L'oreiller, c'est le corps du Seigneur, sur lequel la divinité, figurée par la tête, a bien voulu se reposer.
Les vents déchaînés, la mer furieuse, ce sont les démons et les persécuteurs; le Sauveur leur impose silence, lorsqu'il lui plaît de frapper d'impuissance les décrets injustes des rois de la terre.
Enfin le calme profond qui succède à la tempête, c'est la paix rendue à l'Eglise après la persécution, ou bien, c'est le repos de la vie contemplative, qui succède au mouvement de la vie active.