On a pu constater à quel point le cardinal Prévost se trompait dès son arrivée sur la Loggia de la Basilique Saint-Pierre, hier après-midi, il y a 22 heures. J'ai tout de suite remarqué. Parmi les cardinaux visibles au balcon, il n'y avait aucun cardinal américain, même si les États-Unis comptent quelques cardinaux célèbres. Il n’y avait pas non plus de cardinaux aux côtés du nouvel élu. Et tout cela est très, très significatif.
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Comme les lecteurs de FromRome.Info s'en souviendront, j'avais prédit l'élection d'un Américain lors de mon entretien avec le Dr Jane Ruby la semaine dernière. Ce pronostic reposait sur la faillite imminente du Vatican et la nécessité d'élire quelqu'un qui ouvrirait les portes des grandes organisations caritatives aux États-Unis.
Cependant, sans le vouloir, la faction bergoglienne a élu un Américain, mais le mauvais.
On a pu constater à quel point le cardinal Prévost se trompait dès son arrivée sur la Loggia de la Basilique Saint-Pierre, hier après-midi, il y a 22 heures.
J'ai tout de suite remarqué. Parmi les cardinaux visibles aux balcons, il n'y avait aucun cardinal américain, même si les États-Unis comptent quelques cardinaux célèbres.
Il n’y avait pas non plus de cardinaux aux côtés du nouvel élu.
Et tout cela est très très significatif.
Voyez-vous, Richard Prevost a un bilan désastreux en matière de traitement des affaires d'abus sexuels : des pédophiles en série aux États-Unis à un prêtre péruvien qui aimait violer des religieuses. Et il a été impliqué dans des manœuvres complexes pour protéger les auteurs afin qu'ils puissent commettre des crimes encore et encore en toute impunité.
Si vous êtes un cardinal américain, la dernière chose que vous souhaitez est d'être vu à côté d'un tel homme, car cela impliquerait que vous avez voté pour lui. Et si vous étiez photographié avec lui, cette photo finirait un jour devant un tribunal américain, utilisée par un avocat défendant une victime d'abus sexuels, pour montrer au juge l'insensibilité du cardinal lorsqu'il prétend tout faire pour protéger les enfants.
L'avocat pourrait facilement dire : « Regardez-le debout aux côtés de Léon XIV, le protecteur invétéré des agresseurs en série. » Et le juge doublerait ou triplerait probablement les condamnations pécuniaires prononcées contre le diocèse du cardinal.
Et, sans aucun doute, même les avocats de tous ces cardinaux le savent. Et ils ont probablement conseillé à leurs employeurs, avant leur départ pour Rome, de ne pas être vus avec un élu ayant un mauvais bilan en matière de gestion des abus.
Mais les conséquences de cette situation sont très visibles pour les catholiques américains. Je peux vous dire qu'il est plus que surprenant que les cardinaux américains n'aient pas été vus aux côtés du premier pape américain élu.
Et petit à petit, la triste vérité va éclater, car nous, les Américains, parlons beaucoup plus librement des hommes dans l’Église que ce qui est acceptable dans la plupart des nations catholiques.
Et lorsque les laïcs, hommes et femmes, qui gèrent les organisations caritatives qui donnaient des millions et des millions au Vatican auront vent de tout cela, ils chercheront ailleurs pour donner leur argent, de peur qu'un journaliste travaillant dans un journal ou une chaîne de télévision ne l'apprenne et ne publie un article du genre : « Une riche organisation caritative catholique, qui prétend avoir des valeurs familiales, a été surprise en train de financer un pape qui a maltraité un prêtre qui a violé plusieurs garçons ».
Et ce sera la fin de 60% des fonds des caisses du Vatican, qui sont déjà en baisse de 50% par rapport aux États-Unis d'Amérique.
En élisant le cardinal Prévost, ils ont donc ruiné leur situation financière et leur réputation internationale. Personne, pas même nous, fervents catholiques, ne les prendra plus jamais au sérieux.
Je ne mentionnerai même pas que le cardinal Prevost n'aura même pas de magistère : car personne d'autre qu'un imposteur catholique ne prendrait au sérieux ce qu'un protecteur aussi maléfique, corrompu et pervers dirait sur la moralité, tout comme personne de sensé ne prendrait en compte les conseils d'un mafieux sur la façon de gérer les biens d'autrui.