Peut-être le réseau le plus dangereux de francs-maçons à avoir jamais attaqué l’Église est la Propaganda Due (Loge P2) en Italie. Ses membres auraient renié la Loge en 1976 après que ses plans secrets d’infiltration de l’Église et de l’État ont été divulgués, mais la vérité est que le groupe P2 n’a jamais été dissous, mais continue comme avant sous un nom différent.
Fondée en 1877, la Loge P2 continue de relever du Grand Orient d'Italie et est active en Argentine. Loin d'être un simple réseau mafieux impliqué dans le blanchiment d'argent et les assassinats politiques (ce qu'elle fait), la P2 est une société secrète diabolique composée de sorciers et de cultistes qui se concentrent principalement sur l'infiltration et la subversion de l'Église catholique.
Les francs-maçons croient que Lucifer est Dieu
L'objectif de ces francs-maçons est parfaitement exprimé par Albert Pike (1809-1891), le grand prêtre américain de la franc-maçonnerie à la fin du XIXème siècle qui, en 1889, s'est adressé aux grands membres de la franc-maçonnerie en France. Son discours a été repris le 19 janvier 1935 par la revue anglaise The Freemason et a également été cité dans A.C. de la Rive : La Femme et L'Enfant dans la Franc-Maçonnerie Universelle, page 588. Pike a déclaré :
"À la foule, nous devons dire : nous adorons un Dieu, mais c'est le Dieu que l'on adore sans superstition.... A vous, Souverains Grands Inspecteurs, nous disons ceci, afin que vous puissiez le répéter aux frères des 32ème, 31ème et 30ème degrés : nous tous, initiés des hauts degrés, devons maintenir la religion maçonnique dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n'était pas Dieu, Adonay [le Christ], dont les actes prouvent sa cruauté, sa perfidie et sa haine de l'homme, sa barbarie et sa répulsion pour la science, Adonay et ses prêtres le calomnieraient-ils ?
"Oui, Lucifer est Dieu, et malheureusement Adonay est aussi Dieu.... La philosophie religieuse dans sa pureté et sa vérité consiste à croire en Lucifer, l'égal d'Adonay, mais Lucifer, Dieu de la lumière et Dieu du Bien, lutte pour l'humanité contre Adonay, le Dieu des Ténèbres et du Mal."
En 1974, une série de 34 directives maçonniques pour la destruction de l'Église catholique a fait surface au grand choc et à la consternation des membres de la P2 en Italie (voir la fin de l'article pour plus de détails). Publiées en 1962, ces directives ont été lentement mises en œuvre depuis Vatican II, mais elles sont en train de se concrétiser rapidement sous l'égide du pape François. Bien que nous ne puissions pas déterminer avec précision comment les directives ont été divulguées, le consensus général est qu'elles ont été accidentellement divulguées par la Loge P2 sous la direction du tristement célèbre Licio Gelli, Grand Maître de la Loge, après quoi les membres de la Loge sous la direction de Gelli ont été contraints de "désavouer" la Loge.
Les relations de haut niveau de Gelli
Gelli entretenait des liens avec des personnalités très en vue en Italie et à l'étranger, notamment en Argentine, où il a été en fuite pendant de nombreuses années. C'est Gelli et la P2 qui ont rétabli le dictateur argentin Juan Perón au pouvoir en 1973, qui est ensuite devenu lui-même un initié de la P2. Gelli était un ami personnel proche de Perón qui, à son tour, lui a accordé la Grande Croix de l'Ordre du Libertador en août 1974, ainsi que le poste honorifique de conseiller économique à l'ambassade d'Argentine en Italie.
Gelli a affirmé qu'il avait initié Perón à la franc-maçonnerie et que leur amitié était d'une importance capitale pour l'Italie. "Perón était franc-maçon, je l'ai initié à Madrid, à la Puerta de Hierro, en juin 1973", a déclaré Gelli. Lors de l'investiture de Perón, l'ancien premier ministre italien Giulio Andreotti a déclaré avoir "vu Perón s'agenouiller devant Gelli".
