L’incendie de 2019 à Notre-Dame de Paris a marqué les esprits, mais les flammes n’ont pas eu raison des vitraux historiques, chefs-d'œuvre préservés depuis des siècles. Pourtant, aujourd’hui, ces joyaux du patrimoine français sont condamnés. Remplacés par des œuvres contemporaines signées Claire Tabouret, une artiste progressiste validée par l’Élysée, ils disparaîtront au nom d’une modernité imposée, méprisant l’histoire et les racines spirituelles de cette cathédrale millénaire.
Cette décision, prise dans l’ombre par un cercle restreint, a ignoré le peuple et les fidèles. Promesse d’un avenir moderne ou signe d’une destruction symbolique ? Les symboles religieux cèdent la place à des inspirations occultes et ésotériques, marquant un tournant inquiétant pour l’Église catholique et l’identité culturelle française. Que deviendront ces vitraux originaux, témoins d’un savoir-faire unique ? La question reste sans réponse, alimentant les craintes d’une privatisation insidieuse de notre patrimoine collectif.
Notre-Dame, joyau de la chrétienté, est-elle devenue un laboratoire idéologique où l’histoire est effacée pour satisfaire une minorité élitiste ? Une réforme culturelle ou un effacement de l’âme française ? Les réponses sont troublantes et soulèvent un débat crucial sur l’avenir de notre mémoire nationale.