C’est André Breton qui découvre Césaire poète, dans les années 40, en lisant ses écrits dans la revue Tropiques.
Poète des Antilles, poète universel, il reste pour beaucoup le “chantre de la négritude” ; cette “négritude” qu’il célèbre avec Léon Gontran Damas et Léopold Sédar Senghor, dès les années 30. Tous trois sont alors étudiants à Paris, et très minoritaires…
Anne Douaire, maitre de conférences à la Sorbonne à Paris, et spécialiste de la littérature antillaise, revient sur le parcours exceptionnel de Césaire, entre engagement poétique et politique.