Faites, ô Maître adoré, que je meure entièrement au monde et à moi-même. J'accepte avec amour et avec une toujours plus grande joie, les afflictions, les peines, les consolations, les souffrances, les sécheresses, les abandons, les trahisons, les mépris... Je les aime puisqu'elles me viennent de vous, qu'elles m’unissent à vous et me rendent un peu semblable à fou, au monde divin rédempteur.