Ceux qui dansent aujourd'hui autour de son lit de mort sont parmi les pires des pires, parce qu'ils le préfèrent mort ou au pouvoir, mais dans aucun des deux cas repentant.
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Il y a beaucoup de catholiques qui détestent le pape François, à cause de sa personnalité caustique, de sa morale horrible, de sa théologie perverse et de sa politique marxiste, par laquelle il a exprimé son mépris pour Dieu, les saints et pour tout ce qui, dans l'Église catholique ou dans la civilisation occidentale, pourrait être intégré dans un article d'actualité.
Mais ce qui est étrange dans tout cela, c’est que beaucoup de ceux qui pensent être justes sont en réalité ceux qui sont impliqués dans une haine vicieuse ou pécheresse envers l’homme.
Et maintenant qu’il semble qu’il soit en train de mourir, ils se réjouissent même de sa mort sur les réseaux sociaux.
Mais est-il honnête de se réjouir de la mort d’un tel homme ? Je ne le crois pas.
Comme le dit notre Seigneur dans Ézéchiel 33, 11, « Je ne prends pas plaisir à la mort du méchant »
Et puisque nous, catholiques, devons nous conformer en toutes choses au Sacré-Cœur, nous ne devons pas non plus y prendre plaisir.
Mais il est très triste de voir que tant de ceux qui ont insisté pour que le pape François reste au pouvoir, ou qu'il ait exercé une autorité légitime pendant tant d'années, ont également refusé de chercher à l'amener au repentir. Et parmi ceux-là, ceux qui dansent aujourd'hui autour de son lit de mort sont parmi les pires des pires, parce qu'ils le préfèrent mort ou au pouvoir, mais dans aucun des deux cas repentant.
Ils le préféraient au pouvoir plutôt que d'admettre que munus et ministerium signifient deux choses différentes. Ils le préféraient au pouvoir plutôt que de lire le Code de Droit Canonique. Ils le préféraient au pouvoir plutôt que d'élire d'un successeur légitime de saint Pierre. Ils le préféraient au pouvoir plutôt que de demander sa réprimande en concile.
Cependant, les catholiques qui savent que le monde ne dépend pas seulement des prières, mais de chaque bonne action accomplie, ont insisté sur le fait que son élection en 2013 était invalide parce que le pape Benoît XVI n’avait pas abdiqué ; et ont insisté pour que le pape Benoît XVI ait un successeur ; ceux-là ont aussi vu la sagesse des catholiques de Rome en l’élisant pape, par la suite, afin qu’il puisse bénéficier de la prière sacerdotale du Christ Roi. Ceux-ci ont également participé à l’Initiative Sutri pendant près de 18 mois, parce qu’ils avaient une véritable charité surnaturelle pour le pape François et cherchaient à l'amener au repentir ou à le destituer. Ces catholiques sont dans le camp de Dieu, et dans un univers moral entièrement différent de ceux qui se réjouissent aujourd’hui et refusent de voir le pape François remis en question dans son autorité, réprimandé en concile ou démis de ses fonctions.
Si seulement les évêques avaient écouté cette requête, car, comme il est dit, s'il avait eu la grâce de Pierre, le Seigneur lui aurait accordé la pénitence, et s'il ne l'avait pas eue, les fidèles auraient été délivrés de sa mauvaise influence. Mais ces évêques ont choisi de ne pas agir, délibérément, et maintenant ils partagent la faute d'avoir laissé un tel homme aller au tombeau sans une correction fraternelle.
Les fidèles qui connaissaient l’Initiative Sutri mais qui valorisaient davantage leur propre réputation ou leur haine envers l’homme devront également répondre devant la Justice Divine de leur manque de charité envers cet homme.
Et ceux qui voulaient qu’il soit au pouvoir afin de pouvoir exploiter la dissidence qu’il provoquait au sein de l’Église catholique sont peut-être les formes de vie les plus basses sur les réseaux sociaux.
Le premier camp a cherché le salut de l'homme et se lamente de le voir se diriger vers la destruction impénitente. L'autre camp n'a pensé qu'à l'insulter et à l'utiliser comme un punching-ball, et maintenant il se réjouit à l'idée qu'il sera damné.
Ne nous joignons pas à ces démons qui dansent autour du lit d’hôpital du pape François. Peut-être que nos prières ne peuvent plus rien faire, mais nous devrions au moins nous abstenir de ce comportement ignoble qui constitue le côté obscur de toutes ces récentes controverses.
Et je vous remercie tous, vous tous, qui avez lu FromRome et qui vous êtes joints à moi pour réprimander cet homme pour ses erreurs, pour s'opposer à sa prétention injuste au Siège apostolique, pour demander pour lui les plus grandes miséricordes du Ciel, dans la prière du Christ, et la plus grande miséricorde finale sur terre, une réprimande fraternelle. Le seul motif de tout cela était la charité, et nous n'avons fait rien d'autre que ce que les catholiques doivent faire, qui doivent aimer tous ceux qui sont dans le Christ, qu'ils soient saints ou pécheurs.
Avec la censure mondialiste qui augmente de jour en jour, personne ne connaîtra jamais l'article ci-dessus, si vous ne le partagez pas.