; les têtes des nobles tomberont ; tes villes seront dévorées par le feu."

 

Nous n'avons pas besoin de rappeler au lecteur horrifié que le tsar engendra son prince et que ce qui a suivi, l'accomplissement de cette prophétie, peut être lu dans n'importe quel livre d'histoire russe. Ivan a été couronné 370 ans avant la Révolution d'Octobre. Ces quatre siècles ont vu l'accomplissement de la terrible prophétie avec une précision non moins terrible. La dynastie née de cette décision de Basile III a pris fin lorsque les Romanov ont été tués par les hordes communistes. La Grande Guerre et la pandémie de grippe de 1918 ont mis fin à la vie de millions de personnes, dont deux des Pastoureaux. Ce qui suivit fut le début d'un nouvel ordre européen très instable qui allait nous donner la guerre totale, les armes nucléaires, la nouvelle moralité et autres malheurs apocalyptiques.

 

Peu de temps après la Grande Guerre, diverses forces commencèrent à attaquer l'Église catholique avec une vigueur renouvelée. Le dirigeant communiste russe, Joseph Staline, avait un plan pour infiltrer de jeunes communistes homosexuels dans les séminaires catholiques. Selon Bella Dodd, une communiste convertie à la foi catholique, quatre de ces hommes étaient déjà cardinaux de l'Église catholique en 1954. Il est tout à fait possible que, dès la fin des années 1950, un certain nombre de ces hommes infiltrés aient acquis suffisamment d'influence dans l'Église pour participer à la planification du Concile Vatican II.

 

Le reste de l'histoire jusqu'à nos jours est, malheureusement, bien connu. L'ancienne messe a été mise de côté sans cérémonie et tous les aspects imaginables de la religion catholique ont été modifiés. Certaines pratiques vénérables ont disparu, d'autres ont été modifiées jusqu'à devenir pratiquement méconnaissables. L'Église a été "protestantisée", soi-disant pour rendre les choses plus attrayantes pour le public, mais cela n'a pas aidé à remplir les bancs d'église. Les catholiques du monde entier se sont habitués aux églises vides, aux monastères abandonnés, aux prêtres indifférents et à la découverte de vices innommables au sein du clergé.

 

La malédiction russe se répandait comme une traînée de poudre et atteignait l'Église. En 1958, le bien-aimé Eugenio Pacelli, le pape Pie XII, meurt à Rome et Giuseppe Angelo Roncalli accède à la papauté sous le nom de Jean XXIII, prenant étonnamment le nom d'un antipape de 1378 qui avait régné pendant le schisme d'Occident. Il ne le savait peut-être pas à l'époque, mais Pastor et Nauta, l'ancien patriarche de Venise, allait conduire la barque de Pierre dans les eaux tumultueuses de la fin des temps.

 

Jean XXIII est le pape qui a refusé de révéler le troisième secret de Fatima à l'Église en 1960, désobéissant ainsi à la Vierge dans une affaire très grave. En 1961, peu de temps après cette décision fatidique, la Vierge du Mont Carmel a commencé à apparaître à quatre jeunes filles à Garabandal, en Espagne. Il est tout à fait suggestif que Notre Dame ait décidé d'apparaître en tant que Notre Dame du Mont Carmel. C'est sur le Mont Carmel qu'Elie a vaincu les faux prêtres et prophètes de Baal. Garabandal, un nouveau Mont Carmel, fut la ville choisie par la Vierge Marie pour avertir les fidèles des fruits empoisonnés de l'infiltration :

 

"Beaucoup de cardinaux, d'évêques et de prêtres suivent le chemin de la perdition, et avec eux, ils emportent beaucoup plus d'âmes. On accorde de moins en moins d'importance à la Sainte Eucharistie. Nous devrions détourner de nous la colère de Dieu par nos propres efforts. Si vous demandez son pardon avec un cœur sincère."

 

Le Troisième Secret n'a pas été révélé au public, la Russie n'a pas été consacrée comme demandé, et le clergé infiltré est allé de l'avant avec ses plans pour démolir l'Église. Désobéir à la voix du Ciel était l'ordre du jour. La longue marche de la désobéissance continuait à semer et bientôt l'humanité en récolterait les fruits amers.

 

Retour à Garabandal. Le Pape et les évêques du monde entier n'ont pas osé offenser l'URSS en consacrant ce pays au Cœur Immaculé de Marie, mais... ils n'ont eu aucun problème à convoquer un Concile universel pour modifier la liturgie, la doctrine, la pratique pastorale et toutes sortes de choses sacrées. Ils n'ont pas eu à attendre longtemps l'avis de Dieu sur ces projets. Jean XXIII est décédé à Rome le 3 juin 1963. Moins de cinq mois plus tard, le président des États-Unis était assassiné à Dallas.

