L’édition de Sedcontra.fr qui vient d'être mise en ligne est entièrement consacrée à la notion de bien commun. Elle sera complétée dans les semaines qui viennent par une analyse de la fécondité universelle du principe de subsidiarité, sur tous les problèmes que rencontre notre société. Merci à ceux d’entre vous qui participent à la diffusion des éclairages de philosophie chrétienne du site des “chercheurs de sens” et plus encore à ceux qui nous soutiennent par leur abonnement.
“La politique n’est pas une technologie du pouvoir ni une manipulation des personnes, mais un des moyens de rechercher et de conquérir le sens de la vie, dans la perspective du service rendu au véritable bien de la communauté.” – Cette définition de Vaclav Havel, reprise un jour par Jean-Paul II, continue de nous donner, aujourd’hui encore, la seule clé durable de l’avenir européen. […] Lire la suite
A quelque chose malheur est bon : le postulat qui a fait tant de mal – “laisser faire le marché, parce qu’il a toujours
raison” – ne survivra pas à la crise mondiale que nous traversons. L’Etat est parfaitement dans son rôle de protecteur du bien commun, et dans la cohérence du principe de subsidiarité, en
apportant sa propre caution aux banques qui s’engageront à renouer avec leur finalité première : le financement des entreprises et des collectivités locales, la gestion de l’épargne et du crédit
aux particuliers. […] Lire la suite
Le mois d’ octobre 996 est la date de la mort du moins connu des rois de France : Hugues Capet. C’est sous son règne que se soude le premier sentiment national “français”. Sous son règne aussi que l’Etat commence à prendre forme pour promouvoir le rayonnement et l’autonomie de la personne dans ses structures naturelles d’organisation, ses libertés concrètes, familiales, municipales, professionnelles : ces libertés que la justice d’un roi “au-dessus des partis” protégeait tant bien que mal contre les banquiers, les rapaces, les féodaux. Et il ne sert à rien de dire que la famille capétienne n’y parvenait pas complètement, quand les gouvernements “démocratiques” du XXIe siècle n ‘y parviennent plus du tout… […] Lire la suite
Pour accéder aux centaines de pages des “e-books” illustrés de Sedcontra, abonnez-vous aux fonds éditoriaux du site en suivant ce lien