Le pape François affirme que l’invention de Rothschild est un péché : l’antisémitisme - Critique et Réfutation par Fr. Alexis Bugnolo

Publié par dominicanus sur 5 Février 2024, 11:49am

Catégories : #POLITIQUE, #Pape François, #VATICAN, #actualités

Le problème au Moyen-Orient n’est pas l’antisémitisme, mais la haine des Juifs envers les chrétiens et les arabes.

Le pape, dans une lettre aux Juifs en Israël, condamne l'antisémitisme comme un péché

Dans une lettre adressée à "mes frères et sœurs juifs en Israël", le pape François a exprimé son chagrin face à la violence déclenchée par l'attaque du Hamas contre Israël en octobre et il a réitéré la condamnation par l'Église catholique de toutes les formes d'antisémitisme et d'anti-judaïsme.

Comme je l'avais prédit en octobre, lorsque le pape François a autorisé le Congrès juif mondial à ouvrir un bureau au Vatican, nous allons voir de plus en plus de propagande juive diffusée par le pape François. Et la présence du bureau du CJM au Vatican, où il n'y a pas de juifs, indique clairement que la corruption des fonctionnaires de l'Église par cette organisation est désormais institutionnalisée. Nous verrons donc bien pire que cette récente déclaration.

Comme la plupart des gens le savent maintenant, "antisémitisme" est un mot qui ne décrit rien, puisque le sens impliqué par le mot ne concorde pas avec le sens du mot. L'antisémitisme, s'il existait, signifierait que l'on est contre la race sémite pour des raisons idéologiques. Mais cette race comprend tous les Arabes, les Syriens, les Libanais ainsi que les Hébreux. Mais les Juifs d'aujourd'hui, qui se définissent comme tels uniquement en raison de leur ascendance matrimoniale, ne peuvent être classés parmi les Sémites pour de solides raisons anthropologiques, même si nombre d'entre eux sont génétiquement indiscernables des Palestiniens. La première utilisation du mot, par un Juif, ne faisait en fait référence qu'aux préjugés contre tous les Sémites. Mais l'encyclopédie juive de 1881 a popularisé le sens plus restreint et erroné de ce terme, qui ne se réfère qu'aux Juifs et qui aurait été inventé par Friedrich Wilhelm Adolph Marr.

Mais le mot n'est utilisé aujourd'hui par les Médias de Grand Chemin que comme une couverture narrative pour défendre, excuser ou détourner l'attention des fautes morales, des crimes et des conspirations des Rothschild ou de tout membre de ce groupe qui s'identifie aujourd'hui comme juif. En fait, même le gouvernement de l'État juif moderne prétend que toute critique de leurs brutalités est "antisémite". Cette astuce a été popularisée par de célèbres agents des Rothschild tels que Rockefeller.

En outre, un péché est une faute morale que Dieu a déclarée offensante ou qui est contraire à sa bonté exprimée, péché qui est imputable à une personne parce qu'elle en était sciemment responsable. Ce n'est pas quelque chose que moi ou un groupe d'hommes ou de femmes n'aimons pas, tout simplement. C'est ce que Dieu déteste, tout simplement.

Ainsi, selon son sens, "l'antisémitisme" n'est pas un péché, mais une idéologie. Mais selon son utilisation, il ne s'agit pas d'un péché, mais plutôt d'un terme utilisé pour la guerre narrative afin de couvrir l'immoralité promue par un groupe qui tente de perpétrer une fraude transgénérationnelle et de se faire passer pour de véritables revendicateurs des promesses que le Dieu de l'ancien Israël a faites à Abraham et à ses descendants à travers la lignée masculine pour l'éternité.

Comme le pape François mentionne également l'"antijudaïsme", je voudrais également souligner que la réticence de ceux qui n'appartiennent pas à une ethnie revendiquée à l'égard des revendications d'un groupe qui prétend, sur la base de son ethnie, avoir des droits et une humanité supérieurs à ceux de tous les autres humains n'est pas un péché, de même qu'appeler un raciste un raciste n'est pas un péché, mais de l'honnêteté.

Mais la véritable raison de la fausse affirmation du pape François est de justifier la purge de la hiérarchie et du clergé catholiques de tous ceux qui s'opposent au récit des Rothschild dans l'État fantoche moderne qu'ils ont fondé en Terre sainte, en particulier l'apartheid continu qu'ils ont promu pour justifier leur fraude sans Dieu en revendiquant la Terre sainte pour eux-mêmes.

En ce qui concerne la réalité, en mettant de côté l'idéologie pour un moment, nous pouvons voir que le problème au Moyen-Orient n'est pas l'antisémitisme, mais la haine des Juifs envers les Chrétiens et les Arabes. Je ne parlerai même pas du blocus que l'État juif moderne impose depuis 40 ans aux pèlerins chrétiens de Syrie, du Liban et de Jordanie, qui n'ont pas pu visiter les lieux saints de Jérusalem et de toute la Palestine. Selon l'enseignement de nombreux papes, bloquer le pèlerinage chrétien à Jérusalem a toujours été considéré comme donnant aux chrétiens le droit de lancer une croisade contre ceux qui les bloquent, car nous avons le droit divin de visiter les lieux saints sanctifiés par notre Seigneur et ses disciples¹.

Le comble de l'ironie est que le pape François, qui est notoirement anti-américain, n'a jamais considéré son approche personnelle des États-Unis d'Amérique et de ses citoyens comme un péché. Cela fait partie de son programme idéologique de "péché pour toi et pas pour moi", par lequel il est impliqué dans une tentative chronique d'abus psychologique du monde catholique et de la race humaine.

Deux jeunes ultra-orthodoxes arrêtés après avoir craché sur un prêtre catholique

Deux jeunes ultra-orthodoxes ont été assignés à résidence samedi soir, accusés d’avoir craché et maudit un prêtre catholique sur le mont Sion.

L’agression présumée, qui a été filmée, est survenue le jour même où une lettre du pape François à la population juive d’Israël condamnant toutes les formes d’antijudaïsme et d’antisémitisme a été rendue publique.

Si nous avons fait des progrès avec le pape François et ses paroles étonnantes dénonçant l’antisémitisme, [cela a été compensé par] le fait que les Juifs crachent [sur le clergé catholique] ce jour-là et disent des paroles horribles qui sont enregistrées. Ils devraient être sérieusement punis. Mais cela ne fonctionne pas ainsi, a déclaré Yisca Harani, activiste et fondatrice du Religious Freedom Data Center and Hotline.

Des chrétiens allemands, dont l'abbé Nicodème, se promenaient dans la vieille ville de Jérusalem lorsqu'ils ont été confrontés, crachés dessus et injuriés par les colons israéliens.