Mais ne vous laissez pas berner par la politique gay du pape François
Note de l'éditeur : je publie ceci pour mémoire uniquement, car désormais, tous ceux qui y prêtent attention savent, même s'ils ne disent pas qu'ils le font, que le pape François dit une chose et en fait une autre, à un degré exceptionnel.
Ce que je conteste, c'est l'affirmation de John Allen selon laquelle « frocio » (NDT : pédé) est un mot communément connu ou utilisé en Italie. — J'ai vécu de temps à autre en Italie pendant environ 10,5 ans au cours des 30 dernières années, et je n'ai jamais vu ce mot imprimé, encore moins entendu prononcer.
Le pape François est connu pour sa propension à utiliser un langage vulgaire, comme cela est devenu notoire lorsqu'il a appelé la femme chinoise qui lui a attrapé la main en décembre 2019, un mot vulgaire en espagnol, utilisé pour désigner les prostituées.
En tant qu'anthropologue, qui n'a jamais été prêtre, j'ai du mal à imaginer comment le pape François a eu l'occasion d'apprendre de telles terminologies, puisque le clergé, les religieux et les fidèles laïcs ne se parlent pas ainsi.
Enfin, une petite note historique : il existe de nombreuses références au sac de Rome en 1527, qui, comme cet article ci-dessus, oublient de mentionner que les troupes anti-émeutes étaient luthériennes. Oui, comme aux Pays-Bas et à Constantinople et tout au long de l’histoire, les catholiques sont accusés de persécuter les luthériens, les calvinistes, les grecs orthodoxes et les juifs. Mais dans chaque cas, ce sont les luthériens, les calvinistes, les grecs orthodoxes et les juifs qui nous ont persécutés en premier.
À Rome, en 1527, les mercenaires luthériens de l'empereur Charles Quint tuèrent et violèrent 20 000 catholiques et pillèrent des maisons et des églises pendant des semaines. Aux Pays-Bas, les calvinistes ont déclenché en 1566 le Beeldenstorm (NDT : la Furie Iconoclaste) – pratiquement inconnue dans toutes les histoires de langue anglaise (NDT : et française) facilement disponibles – un pillage et une destruction émeutes d'églises et de monastères catholiques, où des sacrilèges ont été commis à grande échelle dans la majeure partie du pays. À Constantinople, en avril 1182 , plus de 60 000 catholiques romains furent assassinés par l’empereur grec orthodoxe et ses acolytes. Et à Jérusalem en 33 après JC, le roi Hérode, qui était sodomite, avec les autorités juives, fit mettre à mort le Christ Jésus, puis commença une persécution de 10 ans contre l'Église catholique, qui se poursuivit au-delà de la conversion de saint Paul, jusqu'à ce que la religion catholique a été rendue légale en 303 après JC.
Ces faits historiques sont constamment omis par les médias et les publications contrôlés par les maçons, car dans le livre des satanistes, seuls les catholiques sont véritablement et constamment coupables. Faire passer le pape François pour un paria parce qu’il a utilisé le mot « frocio » fait partie de ce récit de sectarisme et de haine contre les catholiques. Il n’y a absolument aucune comparaison entre le nombre de catholiques tués ou persécutés par ces groupes et le nombre de personnes « persécutées » par les catholiques dans les mêmes groupes.
Le pape François fait deux pas en avant vers la perdition, un pas en arrière, dans le style classique du tango péroniste argentin. Ses commentaires aux évêques italiens du 20 mai semblent être une tentative évidente d'étouffer les réactions négatives à son document « Bénédiction Gay » publié il y a près de six mois.
En effet, en utilisant ce mot, le pape François ne veut en aucun cas dire qu'il a rompu avec l'agenda sodomite, comme le montre ce reportage où un travesti a été invité à la première Journée mondiale de l'enfance, par le Vatican, pour divertir les enfants catholiques :