Il est en effet intéressant que l'antipapal Gelli ait passé du temps en Argentine avec Perón, qui à son tour a eu des contacts avec le père Bergoglio qui siège maintenant au sommet du Vatican en tant que pape François.
L'agent de Gelli s'exprime
Michela Scolari, auteur et scénariste primée, titulaire d'un doctorat en études comparatives, est l'unique dépositaire des mémoires de Licio Gelli. Elle connaissait intimement le défunt Grand Maître maçonnique et, par un contrat écrit signé avant sa mort, Gelli a fait d'elle l'unique héritière de ses archives et elle a passé les trois dernières années à passer au crible ses archives privées.
Licio Gelli, Grand Maître de la loge maçonnique P2 de 1976 à 1981
Scolari nous apprend que Gelli a rencontré le cardinal Bergoglio en 1973 alors qu'il était en Argentine pour travailler avec Juan Perón et que Bergoglio a rencontré Gelli il y a sept ans sur son lieu de résidence à la Villa Wanda à Porto Azzurro, en Italie. On ne peut que supposer ce dont les deux hommes ont discuté !
Ce qui est intéressant, c'est que Perón a été rétabli au pouvoir par Gelli le 12 octobre 1973, l'année même où le père Bergoglio a été nommé provincial des Jésuites en Argentine. C'est la position de Bergoglio en tant que provincial qui a consolidé les Jésuites dans ce qu'ils sont aujourd'hui - une monstruosité bureaucratique pour la destruction de l'Église catholique.
Malachi Martin sur les Jésuites
Dans son livre, Les Jésuites, le regretté Père Malachi Martin, qui a été conseiller de quatre papes, souligne la cruauté démoniaque des Jésuites dans la façon dont ils ont persécuté le Pape Paul VI, assassiné le Pape Jean-Paul I, et tourmenté Jean-Paul II. Ils ont finalement procédé à l'éviction de Benoît XVI dans la perspective de placer un antipape sur la Chaire de Pierre. C'est la mafia de Saint-Gall, composée de plusieurs jésuites, qui s'est chargée de cette opération.
Le cardinal Carlo Martini, chef historique de la mafia, était un jésuite radical et un membre de la franc-maçonnerie italienne. Le 12 septembre 2012, le Grand Orient d'Italie a publié un document indiquant que le défunt cardinal Martini avait été initié comme l'un de ses membres. Ce même Martini était très admiré par le cardinal Bergoglio, tout comme l'était Perón.
François : Je suis péroniste
Un livre relativement récent intitulé The Shepherd : Francis' Challenges, Reasons, and Reflections on His Pontificate, contient les réponses du pape François aux questions qui lui sont fréquemment posées. Il y reconnaît que la présence, dans les années 70, d'un groupe péroniste à l'université jésuite de Salvador, qui soutenait la position de Bergoglio en matière de justice sociale, l'a amené à dire : "Je suis péroniste".
François note ensuite que le fait de sympathiser avec le péronisme n'est pas quelque chose qui peut être critiqué en soi. "Qu'y a-t-il de mal à cela ? demande-t-il. Si Perón était un initié maçonnique P2 à part entière, qu'y a-t-il de mal à cela ?
Perón, un communiste pur et dur
Le fait est que Perón était un franc-maçon et un marxiste pur et dur qui ne vivait que pour ses propres aspirations totalitaires. Admirateur de Staline, il a mis en œuvre 85 % de la liste des tâches du Manifeste communiste de Marx et Engels, imposé des politiques d'inspiration marxiste, contrôlé toutes les exportations, emprisonné ses opposants politiques, censuré les critiques des médias et offert un refuge à des milliers d'anciens membres du parti nazi et d'officiers SS après la chute du Troisième Reich. Le journaliste argentin Matias Ruiz rapporte que Perón a littéralement pris des pages des brochures de propagande des Nazis et des Soviétiques pour l'aider à formuler son propre système de péronisme, qui est par essence du marxisme.
L'argument parfois avancé selon lequel Perón était un "homme du peuple" ne sert qu'à dissimuler le fait qu'il était un criminel et un dictateur qui se servait simplement du peuple pour déstabiliser et faire tomber le gouvernement, comme l'a fait Lénine avec le prolétariat.
