Écrit par fr Alexis Bugnolo (02/01/2024) - Traduction française autorisée : père Walter Covens
La façon dont le Vatican répond à l'indignation mondiale suscitée par le document Fiducia supplicans montre clairement que les responsables du Vatican sont de purs politiciens et qu'ils n'ont pas une once de foi dans le Dieu vivant, dont ils sont prêts à prononcer le nom le plus sacré pour faire avancer les politiques les plus perverses au sein de l'Église. - Si le document ne doit pas être mis en œuvre, alors il n'est contraignant pour personne. Et s'il n'est pas contraignant pour qui que ce soit, il n'est pas et ne peut jamais être un enseignement magistériel. Et si ce n'est pas un enseignement magistériel, alors le Pontife romain et la Curie romaine n'ont aucune responsabilité dans la publication d'un document aussi blasphématoire.
Ce document ne peut être laissé en l'état. Ceux qui l'ont signé et ceux qui l'approuvent de quelque manière que ce soit sont des apostats de l'unique religion catholique, dans laquelle seul le lien du mariage peut être béni par un ministre désigné par Dieu. En effet, que l'évêque, le prêtre ou le diacre bénisse en utilisant le Nom divin ou non, dans l'expression verbale employée, par le simple fait qu'il est un ministre nommé sacramentellement par le Christ pour Le représenter, ils invoquent le Nom divin de Dieu en signe d'approbation.
Les prêtres qui veulent donner l'approbation de Dieu aux abominations sexuelles devraient être pendus, et les évêques qui le font devraient être brûlés vifs. Et tout catholique qui n'a pas ces convictions ne craint pas le Dieu vivant ni ce qu'Il fera de monstrueux pécheurs comme ceux-là, qu'Il condamnera certainement à des tourments éternels dans le gouffre de l'enfer, en les pendant et en les brûlant au bûcher éternel.
Nous devons prêcher ces vérités à tous les membres du clergé, afin qu'ils se réveillent rapidement. Garder le silence sur cette controverse, c'est mériter l'enfer, car chaque prêtre, diacre et évêque a le devoir de prêcher l'unique vérité du mariage et de défendre le Divin et Saint Nom de Jésus contre toute profanation. Profaner ou même tolérer la profanation du Nom Divin, c'est mériter l'Enfer, il n'y a pas de si et de mais à ce sujet, puisque comme tous les Saints l'enseignent, blasphémer le Nom du Seigneur en vain est le pire des péchés méritant une punition infinie, dans la mesure où ce Nom est d'une Dignité et d'une Majesté Infinies.
Sachant cela, le cardinal Fernandez tente de convaincre les évêques de cesser de s'y opposer, afin qu'ils méritent eux aussi l'enfer que lui et Bergoglio ont mérité pour sa publication.