Toutes les 12 heures, les rapports sur la santé du pape François changent. Cette fois, on affirme qu'il a une pneumonie dans les deux poumons. Mais on ne nous dit pas si c'est tout ce qu'il a.
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Toutes les 12 heures, les rapports sur la santé du pape François changent. Cette fois, on affirme qu'il a une pneumonie dans les deux poumons. Mais on ne nous dit pas si c'est tout ce qu'il a. — Une pneumonie grave peut provoquer d'intenses douleurs abdominales si l'un ou les deux lobes inférieurs des poumons sont infectés. — Cependant, la précision de l'affirmation, cette fois, semble surtout viser à dissiper l'intérêt intense pour la santé du pape François après que POLITICO a révélé que le pape lui-même pense qu'il pourrait mourir. — Que le pape François soit très malade ou qu'il souffre simplement d'un peu de paranoïa, c'est difficile à dire à ce stade. Mais on ne peut s'empêcher de penser que les communiqués de presse depuis la fin de la semaine dernière sont un jeu psychologique avec le public, et que ce dernier rapport est en fait donné simplement pour apaiser les craintes d'un état pire : un état pire ou des états qui le tuent réellement.
MISE À JOUR
Pour en savoir plus sur ce qu'est la pneumonie, voir cet article détaillé du Johns Hopkins Medical Center. Bien qu'il ne semble pas que la pneumonie soit autre chose qu'un diagnostic, certaines sources d'information le rapportent comme un développement causé par un traitement inefficace de sa situation médicale complexe au cours des 4 premiers jours d'hospitalisation.
Ce qui reste étrange, c'est que l'hôpital Gemelli ne nomme pas l'équipe médicale qui traite le pape. Mais on nous donne les noms de ses 3 secrétaires qui lui rendent visite quotidiennement: le père Daniel Pellizon (Argentine), Juan Cruz Villalón (Argentine) et Fabio Salerno (Italie). Cela semble indiquer qu'il souffre d'une incapacité à parler en italien, c'est-à-dire sous une sorte de restriction à la conscience mentale. Cela semble également indiquer qu'il n'a pas été placé dans une unité d'isolement, ce à quoi l'on pourrai s'attendre avec une infection «polymicrobienne», voyant que le contact quotidien étroit avec des étrangers peut introduire de nouveaux agents pathogènes dans l'air. Et cela, à son tour, met en doute que le problème pulmonaire soit sa véritable condition médicale. Cela en dit long sur le manque de discrétion de son personnel médical.
Quant aux relations avec la presse du Vatican, il est clair que pas peu d'éditeurs de ligne ont perdu confiance dans la transparence du Vatican :
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Tandis que d'autres n'y croient plus du tout :
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Avec la censure mondialiste qui augmente de jour en jour, personne ne connaîtra jamais l'article ci-dessus, si vous ne le partagez pas.