Un Perón ecclésiastique
Aujourd'hui, François a appliqué ce rôle incitif dans un contexte ecclésial en instiguant une révolution dans l'Église par la promotion de la rébellion doctrinale et de la LGBT, raison pour laquelle les catholiques argentins décrivent aujourd'hui François comme "un Peron ecclésiastique - un caméléon impitoyable, adepte du socialisme, prêt à dire n'importe quel mensonge et à essayer n'importe quelle tactique basse pour conserver le pouvoir". (George Neumayr, The American Spectator) Selon un journaliste argentin, "les Jésuites ont été pénétrés par les communistes, et Bergoglio était l'un d'entre eux".
Le cardinal Bergoglio a admiré le marxiste Perón et a plus d'une fois exprimé ses convictions communistes au cours de son mandat de pape. En 2016, il a fait une déclaration célèbre :
"Ce sont les communistes qui pensent comme des chrétiens"
Selon le défunt journaliste d'investigation George Neumayr, Jorge Bergoglio a reçu son éducation politique aux genoux d'une communiste paraguayenne nommée Esther Ballestrino, qui était sa patronne dans un laboratoire de Buenos Aires après qu'il eut reçu l'équivalent d'un diplôme d'études secondaires en chimie. Bergoglio avait déclaré qu'il "devait" beaucoup à cette "grande femme" et s'était extasié sur la façon dont elle l'avait initié aux périodiques et à la littérature communistes, dont la vente et la possession étaient à l'époque illégales en Argentine. Il s'est fièrement attribué le mérite d'avoir caché sa littérature marxiste dans une bibliothèque jésuite lorsqu'elle a dû fuir les autorités.
Lorsque l'animateur de talk-show Michael Savage a qualifié le pape François de "pape de Lénine", ce dernier a pris cela comme un compliment. "J'ai rencontré dans ma vie de nombreux marxistes qui sont des gens bien, je ne me sens donc pas offensé", a-t-il déclaré à la presse italienne.
François invite un groupe marxiste au Vatican
On apprend aujourd'hui que François tente de contaminer l'Église avec des communistes. Le 11 janvier 2024, il a accueilli au Vatican un groupe de dialogue "marxiste-chrétien" composé d'activistes et de politiciens communistes de plusieurs pays européens. Ce groupe est purement marxiste, mais il s'appelle "marxiste-chrétien" pour se donner un air de bonté et de démocratie.
Ces militants ont également des liens avec la franc-maçonnerie. François les a exhortés en disant : "Ne reculez pas, n'abandonnez pas et ne cessez pas de rêver d'un monde meilleur".
François nommé membre du Rotary club maçonnique
En 1999, l'archevêque Jorge Mario Bergoglio a été nommé membre honoraire du Rotary Club de Buenos Aires, une organisation maçonnique qui embrasse les idéaux corrompus de la franc-maçonnerie, du naturalisme et du sécularisme. Les membres du Rotary Club international œuvrent à la destruction de l'Église catholique.
Le 30 avril 2016, François a salué près de 9 000 membres du Rotary lors d'un jubilé spécial sur la place Saint-Pierre, tous maçons ou affiliés à la maçonnerie. Le Rotary International a été condamné par le pape Pie XII en 1951 et tous les papes depuis lors ont respecté ce décret, à l'exception de François qui est le premier pape à avoir reçu et accepté une adhésion au Rotary Club.
Le 26 juillet 1999, Bergoglio a envoyé une lettre au président du Rotary Club de Buenos Aires, dans laquelle il dit :
"Je suis particulièrement heureux de m'adresser à Monsieur le Président pour accuser réception de l'aimable note que vous m'avez envoyée avec le secrétaire honoraire en date du 23 du mois en cours, par laquelle vous avez bien voulu me confirmer comme associé honoraire de cette prestigieuse institution."
Le 16 mars 2013, la Grande Loge maçonnique d'Argentine a officiellement salué l'élection du cardinal Bergoglio comme pape de l'Église catholique, à l'instar des francs-maçons du monde entier.
