Les saints n'ont pas tous bien commencé, mais ils ont tous bien fini ! plaisantait le curé d'Ars. Saint Jean-Marie Vianney - pour tout le monde le « saint curé d'Ars » - n'est certes pas un saint comme les autres. Raison de plus pour s'y intéresser.
Les saints n'ont pas tous bien commencé, mais ils ont tous bien fini ! plaisantait le curé d'Ars. Saint Jean-Marie Vianney - pour tout le monde le « saint curé d'Ars » - n'est certes pas un saint comme les autres. Raison de plus pour s'y intéresser. De Dardilly, où il vint au monde le 8 mai 1786, à son retour au ciel, le 4 août 1859, à la veille duquel on s'en souvient, il murmura : - Qu'il fait bon mourir quand on a vécu sur la croix !
L'itinéraire spirituel du saint passe par Écully, Verrières, Lyon et Grenoble. Par Ars, surtout, et par un certain nombre de petites communes voisines telles que Saint-Triviers, Montmerle, Chaneins, Limas, Misérieux, Trévoux, lieux où son souvenir est encore très vivace.
Nous nous rendons sur place pour recueillir des témoignages, filmer des images d'archives, nous imprégner de celui qui deviendra, le 23 avril 1929, « le patron de tous les curés de l'univers ». La vie du saint curé d'Ars est un hymne à l'amour.