"Leur silence sur la fraude pandémique est identique à celui sur l’apostasie de la hiérarchie catholique », écrit Mgr Viganò. “Et la responsabilité morale qui pèse sur eux restera comme une tache indélébile à laquelle ils devront répondre devant Dieu, devant les hommes et devant l’Histoire.”
Il y a trois ans, j’étais parmi les premiers – et certainement le premier Evêque – à dénoncer la fraude pandémique et vaccinale. Exprimés avec des arguments qui émergent aujourd’hui comme vrais et bien fondés sont les questions critiques et l’immoralité d’un traitement génétique expérimental, que les fœtus avortés ont été et sont utilisés pour produire. J’ai également écrit deux lettres ouvertes à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, qui restent sans réponse.
Il y avait ceux dans les cercles conservateurs qui sont allés jusqu’à m’attaquer personnellement et ont eu recours aux déclarations non prouvées et clairement fausses d’un médecin qui a travaillé avec son mari pour BigPharma.
J’exprimai ma consternation devant le silence des évêques, des prêtres et des pasteurs paroissiaux, de nombreux religieux engagés dans les hôpitaux, et devant le zèle servile avec lequel la Hiérarchie catholique se conformait aux règlements sanitaires fous et criminels et à la promotion du sérum par Bergoglio. J’ai été insulté publiquement à la télévision et dans les médias, tandis que mes frères évêques se taisaient. Face à un crime contre l’humanité qui continue de se dérouler sous nos yeux depuis trois ans avec l’approbation et l’encouragement de Bergoglio, J’aurais pensé que beaucoup de pasteurs auraient trouvé le courage d’élever leurs voix et de se joindre à ma dénonciation du plan de dépopulation mondiale mis en œuvre par le Forum économique mondial, la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Rockefeller, l’OMS et l’ONU, tandis que les fonds de ces criminels ont également été remis au Vatican, transformant Bergoglio en vendeur de vaccins et en partisan de la fraude climatique, qui est maintenant devenu « magistère » avec Laudate Deum et avec l’« Église amazonienne et synodale ».
Nemo propheta in sua patria. Mais si aujourd’hui certains prêtres se soumettent aux preuves et demandent aux journalistes catholiques de dire la vérité sur les effets néfastes, je me demande avec quelle sérénité ils ont jusqu’ici réduit au silence leur conscience, et si leur silence et leur silence craintif – comme celui des médecins, les forces de police, les magistrats, les enseignants et les gouverneurs – ne se sont pas transformés en une manifestation timide aujourd’hui simplement parce qu’ils voient la confrontation approcher et craignent pour leur propre réputation plus que pour la santé des milliards de personnes soumises à l’inoculation d’un produit qui était connu depuis le début pour être dangereux et même mortel.
Leur silence sur la fraude pandémique est identique à celui sur l’apostasie de la Hiérarchie catholique. Et la responsabilité morale qui pèse sur eux restera comme une tache indélébile pour laquelle ils devront répondre à Dieu, aux hommes et à l’Histoire.
Commentaire de fr. Alexis Bugnolo
Une salve d’applaudissements parce que quelqu’un de la Hiérarchie Sacrée s'est prononcé sur cette question. Maintenant, peut-on avoir un, « si vous ne vous repentez pas pour avoir fermé les Églises, renié les sacrements et prêché un faux Évangile, tout en renonçant à votre loyauté envers le Christ et en la remplaçant par votre loyauté envers l’État et sa propagande, vous brûlerez dans un endroit très très chaud en enfer, sous Judas Iscariot »?