Il est intéressant de noter que la date de l'élection de François, le 13 mars 2013, marque le 188ème anniversaire de la bulle papale Quo Graviora du pape Léon VII, qui condamnait la franc-maçonnerie. L'élection de François à cette date peut presque être considérée comme une victoire maçonnique pour s'approprier ce jour.
Le 12/13/14, la ville de Bologne, en Italie, a érigé une illumination publique avec une imagerie occulte et des icônes maçonniques en souvenir de l'attentat à la bombe perpétré par la loge maçonnique P2 contre une gare de cette ville en 1980. La date du 13 décembre 2014 correspondait au 45ème anniversaire de l'ordination sacerdotale de Jorge Bergoglio (12/13/69).
Notez également que 33 est le plus haut degré de la franc-maçonnerie et que le père Bergoglio a eu 33 ans la semaine de son ordination, le 17 décembre.
Dans son discours de félicitations pour l'élévation de François à la Chaire de Pierre en 2013, le Grand Maître de la franc-maçonnerie italienne Gustavo Raffi a déclaré :
"Avec l'élection du pape François, rien ne sera plus jamais comme avant", c'est-à-dire qu'il ne sera plus jamais antimaçonnique. Il a décrit François comme "un homme des pauvres et loin de la Curie. La fraternité et le dialogue sont ses premiers mots concrets".
François s'est fait l'écho de ce thème dès le début de son règne. Peu avant son élection, le cardinal Theodore McCarrick lui aurait dit : "Souvenez-vous que lorsque vous serez pape, vous devrez toujours prêcher la justice sociale et l'amour des pauvres".
Perspectives prophétiques de Malachi Martin
En mai 2016, le père Paul Kramer du Centre Fatima a annoncé publiquement que le défunt père Malachi Martin, qui avait lu le troisième secret de Fatima, lui avait parlé d'un pape apostat à venir. Kramer a déclaré :
"Malachi m'a personnellement confirmé en 1997 que le 'pape' qui mènera l'apostasie dans l'Église sera un hérétique et un antipape."
Dans une interview accordée en 1992 à Bernard Jansen, le père Malachi a déclaré ce qui suit au sujet de la papauté à notre époque :
"Ce que je pense qu'il est absolument nécessaire que chaque catholique sache, c'est le destin de la papauté et le stress et le danger à venir que nous soyons privés de la force de la papauté."
Interrogé sur la possibilité d'élire un pape hérétique à l'avenir, Malachi a déclaré :
"Vous savez... ils ont élu dans le passé des hommes qui avaient des idées hérétiques. Deux ou trois. Ils n'ont jamais élu un apostat.... Nous avons maintenant des apostats qui sont papabile [des hommes qui pourraient être élus pape]. Oui, nous pourrions avoir un apostat, mais ce jour-là, nous sommes dans quelque chose de terrible. Nous sommes dans quelque chose qui, Bernard, est quelque chose qui, si vous y réfléchissez en pleine connaissance de la signification de vos termes, est cauchemardesque. Cela mettrait à l'épreuve la foi de Sainte Catherine de Sienne. Elle mettrait à l'épreuve la foi du plus grand des saints. Elle mettrait à l'épreuve la patience de Job. Ce serait un jour noir ; un jour où vous pourriez habiller toutes les fenêtres en noir, éteindre les lumières, vous vêtir d'un sac et de cendres et prier pour être épargné parce que votre foi va être battue en brèche - si cela se produit. Parce qu'alors, ils ont le prix, et tout devient clandestin. Et nous sommes en effet en passe de devenir ce que Paul VI, dans sa misère, appelait en 1978, "une partie infiniment petite de l'humanité". Complètement marginalisée, mise à l'écart et oubliée".
Le pape parlait ici des catholiques attachés à la tradition qui résistent au contre-magistère moderniste et qui sont fidèles à la papauté et au vrai magistère. Il parlait de ceux qui échappent à cette tentative maçonnique de polluer leurs âmes avec l'hérésie et le changement.