 

Le Père José Luis Saavedra, érudit et expert de tout ce qui concerne les apparitions de Garabandal nous informe :

 

L'un des sujets qui a fait parler de Garabandal est la soi-disant prophétie des trois papes, liée à l'annonce d'une fin des temps imminente. C'est un sujet si délicat qu'il peut être mal compris et mal interprété. C'est pourquoi nous allons réfléchir à partir des informations dont nous disposons, en veillant à ne pas interpréter ce qui ne relève pas de notre compétence mais de celle de l'Église. C'était le 3 juin 1963. La nouvelle de la mort du pape Jean XXIII venait d'arriver à Garabandal et Conchita se rendit à l'église avec sa mère pour prier pour le repos éternel du pontife. Sur leur chemin, Conchita entend la voix inimitable de notre Sainte Mère qui lui dit : "Après ce pape, il n'y en a plus que trois. Alors [ce sera] la fin des temps". Peu après, la Vierge Marie précise que même si elle dit qu'il n'en reste que trois, il y en aura un autre qui "gouvernera l'Église pendant un temps très court", c'est pourquoi Elle ne l'inclut pas dans la liste. Il y a des témoins qui affirment avoir entendu Conchita faire cette précision au cours de ce même mois : juin 1963. Cela signifie que, en une seule phrase, Notre Sainte Mère prophétisait deux choses : (1) Il ne reste que trois papes. Ensuite, ce sera la fin des temps. (2) Pour nous assurer que sa première affirmation est vraie, Notre Sainte Mère fournit un signe : "il y aura en fait un pape de plus, mais son pontificat sera si bref que je ne le compte pas". Nous savons tous qui est ce pape dont le pontificat fut si éphémère qu'il ne parvint pas à avoir une grande influence sur le destin de l'Église : Jean Paul Ier, pape du 26 août 1978 jusqu'à sa mort le 28 septembre 1978. Le pontificat de 33 jours du pape Luciani correspondait parfaitement à cette prédiction exceptionnelle, impossible à [anticiper] en 1963. Les trois papes de la prophétie de la Vierge sont donc Paul VI, Jean-Paul II et Benoît XVI. (Les trois papes et la fin des temps à Garabandal ; P. J.L. Saavedra, Garabandal : Message d'espoir. Publ. Santander, Espagne, 2015).

 

Maintenant, grâce au message donné à Conchita Gonzalez, la visionnaire de Garabandal, nous avons une meilleure idée du nombre de papes en ligne jusqu'au commencement de la Fin des Temps. Mais ... nous avons un Pape inattendu qui occupe la chaise de Pierre, François. Ce serait un quatrième pape. Cela signifie-t-il que la Fin des Temps est déjà en cours ? Pas selon Andrea Cionci qui dit, si vous me permettez de répéter la citation avec mes ajouts entre parenthèses pour plus de clarté :

 

"Nous avons un vrai pape [Benoît XVI] qui est entravé et ressemble à un ancien pape, et à sa place nous avons un antipape [François] qui ressemble [faussement] à un vrai pape."

 

Si l'on y réfléchit, la Vierge n'a pas seulement validé sa prédiction des papes en mentionnant le bref règne du pape Jean-Paul Ier, elle nous a également fourni un indice important pour démasquer un faux pape à venir.

 

Il s'agit d'un indice très fort qui nous montre que (1) nous n'entrons pas encore dans la Fin des Temps telle que Notre Sainte Mère la conçoit et (2) le Pape Benoît XVI est effectivement in sede impedita si l'on considère les preuves brillamment présentées par Andrea Cionci. Mais il existe un ensemble d'indices encore plus forts, qui reposent dans les bibliothèques catholiques du monde entier depuis de nombreux siècles : La prophétie des papes, attribuée à Malachi d'Armagh.

 

 

 

La prophétie des papes

 

La prophétie de Saint Malachie identifie tous les papes jusqu'à la fin des temps dans une liste de 112 énigmes. Certains antipapes sont inclus, mais pas tous. Elle aurait été découverte dans les archives du Vatican, où elle reposait depuis le 12e siècle, et aurait été publiée par Arnold Wion, un moine bénédictin. Certains pensent que les papes jusqu'au XVIe siècle sont extrêmement faciles à identifier, tandis que les marques d'identification des papes régnant à partir de 1600 sont plus obscures. Pendant de nombreux siècles, ce document a été considéré comme une pieuse fabrication. Mais les papes correspondant à notre époque, ceux prédits par cette prétendue fausse prophétie il y a plusieurs siècles, présentent un certain nombre de coïncidences dignes d'être notées. Je vais énumérer les cinq dernières ici pour votre considération. En ce qui me concerne, je ne pense pas que quiconque ait pu deviner le nombre de papes jusqu'à notre époque. Je ne pense pas non plus qu'ils auraient pu atteindre une telle précision dans la création d'emblèmes pour les décrire. Par exemple, De Medietate Lunae est suffisamment précis pour me convaincre. Maintenant, si vous attendez une liste de noms avec des numéros de passeport... aucune prophétie ne vous satisfera jamais. Pensez-y : ces cinq emblèmes ont été pensés par quelqu'un il y a 500 ans. C'est une précision suffisante pour moi.

