La destitution de Son Excellence Mgr Joseph Strickland, surtout après l’échec de l’embuscade avec la Visitation apostolique, apparaît comme une forme lâche d’autoritarisme, qui ne correspond en rien aux diatribes de Bergoglio sur l'« accueil » et l'« inclusivité ».
Le sacrilège et pervers Marco Rupnik, incardiné dans le diocèse de Capodistria, ou l’évêque Michael Olson toujours en fonction malgré la requête des fidèles de Fort Worth suite à ses abus et à son comportement scandaleux avec les carmélites d’Arlington, alors qu’un des rares évêques fidèles est persécuté et expulsé sans raison nous montre dans toute son arrogance la tyrannie du jésuite argentin.
Une tyrannie encore plus scandaleuse pour les fidèles du fait que la majorité des pasteurs se taisent par lâcheté ou complicité.
Cette affaire révélera qui est avec la vraie Église du Christ et qui choisit de se tenir avec ses ennemis déclarés. Rester silencieux et endurer cette énième violation des principes les plus fondamentaux de justice et de vérité, c’est se rendre complice d’un démolisseur de la foi.