Écrit par fr Alexis Bugnolo (31/12/2023) - Traduction française autorisée : père Walter Covens
Certains remettent en question la véracité des affirmations selon lesquelles une statue de Saint-Pierre en Argentine aurait été frappée par la foudre le 17 décembre, pulvérisant l'auréole, la clé et la main qui bénit.
La foudre du 17 décembre est CONFIRMÉE et voici des photos supplémentaires de la statue.
Cette photo est protégée par le copyright de Carlos Caso-Rosendi, un Argentin natif, qui a personnellement pris cette photo. Il écrit à FromRome.Info, disant…
… le coup d'éclair a frappé la statue en dépit d’un paratonnerre situé au sommet du dôme à environ 30 ou 40 pieds au-dessus de la statue. Les petites lignes que vous voyez partout sur la statue sont des moustiques. Les rives du fleuve Paraná sont à quelques pâtés de maisons du sanctuaire et il y a des essaims de millions de moustiques embêtants se régalant sur les fidèles.
Concernant les questions posées par beaucoup concernant ce signe miraculeux de la colère divine, certains ont demandé combien de clés Saint-Pierre détenait avant d’être frappé. M. Caso-Rosendi dit que les locaux confirment qu’il y avait 2 clés.
Pour certains cela était important, mais dans l’histoire de l’art de Saint-Pierre le nombre de clés représentées n’est pas toujours de 2.
Voir le récit complet de l'histoire ICI.
Comme l’a noté un lecteur de FromRome.Info, la main droite, utilisée par les papes pour bénir, a été rayée. Cette frappe miraculeuse confirme ce que Dieu a déclaré des prêtres méchants dans l’Ancien Testament : Je maudirai vos bénédictions.
Maintenant, prêtres, à vous cet avertissement : Si vous n’écoutez pas, si vous ne prenez pas à cœur de glorifier mon nom – dit le Seigneur de l’univers –, j’enverrai sur vous la malédiction, je maudirai les bénédictions que vous prononcerez. Oui, je les maudis, car aucun de vous ne prend rien à cœur. Voici : je vais menacer votre descendance. Je vous jetterai du fumier à la figure, le fumier qui provient de vos fêtes ; on vous enlèvera avec lui.
Ma 2, 1-2