 

Pastor et Nauta : Jean XXIII, qui a accédé à la papauté en 1958. Ce "pasteur et marin" a dirigé la barque de Pierre dans la tempête des années 1960 et a convoqué le Concile Vatican II. Flos Florum : Paul VI qui accède à la papauté en 1963. Cette "Fleur des Fleurs" était l'auteur de Populorum Progressio et de Humanae Vitae. Il avait une fleur de lys dans ses armoiries. De Medietate Lunae : Jean-Paul Ier, né dans le diocèse de Belluno (belle lune.) Son nom, Albino Luciani (luminaire blanc) est également suggestif. Son règne ne dura que 33 jours, à peu près une demi-lune à une demi-lune. Certains affirment qu'il a été empoisonné. De Labore Solis : Jean Paul II qui a également accédé à la papauté en 1978. Il est né pendant une éclipse solaire et il y eut une éclipse solaire le jour de sa mort. De Gloria Olivae : La gloire de l'olivier. Le pape Benoît XVI a accédé à la papauté en 2005. Le message de son emblème semble pointer vers Israël, dont le symbole est l'olivier, un arbre qui a la propriété de pouvoir se régénérer à partir d'une branche même si celle-ci est coupée. (cf. Romains 11)

 

Petrus Romanus : Après De Gloria Olivae, il y a encore un emblème mystérieux, différent des autres.

 

In persecutione extrema S.R.E. sedebit. Petrus Romanus, qui pascet oves in multis tribulationibus, quibus transactis civitas septicollis diruetur, & judex tremendus judicabit populum suum. Finis.

Dans la persécution finale de la Sainte Église romaine, siégera [régnera, gouvernera] Pierre le Romain, qui fera paître ses brebis dans de nombreuses tribulations, et quand ces choses seront terminées, la ville aux sept collines sera détruite, et le juge redoutable jugera son peuple. La Fin.

 

Beaucoup pensent qu'il s'agit de Jorge Mario Bergoglio. Pour ne pas répéter les arguments présentés ci-dessus prouvant la nature invalide de son arrivée à la papauté, je renvoie le lecteur une fois de plus à l'article de M. Andrea Cionci. Si - comme nous l'avons amplement démontré - l'antipape François est un faux Pape, il reste encore un vrai Pape à venir avant la Fin des Temps, ou Derniers Jours. L'attribut le plus important de ce Petrus Romanus est son règne sous la dernière persécution de l'Église. Comment cette persécution sera-t-elle déclenchée ? Nous ne le savons pas mais nous pouvons spéculer avec prudence puisque, apparemment, nous sommes très proches dans le temps de ces événements.

 

Encore une fois, ce sont mes suppositions, mes spéculations : la fausse papauté de Bergoglio sera dévoilée. La religion mondialiste qu'il s'efforce d'imposer devra recourir à la violence pour éliminer les catholiques fidèles qui restent fermement et fidèlement du côté de l'Église des siècles, de sa doctrine et de sa mission immuables. Au moment où la persécution se produit, il peut y avoir des événements miraculeux. Une conversion massive peut s'ensuivre (juifs, musulmans, autres) qui entravera les plans de la prise de contrôle mondiale actuellement en cours. L'Église sera encerclée et Dieu interviendra à la dernière minute pour sauver la vie sur Terre et protéger les justes.  Voir le Rêve de saint Jean Bosco pour avoir une idée de ce qui se passera à cette époque-là.

 

Ce que nous pouvons supposer à ce stade, c'est que : étant donné l'âge avancé de Benoît XVI et sa santé fragile, l'avènement de Petrus Romanus n'est pas trop loin. L'élection d'un Pape valide par l'Église fidèle pourrait entraîner non seulement un schisme mais une sorte de guerre de religion. L'Église du "tout est permis", qui s'est développée depuis le concile Vatican II, et ses alliés mondialistes pourraient décider d'étouffer le reste des fidèles (voir Apocalypse 12), déclenchant ainsi la fin des temps où l'intervention divine sauvera le troupeau du Christ à la limite du temps.

 

Le septième ange sonna de la trompette, et il y eut dans le ciel des voix fortes qui disaient : " Il est advenu sur le monde, le règne de notre Seigneur et de son Christ. C’est un règne pour les siècles des siècles". (Apocalypse 11:15)

 

Rappelez-vous les paroles révélées à saint Jean Bosco :

 

"Les choses sont lentes à se succéder. Mais la Reine du Ciel, exaltée, est présente. La puissance du Seigneur est dans ses mains. Il disperse comme une brume ses ennemis. Il revêt à nouveau le vénérable vieillard de tous ses anciens vêtements."

 

Carlos Caso-Rosendi

 

Dal pensiero unico all'emozione unica - Non praevalebunt - Andrea Cionci

Vidéo en italien avec sous-titres anglais (voir réglages CC)

 

 

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