Mais il y a aussi d'autres voix, dont la puissance n'est autre que celle de la vérité, plus forte que tous les mensonges, Leur écho est plus faible, mais mine de rien, c'est une vague de fond qui est prophétique et ne restera pas sans lendemain, sans avoir produit son fruit ...
Parmi elles, en voici une que je me fais une joie de partager avec vous.
est un site de réflexion et de formation philosophiques sur les thèmes mis en avant par l’actualité. Ses rédacteurs partagent les trois convictions énoncées dans l’éditorial du premier numéro, mis en ligne le 20 mai 2008 :
- L’information diffusée par les médias est partielle, partiale ou partisane. – Elle soutient partout les causes du relativisme philosophique, moral et religieux : toutes les idées se valent, tous les comportements sont respectables, tous les athéismes et toutes les croyances se confondent dans l’Amour de Dieu !
- Les valeurs occidentales et chrétiennes ne sont pas défendues. – Nicolas Sarkozy lui-même a mis cet enjeu à l’honneur dans son discours du Latran, en le rattachant de façon explicite à la survie des familles, de l’école, de l’entreprise et de la civilisation.
- La lecture reste le meilleur outil de résistance intellectuelle et morale à ces entreprises de destruction. – S’informer, se former, nourrir son intelligence impose en effet d’ouvrir des espaces aux concepts et au sens qui les unit.
EDITORIAL
Le sexe et la mort
Il existe une relation profonde entre le sexe et la mort : une relation antagoniste où se perpétue la vie du groupe et se scelle le destin de l’individu ; une relation complexe aussi, puisqu’elle mesure tout à la fois l’angoisse d’une finitude, la paix d’une communion charnelle, les promesses d’une postérité... L’homme et la femme en subissent la pression depuis l’âge des cavernes, ils s’y déchirent et s’y retrouvent dans toutes les langues – la psychanalyse ici n’a rien eu besoin d’inventer… Cette relation toutefois se délite, au point de se détruire elle-même, lorsque le sexe produit directement la mort par voie de maladies transmissibles ou d’interruptions volontaires de grossesse au lieu de la combattre et de s’y mesurer.
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MOT DU
JOUR
“Dépravo-morphisme”
Les
mœurs d’une société se dépravent, au sens propre, lorsqu’elles se coupent de tout jugement moral sur les vertus et les conséquences individuelles ou collectives de nos comportements.
Si le sexe n’a d’autre loi que l’assouvissement du désir, toutes “orientations” confondues, la diffusion du préservatif devient en effet l’urgence et l’arme numéro un dans la lutte mondiale
contre le sida.
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POURQUOI ILS PÈTENT LES
PLOMBS
Du sida comme échec au “Progrès”
Le sida se transmet par voie de rapport sexuel
(et principalement homosexuel), par procréation d’une mère infectée, ou par contamination du sang. Voilà ce que l’on sait. Cette triple route ouvre au virus un large éventail
de possibilités, inutile d’en ajouter de nouvelles pour déboussoler les populations... L’individu non transfusé, que son métier ou quelque circonstance accidentelle ne met pas en contamination
possible avec le sang d’autrui, qui ne se drogue pas par injection intraveineuse en utilisant la seringue souillée du copain, qui ne se livre point à la prostitution et qui ne pratique pas non
plus de tourisme sexuel “nature” ou “contre-nature” dans les organes du prochain, – cet individu n’a aucune chance raisonnable de devenir séropositif et de mourir du sida. La même
assurance s’applique bien sûr au couple, marié ou non, dont les deux membres s’abstiennent solidairement de tout contact avec le sexe ou le sang des autres, comme il était jadis d’usage dans
les milieux civilisés.