Les grandes lignes des 34 directives maçonniques
Les 34 directives susmentionnées qui ont été envoyées aux initiés maçonniques avant Vatican II reflètent de manière flagrante le travail de sape de la franc-maçonnerie. À quelques exceptions près, ses propositions se sont concrétisées. Parmi les nombreuses choses proposées, citons la communion dans la main, les ministres eucharistiques laïcs, l'élimination du latin de la liturgie, le remplacement de l'autel par une table, la messe face au peuple, la libération des femmes, la transformation du sexe en religion, l'élimination des statues et des images d'anges, la réécriture des Bibles et l'élimination du mot "Saint" des lectures de la messe, c'est-à-dire l'Évangile selon Jean et non pas selon Saint Jean.
En conclusion, examinons trois de ces directives.
(19) "Brûlez tous les catéchismes [traditionnels]. Dites aux professeurs de religion d'enseigner l'amour du peuple de Dieu, au lieu de l'amour de Dieu. Dites-leur qu'il est mature d'aimer ouvertement. Faites du sexe un mot courant dans les cours de religion. Faites du sexe une nouvelle religion".
Cette tentative de glorifier la perversion sexuelle en tant que religion a atteint son paroxysme le 18 décembre dernier, lorsque François a publié son abominable déclaration Fiducia Supplicans, autorisant officiellement les bénédictions cléricales des couples homosexuels.
(11) "Arrêtez la pratique de dire la Messe devant la Sainte Eucharistie dans le Tabernacle. N'autorisez pas la présence de tabernacles sur les tables utilisées pour la messe. Faites en sorte que la table ressemble à une table de salle à manger. Faites en sorte qu'elle soit transportable, pour signifier qu'elle n'est pas sacrée, mais qu'elle peut servir à tout autre chose, comme une table de conférence ou pour jouer aux cartes. Plus tard, placez au moins une chaise à cette table. Faites en sorte que le prêtre s'y assoie après la communion pour signifier qu'il se repose après son repas. Ne laissez jamais le prêtre s'agenouiller pendant la messe, ni faire de génuflexion. Les gens ne s'agenouillent pas aux repas".
Le plan décrit ici était de supprimer la messe traditionnelle avec le prêtre face à l'autel. Comme nous le savons, le pape François a pris des mesures soudaines le 16 juillet 2021 pour mettre fin à la messe traditionnelle en latin, dans un revirement brutal de la politique du pape Benoît visant à étendre l'utilisation de l'ancienne messe. François a déclaré que la messe traditionnelle "élargit les fossés, renforce les divergences et encourage les désaccords qui nuisent à l'Église". Sa plainte porte évidemment sur le fait que la messe traditionnelle favorise les désaccords avec l'anti-église, et non avec l'Église. Elle divise et décourage les groupes gauchistes, pas l'Église.
(23) "Soyez audacieux, affaiblissez le pape en mettant en place un synode des évêques. Le pape sera alors une figure de proue, comme l'Angleterre est gouvernée par la Chambre des Lords et la Chambre des Communes. Le roi prend ses ordres auprès d'eux. Ensuite, affaiblissez l'autorité de l'évêque en créant un équivalent au niveau du prêtre. Dites que les prêtres obtiennent enfin la reconnaissance qu'ils méritent. Ensuite, affaiblissez l'autorité du prêtre en créant des groupes de laïcs pour diriger les prêtres. La haine sera telle que même les cardinaux quitteront l'Église. Dites que l'Église est désormais démocratique. Faites l'éloge de la nouvelle collégialité".
Comme nous le savons, François a beaucoup insisté sur la décentralisation de l'Église et la délégation des pouvoirs ecclésiastiques aux diocèses et aux laïcs, mais cette dissolution de l'Église par une révolution laïque ouvre la voie à l'arrivée au pouvoir d'un antipape, tout comme la dissolution du tsar russe par la révolution bolchevique a ouvert la voie à l'arrivée au pouvoir du dictateur Lénine. Il semble que Michael Savage ait vu juste lorsqu'il a qualifié François de "pape de Lénine".
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