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Praedicatho homélies à temps et à contretemps

Praedicatho homélies à temps et à contretemps

C'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui va juger les vivants et les morts, je t’en conjure, au nom de sa Manifestation et de son Règne : proclame la Parole, interviens à temps et à contretemps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, toujours avec patience et souci d’instruire. Crédit peintures: B. Lopez


Michel Jean-Dominique - "Échec et mat" pour Didier Raoult

Publié par dominicanus sur 31 Mai 2023, 22:11pm

Catégories : #actualités, #santé

 

"J'ai mis quelques jours à voir le fond de l'affaire...


Et à trouver LA clé, qui explique la réaction enragée et furibonde de la "corruptosphère"...


Didier Raoult aura donné une magistrale leçon de médecine, de science, de liberté face au totalitarisme mais aussi - ô combien - de stratégie.


Chapeau, Professeur !"


Émission du 31 mai 2023.

 

 

Émission du 31 mai 2023
"Échec et mat" pour Didier Raoult

 

 

EXPÉRIENCES HASARDEUSES ET TENTATIONS AUTORITAIRES
Michel CUCCHI - INFLUENCE & PANDÉMIES

 

EXPÉRIENCES HASARDEUSES ET TENTATIONS AUTORITAIRES
Michel CUCCHI - INFLUENCE & PANDÉMIES

 

Cohorte rétrospective monocentrique de 30 423 patients atteints de la COVID-19
Matthieu Millon;  Sébastien Cortaredona ;  Léa Delorme ;  Philippe Colson ;  Anthony Levasseur ;  Hervé Tissot-Dupont ;  Bernard La scola ;  Laurence Camoin-jau ;  Florence Fenollar ;  Philippe Gautret ;  Philippe Parola ;  Jean-Christophe Lagier ;  Stephanie Gentile ;  Philippe Brouqui ;  Didier Raoult
Monocentric Retrospective Cohort of 30,423 COVID-19 Patients

 

DESCRIPTION


Population et conception

Cohorte monocentrique comparant des patients atteints de la COVID-19 exposés ou non au traitement hydroxychloroquine (HCQ)+azithromycine (AZ) utilisé comme norme de soins dans notre centre (Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) Méditerranée Infection, Marseille, France). La période d’inclusion s’étendait du 2 mars 2020 au 31 décembre 2021, avec une période de suivi de six semaines.

 

Critères d’inclusion et d’exclusion

Les données comprenaient celles des patients de 18 ans atteints de la COVID-19 prouvée par PCR, peu importe les symptômes (asymptomatiques ou symptomatiques) et traités dans notre centre, c.-à-d. ayant subi un examen médical par l’un des médecins de notre centre (Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) Méditerranée Infection, Marseille, France) soit en ambulatoire, soit en hospitalisation, c’est-à-dire le jour de la visite dans notre unité ambulatoire suite à l’évaluation ou directement transféré d’un autre service médical, à l’exception de l’unité de soins intensifs. Les raisons de l’exclusion étaient une identification erronée des patients (surveillance de l’identité et doublons), le manque de données médicales disponibles, l’absence de COVID-19 après la vérification du dossier médical (y compris les patients sans consultation sur la COVID-19 pour un syndrome post-COVID-19)., l’expression d’une opposition à l’utilisation de leurs données médicales à des fins de recherche (conformément au Règlement général européen sur la protection des données), et les données des patients hospitalisés dans notre centre après les soins intensifs. Les données sur les patients externes atteints de la COVID-19 qui n’ont pas reçu de conseils médicaux ont été exclues.

 

Source de données

Pour les patients hospitalisés : Entre le 03.03.20 et le 12.03.2021, soit la première année de l’épidémie, les données ont été collectées à l’aide du dossier patient électronique. Le DPI « Dossier Patient Informatisé ») a centralisé toutes les informations médicales d’un patient concernant ses séjours à l’Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille. Lors de cette saisie, une grande quantité de données médicales concernant le traitement a été collectée (2 799 patients). Entre le 13.03.21 et le 31.12.2021, les données ont été extraites de la base de données administrative APHM (PASTEL). PASTEL ne contient pas de données médicales, mais seulement les informations suivantes : IPP (« Identifiant Permanent du Patient »), qui est un identifiant unique pour chaque patient, âge, sexe, date d’entrée, les différents services dans lesquels le patient a pu être hospitalisé et la date de sortie (1 791 patients).

 

Pour les patients externes, les cartes médicales des patients qui sont venus à l’unité ambulatoire rempli par le personnel médical (11 725 patients). Le contenu de ces formes médicales a évolué au cours de l’épidémie, notamment en ce qui concerne la collecte du statut vaccinal des patients et des facteurs de risque. Au départ, ils contenaient des informations sur les traitements prescrits (29 752 patients).

 

La fusion de ces bases de données a été réalisée via l’IPP, et a permis d’obtenir la population totale de patients traités à l’IHU avec les informations suivantes : IPP, âge, sexe, soins ambulatoires (Y/N), soins hospitaliers (Y/N), date d’entrée et date de sortie. Si un patient avait plus d’un épisode de SRAS-CoV-2 traité à l’IHU, seul le premier séjour a été pris en compte. Si un patient était traité en ambulatoire puis hospitalisé, les deux informations étaient conservées. Finalement, on obtient une base de données de 30,669 patients.

 

À cette base de données fusionnée ont été ajoutés seulement pour les patients hospitalisés les données concernant le traitement de la base de données PHARMA qui est le fichier d’ordonnance pharmaceutique. De même, pour chaque patient, la variante Sars-Cov2 a été fusionnée avec la base de données de biologie (NEXLAB Medical Software) qui répertorie tous les échantillons et leur génotype associé via une extraction. Enfin, l’information sur les décès de toutes les causes a été obtenue par une extraction du Service d’information médicale (DIM). En effet, si le patient est décédé pendant son hospitalisation, le système d’information récupère ces informations en mode sortie. Pour les patients sortis vivants du séjour de l’APHM, nous avons interrogé le Registre national français des décès (29) pour savoir s’ils sont décédés dans les 42 jours suivant leur traitement IHU. Toutes les données étaient contrôlées sur le plan de la qualité, à la recherche de doublons et de données aberrantes.

 

Enfin, la construction de la base de données et les contrôles de qualité effectués ont été vérifiés par un huissier.

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